26 août 2022 5 26 /08 /août /2022 14:19

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Critique & réception

​​​​​

 

 

 

 

 

 

Anne-Lise Blanchard

 

 

avant l’été

 

 

pré carré, 2005

 

sans numérotation de pages.

 

 

 

 

 

​​​​​

 

 

Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

​​​​​Crédit photo : "Sulden Unterer Gratsee", Wikimedia.

 ​​​​​​​

 

Un livret où sont consignés les souvenirs d’enfance de l’auteure qui avance :

 

« on ne sait plus bien

si le souvenir

est un bonheur rond

ou cerne de blesse »

 

Mais les mots ne lui manquent pas pour évoquer ces souvenirs qui sont pour certains des :

 

«  Traces

d’un éphémère traversée

blanc sur blanc »

 

Des traces qui demeurent somme toute indélébiles puisqu’elles ponctuent  la vie de la poète. 

Ces souvenirs sont des « brins d’enfance » qui garnissent les passages à vide comme ces :

 

«  Jours sans rehaut

Dans le souci de l’esquive »

 

L'enfance n’est pas exempte d’échardes mais flirte quand même avec l’insouciance et pour cause elle évoque : 

 

«  Hurlerie des gamins

Étrécis des villes »

 

Cela ne dérange pas plus que la pollution urbaine et les nuisances de la circulation. Son sens de l’observation, son regard affûté semblent lui donner vue étendue sur l’environnent. Aucun détail ne semble lui échapper car elle est celle qui :

 

« […]  parcourt le chemin qui se déploie

droit devant »

 

Soif de l’infini, quête vers la lumière restauratrice, voilà ce qui semble dégager en substance de ce petit recueil de poèmes d’Anne-Lise Blanchard.

 

 

© Maggy DE COSTER

 

 

***

 

Pour citer ce texte inédit

 

Maggy De Coster, «Anne-Lise Blanchard, avant l’été, pré carré, 2005 sans numérotation de pages », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre », mis en ligne le 26 août 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no11/mdc-blanchard-avantlete

 

 

 

Mise en page par David

 

 

© Tous droits réservés

 

Retour au sommaire du N°11

LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Numéro 11 Muses et féminins en poésie
26 août 2022 5 26 /08 /août /2022 11:39

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Critique & réception | Astres & animaux

​​​​​

 

 

 

 

 

 

Anne-Lise Blanchard

 

Ce chant étroit

 

Interventions À Haute Voix,

 

2003, 56 pages, 9€

 

 

 

 

 

​​​​​

 

 

Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

​​​​​

 

​​​Crédit photo : "Young woman charming the fish", domaine public, Wikimedia.

 ​​​​​​​

 

 

Ce chant étroit se subdivise en trois parties : L’épaisseur du silence, Chaussés de vent et Le bleu incendié.

Ce chant, limpide et dépouillé, semble venir des profondeurs d’une âme recueillie. Fait « mots tressés d’ombre et de vacarme », il s’élève comme des pétales de rêves labellisés par l'éloquence du silence et même « Les murs font silence ». Effrayant et saisissant constat. C’est l’éternelle présence de la mer sous quelque forme que ce soit qui supplée à la mère consolante :

 


 

«  J’appelle la mer

de sable de cailloux

d’écume et d’ailleurs

passent 

les grands vaisseaux d’encre 

sur ce papier de soie

bleue

– Alger Marseille sans retour-

rendu au silence »

   

Un silence contagieux qui s’est généralisé jusqu’à gagner les forces vives de la nature tels les arbres dont on n’entend plus le bruissement des feuilles sous l’emprise du vent ni les mélodies des oiseaux qui égayent la nature.

 

«  De matin le ciel

a pris l’épaisseur du

silence

les oiseaux les arbres

les jeux d’eau

se sont tus

et

c’est comme si toute la nature

se mettait en congé

de l’opiniâtre été »

 

Il nous semble que la poète a le don de la perception de l’in-vu aussi nous éclaire-t-elle : 

 

«  Dans les yeux du chat

la présence de l’eau

la patience du monde »

 

Tout est dit en peu de mots. Indubitablement l’eau recèle la mémoire du monde donc elle demeure  partout présente.

 

Elle verse aussi dans l’observation scrupuleuse de la montagne généreuse et protéiforme qui accueille la végétation et s’offre en pâture aux animaux.  

 

« La montagne

sa cotte de velours ôtée

quand l’écorce se craquèle

laissant place

au vif verdoyant »

 

Elle abreuve des calices de pluie, disparaisse sous la neige, affronte de violentes tempêtes mais elle demeure « cet espace redessiné »  

 

Anne-Lise Blanchard est en osmose avec les êtres de la nature, elle est fascinée par les étendues, l’immensité, les odeurs, les couleurs, les formes. Éprise de liberté, elle se laisse porter par sa curiosité qui la pousse à entrer en interférence avec les choses vues.

 

Chez elle, les mots s’étirent sans fioriture à l’infini  et se déposent comme des  caresses veloutées sur les aspérités de la vie. Et l’espoir naît de la liberté qui naît de la lumière.

 

© Maggy DE COSTER

 

***

 

Pour citer ce texte inédit

 

Maggy De Coster, « Anne-Lise Blanchard, Ce chant étroit, Interventions À Haute Voix, 2003, 56 pages, 9€ », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre », mis en ligne le 26 août 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no11/mdc-blanchard-cechantetroit

 

 

 

 

Mise en page par David

 

 

© Tous droits réservés

 

Retour au sommaire du N°11

24 août 2022 3 24 /08 /août /2022 17:21

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Dossier mineur | Florilège & REVUE ORIENTALES (O) | N° 2-1 | Créations poétiques 


 

 

 

​​​​​

 

 

 

Extraits poétiques de mes trois recueils

 

 

 

 

 

 

​​

 

Nour Cadour

 

Site : nourcadour.com

 

 

 

 

 

© Crédit photo :   La poétesse Nour Cadour et son recueil de poèmes "Larmes de lune". 

 

 

 

 

 

Poèmes de « Larmes de lune » :


 

 

Rêve brisé.


 

Tu dis que le vent

n’a pas d’ailes

Tu dis que la nuit

           n’a pas de lumière

Tu dis que les songes

          ne sont pas bleus

Tu dis que l’horizon

          n’a pas de racines

Tu dis que la pluie

         n’a pas de mots


 

Mais moi

que me reste-t-il alors

lorsque l’électricité m’abandonne

lorsque la faim gronde dans mes boyaux

lorsque la fumée envahit mes yeux

que me reste-t-il à espérer

quand les bombes jaillissent dans mes tympans

quand le tonnerre gronde dans mon âme

quand la violence écorche mes prières


 

Tu dis que la guerre n’a pas de solution

Mais moi je te dis

qu’il est beau de rêver.

 

 

 

Ma belle Damas endormie.



 

Ô Damas ma belle endormie

Rues humides aux rimes polychromes,

Pistaches émiettées sur tes lèvres

Jasmin ruisselant sur ton cou matinal

Cardamone poudrée sur tes joues corolle,

Ô Damas ma belle endormie

Aux mille délices noyés de brume

Aux mille supplices perdus en lune,

Quand il m’arrive de me perdre dans tes artères fleuries

Avec comme unique boussole la saveur du pain chaud

Et mes semelles de poussière en guise d’ailes,

La trace de mes doigts cherche dans tes quartiers lumineux

Tes courbes sensuelles d’humanité

Doublées par le soleil,

Les murmures de ta langue

Au goût de miel d’aube.

Et, ébahie, ma belle Damas endormie,

J’ai vu tes fleurs causer au vent

J’ai vu tes murs questionner le ciel

Parfois sombre, parfois clair,

Mais, de toi, ma belle Damas endormie

Ne restera à jamais sur mes lèvres

L’unique goût voluptueux de tes rêves.


 

 

 

Poème de « Le silence pour son » :

 


 

Femme d’Osaka, Japon



 

Le bruit de la pluie

Glisse sur les pavés

Et mon cœur est lourd

comme ce ciel

né en vain


 

Sur la tombe

les bourgeons des cerisiers


 

la joie troquée par le vide

une saison sans fleurs


 

les effluves sombres de leurs lèvres

Les océans flous de leurs yeux

Une gerçure du vent dans le creux de leur cou


 

Et la vie frissonne

Tiède

Wagon de lumière

Sous le reflet de ce brasier de printemps


 

Il pleut sur moi

sur la tombe des bourgeons

Sans fleurs

Des cerisiers.


 

 

 


Poème de « Corps-mémoire » :

 

 

 

Estomac. – Me voilà ainsi

Femme-gare sans destination

graine jetée sans billet

cœur pressé dans la vacuité-vie

où fourmille dans mon silence

la rage de vivre

l’estomac peuplé de craquements-vides

tremblants sous ma mémoire

de Femme-poussière.

 

 

 

* © Extraits poétiques choisis par Nour Cadour et publiés avec son aimable autorisation et celle de ses maisons d'édition.

 

 

À lire aussi l'entrevue réalisée avec Nour Cadour : 

 

Hanen Marouani, « Entretien avec la jeune poétesse, romancière et peintre franco-syrienne Nour Cadour », avec des œuvres de l'artiste et deux photos de Natalie Rezelmann & Ulysse Agassin

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/orientales/no2/no11/hm-entrevue-nourcadour

_______

 

 

Pour citer ces extraits inédits

 

 

Nour Cadour, « Extraits poétiques de mes trois recueils », Revue Orientales, « Les voyageuses & leurs voyages réels & fictifs », n°2, volume 1 & Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre »mis en ligne le 24 août 2022. URL :

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/orientales/no2/no11/cadour-extraits


 

 

Mise en page par Aude

 

 

© Tous droits réservés

Retour au sommaire du N°2

Retour au sommaire du N°11​​

23 août 2022 2 23 /08 /août /2022 18:01

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Dossier majeur | Florilège 

 

 

 

 

 

 

 

 

Notre roseraie

 

 

 

 

 

 

 

Mariem Garaali Hadoussa

 

Artiste plasticienne & poète

Présidente de lassociation "Voix de femme nabeul"

​​​​

 

 

© ​​​​Crédit photo : Mariem Garaali Hadoussa. "Tourbillon de parfums", tableau.

 

 

 

 

Sous le clair de lune,

Notre roseraie prend des nuances bleuâtres.

Les ombres sont douces et arrondies.

On ne voit pas les roses,

On les sent !

Leur parfum embaume l’espace

Et nous transporte dans un monde magique

De parfum à fragrances

Douces et capiteuses !

J’allonge la main

Pour sentir, capturer ces odeurs.

Elles se sont évaporées, envolées !

Elles s’en sont allées rejoindre la lune

Et former un nuage de lait parfumé

Qui nous couvre.

Comme elles seront parfumées, nos pluies !

 

 

©Mariem Garali Hadoussa

 

 

***

 

Pour citer ce poème illustré inédit

 

Mariem Garali Hadoussa (poème & peinture), « Notre roseraie », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre »,  mis en ligne le 23 août 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no11/mgh-notreroseraie

 

 

 

 

Mise en page par David

 

 

© Tous droits réservés

 

Retour au sommaire du N°11

LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Numéro 11 Nature en poésie Muses et féminins en poésie
23 août 2022 2 23 /08 /août /2022 17:37

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Critique & réception | Astres & animaux 

 

​​​​​

 

 

 

 

 

 

 

Jardins empans du rêve

 

poèmes de Colette Nys-Mazure,

 

aquarelles de Colette Ottmann

  

 

 

​​

 

 

 

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

 

 

 

 

© Crédit photo : Colette Ottmann, aquarelle du recueil "Jardins empans du rêve" de Colette Nys-Mazure. 

 ​​​​

 

Jardins empans du rêve paru dans la collection Carnets de Nature Aux Éditions L' Atelier des Noyers.

 

 

 

 

Née à Wavre en Belgique, Colette Nys-Mazure vit aujourd'hui à Tournai. Philologue de formation, elle a été assistante à l'université de Louvain et donné de nombreuses conférences aux universités de Lille et de Namur. Elle est l'auteure d'une soixantaine de livres et se plaît à affirmer que « vivrelirecrire » ne forment qu'un seul et même verbe.

 

Colette Ottmann, artiste alsacienne, explore la vie par le biais de ses aquarelles, gravures et calligraphies qui ne sont autres qu'un « chemin », écrit-elle, dont « on ne sait pas où il mène »…

 

Voilà sans doute pourquoi nos deux Colette cheminent ensemble dans ces « Jardins empans du rêve » ! On songe d'emblée au Jardin des Écritures, au Jardin d'Éden et bien entendu à notre dernier jardin.

 

 

 

 

 

 

© Crédit photo : Première de couverture de l'œuvre de Colette Ottmann, "Jardins empans du rêve", 2022.

 ​​​​

 

 

Ces jardins, qui ont tous partie liée avec notre jardin intérieur, sont les « empans du rêve », l'empan étant cette ancienne unité dont l'envergure est celle de l'ouverture de la main du pouce à l'auriculaire. C'est la mesure exacte de la largeur de ce petit livre d'une élégante sobriété qui ouvre par la magie des mots « un paradis à pas comptés » où l'auteure nous confie « J'écris au crayon / dans la paume de ma main... »

 

Ce recueil est certainement « un livre de botanique » comme le qualifie l'auteure dans un poème car les fines et délicates aquarelles de Colette Ottmann exhalent en fleurissant sur la page blanche un parfum d'âme qui magnifie même les « vocables rétifs ».

 

C'est ainsi que Colette Nys-Mazure nous invite à pénétrer par le poème dans les « Jardins de l'âme » mais aussi à revisiter la « Roseraie de bonne maman » car, confie-t-elle dans un poème calligraphié par Colette Ottmann « L'amour des jardins / s'enracine haut / dans l'enfance ».

Ce petit livre lumineux nous invite indubitablement au recueillement dans le sens premier de ce terme car, écrit la poète, « Au vif de son être / chacun cultive un jardin en accord / selon son vœu le plus intime ».

 

Ce jardin de l'être qui se cultive du bout de l'âme, Colette Nys-Mazure nous en laisse pressentir la grâce et la sérénité d'une musique apaisante tout en laissant ouvert le portail de notre dernier jardin « Quel jardin / emporterons-nous / derrière les paupières / qu'une main amie fermera ? »

 

 

© Françoise Urban-Menninger
 

 

***

 

Pour citer ce texte inédit

 

​Françoise Urban-Menninger, « "Jardins empans du rêve", poèmes de Colette Nys-Mazure, aquarelles de Colette Ottmann », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques N°12 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre »,  mis en ligne le 23 août 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no11/fum-jardinsempans

 

 

 

 

Mise en page par David

 

 

© Tous droits réservés

 

Retour au sommaire du N°11

Bienvenue !

 

RÉCEMMENT, LE SITE « PANDESMUSES.FR » A BASCULÉ EN HTTPS ET LA DEUXIÈME PHASE DE SA MAINTENANCE PRENDRA DES MOIS VOIRE UN AN. NOTRE SITE A GARDÉ SON ANCIEN THÈME GRAPHIQUE MAIS BEAUCOUP DE PAGES DOIVENT RETROUVER LEUR PRÉSENTATION INITIALE. EN OUTRE, UN CLASSEMENT GÉNÉRAL PAR PÉRIODE SE MET PETIT À PETIT EN PLACE AVEC QUELQUES NOUVEAUTÉS POUR FACILITER VOS RECHERCHES SUR NOTRE SITE. TOUT CELA PERTURBE ET RALENTIT LA MISE EN LIGNE DE NOUVEAUX DOCUMENTS, MERCI BIEN DE VOTRE COMPRÉHENSION ! 

LUNDI LE 3 MARS 2025

LE PAN POÉTIQUE DES MUSES

Rechercher

Publications

Dernière nouveautés en date :

VOUS POUVEZ DÉSORMAIS SUIVRE LE PAN POÉTIQUE DES MUSES  SUR INSTAGRAM

Info du 29 mars 2022.

Cette section n'a pas été mise à jour depuis longtemps, elle est en travaux. Veuillez patienter et merci de consulter la page Accueil de ce périodique.

Numéros réguliers | Numéros spéciaux| Lettre du Ppdm | Hors-Séries | Événements poétiques | Dictionnaires | Périodiques | Encyclopédie | ​​Notre sélection féministe de sites, blogues... à visiter 

 

Logodupanpandesmuses.fr ©Tous droits réservés

 CopyrightFrance.com

  ISSN = 2116-1046. Mentions légales

À La Une

  • HIVER-PRINTEMPS 2025 | NO I | Inspiratrices réelles et fictives
    LE PAN POÉTIQUE DES MUSES (LPpdm) REVUE FÉMINISTE, INTERNATIONALE ET MULTILINGUE DE POÉSIE ENTRE THÉORIES ET PRATIQUES HIVER-PRINTEMPS 2025 | NO I | INSPIRATRICES RÉELLES & FICTIVES 1er VOLET Crédit photo : Alphonsine de Challié, « beauty with pink veil...
  • Interview avec Hassina Takilt du magazine HORA 
    N° I | HIVER-PRINTEMPS 2025 | INSPIRATRICES RÉELLES & FICTIVES | 1er Volet | Entretiens poétiques, artistiques & féministes | Voix / Voies de la sororité | Métiers du livre & REVUE ORIENTALES (O) | N° 4-1 | Entretiens Interview avec Hassina Takilt du...
  • Invitation à contribuer au festival Megalesia (édition 2025)
    N° I | HIVER-PRINTEMPS 2025 | INSPIRATRICES RÉELLES & FICTIVES | 1er Volet | Appels à contributions | Agenda poétique Invitation à contribuer au festival Megalesia (édition 2025) Crédit photo : Berthe (Marie Pauline) Morisot (1841-1895), « J ulie-daydreaming...
  • La Femme-volcan
    Événements poétiques | NO II Hors-Série | Festival International Megalesia 2025 « Rêveuses » & « Poésie volcanique d'elles » | II — « Poésie volcanique d'elles » | Florilège | Travestissements poétiques | Astres & animaux / Nature en poésie La Femme-volcan...
  • Poème de « La rivière cotonneuse »
    Événements poétiques | NO II Hors-Série | Festival International Megalesia 2025 « Rêveuses » & « Poésie volcanique d'elles » | I — « Rêveuses » | Florilège | Travestissements poétiques | Astres & animaux / Nature en poésie Poème de « La rivière cotonneuse...
  • Le cœur étincelant d’un joyaux
    N° I | HIVER-PRINTEMPS 2025 | INSPIRATRICES RÉELLES & FICTIVES | 1er Volet | Dossier mineur | Florilège | S'indigner, soutenir, lettres ouvertes & hommages Le cœur étincelant d’un joyaux Poème élégiaque par Françoise Urban-Menninger Blog officiel : L'heure...
  • Albert Strickler, poète de la grâce et de la lumière
    N° I | HIVER-PRINTEMPS 2025 | INSPIRATRICES RÉELLES & FICTIVES | 1er Volet | Dossier mineur | Articles & témoignages | S'indigner, soutenir, lettres ouvertes & hommages Albert Strickler, poète de la grâce & de la lumière Hommage / texte élégiaque par...
  • Il ne faudra plus raconter des histoires, récit de Sandrine Weil sous-titré Le livre de Jean, 1942-1945, un enfant dans les camps paru chez L’Harmattan dans la collection Graveurs de Mémoire
    Événements poétiques | NO II Hors-Série | Festival International Megalesia 2025 « Rêveuses » & « Poésie volcanique d'elles » | Critique & réception | « Poésie volcanique d'elles » | Articles & témoignages Il ne faudra plus raconter des histoires, récit...
  • Festival Fuerza, Femmes pour la paix du 4 au 8 juin, Quai de Scène à Strasbourg
    Événements poétiques | NO II Hors-Série | Festival International Megalesia 2025 « Rêveuses » & « Poésie volcanique d'elles » | Critique & réception / Réflexions féministes | Voix / Voies de la sororité Festival Fuerza, Femmes pour la paix du 4 au 8 juin,...
  • Ma rencontre avec Hélène de Beauvoir
    N° I | HIVER-PRINTEMPS 2025 | INSPIRATRICES RÉELLES & FICTIVES | 1er Volet | Dossiers majeur & mineur | Articles & témoignages | Poésie visuelle / Poésie & mode | Revue Matrimoine | Voix / Voies de la sororité Ma rencontre avec Hélène de Beauvoir Témoignage...