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Petit éclairage de l’œuvre de Maximine
Présentation & photographies de
Photographie des auteures par
© Crédit photo : Claude Menninger respectivement de gauche à droite : Françoise Urban-Menninger avec Maximine lors de l'une des lectures de Maximine à Strasbourg.
Contexte dans lequel cette étude a été réalisée :
J'ai lu cette étude consacrée à Maximine (une merveilleuse poète !) à l'Université de Clermont-Ferrand en 2011 dans le cadre du colloque Poésie au féminin organisé par Patricia Godi.
La revue Résonances parue tardivement et qui regroupe de très nombreuses interventions réparties sur plusieurs années contient seulement mes poèmes, cet éclairage de l'œuvre d'une très grande dame de la poésie est inédit. Il comporte des extraits de ses recueils et des couvertures de ses ouvrages ainsi qu'une photo prise par le photographe Claude Menninger où nous apparaissons toutes les deux lors de l'une de ses lectures à Strasbourg.
© Crédit photo : Première de couverture illustrée du recueil de Maximine "Au front des sapins".
Le titre de mon intervention : Maximine, une poésie jubilatoire qui fait chanter l’âme et le corps au féminin dans une parfaite symbiose avec la nature et les quatre éléments résume à lui tout seul une poésie inclassable qui a été saluée par Georges Mounin, puis plus tard par Henri Thomas.
Mais avant d’aller plus loin, intéressons-nous à l’auteure
Maximine est née le 25 septembre 1952 à Saint-Claude dans le Jura. Maximine, son nom de plume, est aussi son prénom comme il fut celui de sa mère et de sa grand-mère.
Après son baccalauréat en 1970, elle poursuit des études de lettres et obtient son agrégation en 1975, sa vie professionnelle sera par la suite consacrée à l’enseignement, puis aux bibliothèques, principalement à l’Institut National de Recherches Pédagogiques et actuellement à la bibliothèque municipale de Moret-sur-Loire où elle s'enthousiasme, d'après ses propres termes, pour les contes destinés aux enfants.
Mariée au philosophe André Comte-Sponville de 1978 à 1996, elle aura quatre enfants et accueillera une petite fille chinoise. Elle effectuera plusieurs séjours en Chine où ses poèmes sont édités en deux magnifiques livres d’art. Dans les années 90, Maximine donne une nouvelle traduction des grands recueils de Rilke : Les Élégies de Duino, les Sonnets à Orphée et Le livre de la Pauvreté et de la Mort.
L'écriture de Maximine
Ce qui frappe le lecteur d'emblée dans les recueils de Maximine et qui le ravit tout à la fois, c'est l'usage de la même forme régulière qui parcourt toute l'œuvre et l'irrigue d'un même souffle mais toujours renouvelé. Ainsi dans L'ombre la neige , Quotidienne à son amour , Au front des sapins, Un cahier de Pivoines ou Somme d'amour, l'auteur décline sa rime en douzains et le plus souvent en quatrains d'octosyllabes. Naît ainsi un refrain presque familier qui nous renvoie à la poésie des troubadours et qui nous revient aujourd'hui comme une musique intemporelle tissée de joie et de douleur mêlées qui traverse l'œuvre de Maximine. Georges Mounin nous le disait dans l'un de ses ouvrages Avez-vous lu Char ?, « La pénétration du poème se fait au hasard des émotions, loin de la logique des ouvrages ».
Dans L'ombre la neige, Maximine évoque la mort de sa petite fille et Christian Bobin dans une lettre postface lui écrit : « Votre écriture est un jardin... », et plus loin, « Il y a aussi dans votre livre cette présence simultanée du beau et du terrible, de la voix et du râle. C'est ce qui donne à vos poèmes une joie profonde, une joie réelle, une joie qui n'oublie rien de la douleur comme un fleuve lumineux, toujours inquiet de sa source, toujours s'en souvenant ».
Cette joie dans la douleur est proche de celle de l'enfantement et renvoie bien évidemment au travail de l'écriture où vie et mort n'ont de cesse de se côtoyer dans un poème dansé, irrigué par les battements de cœur de l'auteur qui lui donne vie en parfaite symbiose avec les éléments cosmiques.
© Crédit photo : Première de couverture illustrée du recueil de Maximine "L'ombre la neige".
Les quatre éléments et les quatre saisons
Ces quatre éléments nous parlent des quatre saisons de la vie: naissance, adolescence, maturité, vieillesse et font écho bien entendu au printemps, à l'été, à l'automne et à l'hiver et nous parlent de l'eau, du feu, de la terre et de l'air. Car dans les poèmes de Maximine, les quatre éléments cosmiques sont toujours présents, ils fusionnent dans le fond et dans la forme pour se transmuter et libérer une énergie que je qualifierai « d'ivresse jubilatoire qui fait chanter l'âme et le corps au féminin ». Chaque quatrain composé de rimes embrassées est un tout qui contient les quatre âges, les quatre éléments, les quatre saisons. Le philosophe Nicolas Berdiaeff suggérait déjà cette osmose entre la femme et les éléments : « La femme est plus que l'homme liée à l'âme du monde, aux premières forces élémentaires... Les femmes sont prédestinées à être, comme dans Les Évangiles, les porteuses d'aromates ».
Voici un extrait de L'ombre la neige :
« Si radieuse elle venait
Route bleue nuée d'aubépine
Un bel amour on le devine
Au ciel dedans les yeux qu'il met »
Ce « elle », c'est bien évidemment Maximine mais ce « elle » renvoie également à toutes les femmes dont l'auteur semble brandir l'étendard. Ce « elle » qui sonne comme un défi, c'est aussi la femme et l'écriture qui ne finissent par ne faire plus qu'une comme on le verra plus loin. Mais revenons à ce petit quatrain où l'adjectif « radieuse » donne à entendre ou à voir la jubilation à laquelle je faisais allusion, à cette « joie réelle » dont parlait Bobin. L'aubépine dans ces quatre vers nous dit le printemps au sens propre mais symbolise aussi les prémices de la vie. Terre et ciel s'entremêlent dans cette route bleue où
« Bien plus qu' heureuse elle marchait
Comme doivent marcher les anges
Et si de tels mots vous dérangent
En voici d'autres: elle rêvait »
Nous sommes ici dans le poème qui n'est autre qu'un rêve éveillé mais la réalité est cette douleur qui transperce le cœur du poète qui finit par briser et les vers et le rêve :
« Je rêve et si je le pouvais
Je parlerai si beau du monde
qu'une merveilleuse seconde
La douleur de honte en mourrait »
Pas d'amour sans douleur, pas de vie sans la mort. Le poème est son tout et son contraire, c'est à dire ce rien qui abolit le temps ou le suspend dans une grâce tout éphémère. Le poème est tout car il exprime notre nature cosmique, Bachelard auteur de La poétique de la rêverie aurait apprécié sans conteste les poèmes de Maximine et surtout ce vers « Notre sang charrie les étoiles » qui laisse entendre que nous portons en nous l'inconscient du monde minéral, végétal, animal, humain...Nous sommes faits de cette poussière d'étoiles dont nous parle le physicien Hubert Reeves qui nous a appris que notre matière est identique à celle des étoiles mortes. Mais nous sommes également faits de la chair des hommes et des femmes qui nous ont précédés. Tout cela Maximine l'appréhende et nous le chante :
« Savoir savoir de quoi l'on parle
Ou de qui parlant de nos morts
Quelle voix nous diffuse encore
L'écho bleui d'astres moins pâles ? »
L'interrogation sur notre origine a partie liée avec celle de notre fin. Ainsi chaque vers est une danse où vie et mort se frôlent sans se heurter comme dans le flamenco que Maximine a beaucoup pratiqué et dont on retrouve les accents déchirants dans Un cahier de pivoines .
Dans ce recueil flamboyant, les pivoines éclatantes de couleur sont filles du désir « Et de la merveille d'être vivant ». Ces pivoines crient l'amour fou, hurlent à la mort, elles sont filles et sœurs de la jouissance et du désespoir.
« Chacune chantre d'un amour
Chacune chantier d'une extase
Elles jubilent puis s'écrasent
Le printemps sera de retour »
On l'aura à nouveau compris, la jubilation porte en elle l'épine de la désespérance. On songe à Georges Brassens et au poème d' Aragon: Il n' y a pas d'amour heureux .
Mais quand l'amour vibre, alors le poète est au diapason du monde et sa force vive transparaît dans chaque vers. On entend, on voit Maximine danser le flamenco et avec elle le choeur des femmes qui l'ont précédée dans l'écriture. On pense au bel hommage que lui fit l'écrivain Paul de Roux qui écrivit : « De nos jours dans la filiation conjuguée de Louise Labé et d'Edith Piaf, se fait entendre une voix tour à tour passionnée ou plaintive, dont l'un des mérites est de se ficher éperdument des modes littéraires ». Dans Un cahier de pivoines, Maximine écrit comme elle danse jusqu'à l'ivresse, jusqu'au vertige. Une majuscule en plein vers et on l'entend frapper le sol de son talon comme on le fait pour marquer le rythme dans le flamenco car elle nous le dit, elle nous le confie, il faut faire vite, l'amour n'a qu'un temps....
« Pivoines affolées d'extase
Il faut faire vite Le temps
N'a qu'une lampée de printemps
À consacrer à leur grivoi-
series de filles éperdues
Rosies rougies de leur audace
Audace de la pivoine ou de la femme désirante mais également audace de l'auteur qui coupe un mot en deux à la fin d'un quatrain pour en lancer un autre avec le reste du mot, Maximine saute d'un quatrain à l'autre, d'un pied sur l'autre au sens propre et au sens figuré et rougit de son audace comme une pivoine...
© Crédit photo : Première de couverture illustrée du recueil de Maximine "Un Cahier de pivoines"
Le corps de la femme poète qui danse et l'écriture s'interpénètrent dans un ballet nuptial où les pivoines n'en sont que le prétexte au sens littéral du terme et Maximine d'avouer dans un vers où les mots dans le fond et la forme fusionnent dans une belle allitération : « – C'est mon amour qu'elles me nomment ». Ainsi les mots se mettent à danser sur le papier, la calligraphie, la ponctuation, les majuscules au milieu d'un vers participent au rythme qui est tout à la fois visuel et auditif. Le vers est scandé tel un corps en mouvement perpétuel car, et Maximine, nous donne la réponse dans un quatrain de Somme d'amour, sa poésie et elle ne font qu'un :
« Vous vous demandez qui elle est
Cette femme criant Je t'aime
Mais elle est la poésie même
son désespoir et ses secrets »
Dans Somme d'amour, toujours,son dernier recueil, Maximine écrit, et dans le même temps, chante le temps d'écrire car encore une fois l'amour et l'écriture participent d'un même élan et disent ce même bonheur d'être au monde en phase avec le cosmos.
« Elle est à soi-même son bouquet
Couronnée d'un été qui chante
Elle va tout désir allante
Et le poème ainsi se fait
Les mains pleines de ton attente
Elle n'a rien à t'apporter
Cœurs et pas mêmement légers
Que ces mots de femme vivante
Elle n'a rien la bienvenante
Qu'à toi cette joie de venir
D'autres baisers et dire
Ce chant d'un matin d'une amante »
Dans Un cahier de pivoines, Maximine exulte et s'écrie :
« Balafres faites aux jardins
Par une faux rouge démente
– Je suis fière d'être une amante
– Je suis fière de n'être rien »
Le mot est prononcé, Maximine est une éternelle amante et son écriture est celle d'une femme désirante qui danse sur cette lisière où vie et mort se côtoient. Femme incendiaire et incendiée, elle se brûle aux feux des mots et de l'amour, elle renaît sous la cendre en hiver quand elle évoque son Jura natal dans son recueil Au front des sapins et qu'elle s'écrie que la neige est son écritoire, elle ira même jusqu'à employer le mot de « parenté » quand elle parle des sapins.
« Sapins comme mon écriture
Songes en lignes rangés fous
D'azur d'azur et d'hivers où
La neige et le silence durent
Fous de droiture et de beauté
De rectitude et de mystère
J'ai vécu sous verte bannière
Fière de notre parenté
Sapins quand je ne serai plus
Qu'une pierre dans la vallée
A mes fils au temps vous direz
Le songe en vous que je vécus...
Ainsi Maximine confirme sa parenté avec les sapins, les pivoines, elle est bien en symbiose avec cette nature qu'elle affectionne et dont elle nous confie qu'elle est faite. L'hiver, le printemps, l'automne, l'été la transportent tout entière dans une fête des mots où naît le poème et dans lequel, elle s'incarne corps et âme.
Je reprends ici le bel hommage de Paul de Roux qui écrivait encore à propos de Maximine que « son écriture est aussi virtuose et élégante que celle de Louise Labé, aussi puissante et émouvante que la voix d'Edith Piaf ». C'est dire encore une fois que la voix de Maximine porte en elle d'autres voix, celles des femmes poètes qui l'ont précédée mais également celles de sa mère et de sa grand-mère qui ont toujours rêvé d'écrire et dont elle porte le prénom saluant ainsi ces femmes du silence qui vivent en elles et à travers elles. Le poème devient ainsi le lieu où la « féminitude » de Maximine peut tout entière s'exprimer sans fard, c'est le lieu intemporel d'une liberté revendiquée dans le texte même où l'écriture se plie à sa joie, sa colère, sa peur jusqu'à devenir une peau vivante qui frémit sous les mots.
Si Maximine conjugue toutes les voix de femmes dans ses vers, elle est elle-même toutes ces femmes qu'elle chante et fête. Elle a été la petite fille aux « sapins hantés » ou « aux sapins de capes et d'épées » qui ont crénelé le ciel de son enfance ou encore l' « écolière d'un horizon/ Découpé dans du coton vert », c'est vers eux qu'elles se tournent pour évoquer sa mort car de son enfance « elle a gardé les cailloux en poche » :
« C'est Noël une fois encore
Combien m'en reste-t-il à vivre? »
(Au front des sapins)
Et quand vient l'adolescence, puis la maturité, l'Amour avec un grand A est décliné sur tous les tons: celui de la provocation, de la revendication, de l'unique raison de vivre. Cette aspiration à l'Amour sous-tend tous les textes. L'amour est à la fois l'aspiration et l'inspiration qui donnent sens, si l'on peut dire, à l'éternelle amante de la vie. Voilà comment on peut entendre la musique de Maximine qui déclare elle-même qu'elle est une chanson :
« Ils diront c'était une femme
Et moi j'étais une chanson
Comptant à mes doigts les saisons
Et mes amours dans les étoiles ».
(Somme d'amour)
Le doute n'est plus permis, Maximine traverse la vie avec une rage de vivre et d'aimer qui implosent dans sa poésie. Le titre de l'un de ses recueils Quotidienne à son amour éclaire cette oeuvre qui fait fusionner l'âme le corps et l'écriture dans une exaltation sensuelle où la couleur rouge de la pivoine renvoie à celle du flamenco, à celle du sang, de la peur, de la colère ou de la folie. Mais la chute n'est jamais loin, l'écho de sa propre mort hante chaque vers de Maximine, le bonheur est un vain mot, il n'y a que le désir éperdu d'amour jamais assouvi que seul le poème peut prolonger dans un cri infini et qu'elle qualifie de « parcelle d'incendie » dans Un cahier de pivoines.
« Voici mars et moi j'attends mai
Pour voir les pivoines fleurir
Je ne veux pas avant mourir
D'en avoir fait d'autres bouquets
Les pousses sont déjà sorties
Bordeaux comme les vins de fêtes
Ah pivoines ce que vous êtes
Est reflet de ce que je suis
Pas grand chose une joie de vivre
Et de s'ébouriffer au vent
Une rouge peur en sachant
Qu'aucun amour ne vous va suivre »
Pour conclure cette modeste approche de l'œuvre de Maximine qui mérite bien plus que ce petit éclairage mais qui, je l'espère, aura su retenir votre intérêt, je terminerai par la lecture d'un poème de Maximine tiré de Somme d'amour qui contient toute l'essence et la fragrance de sa poésie. J'ajouterai avant cette lecture la remarque de George Mounin qui a aimé la poésie de Maximine et qui a écrit « Ce n'est pas parce que tel langage est éternel qu'il y a poésie, c'est parce qu'il y a poésie qu'il devient éternel ». C'est bien l'émotion qu'il faut éterniser et non la matière linguistique et de donner une définition du poème que je reprends ici : « Langue de la grâce comme il est celle de l'amour, et parce qu'il est celle de l'émotion, tout poème n'est peut-être au fond qu'un bonheur décrit dans sa propre langue ».
© Crédit photo : Première de couverture illustrée du recueil de Maximine "Somme d'amour".
Voici pour clore cette présentation, ce dernier poème :
« Semeuse au panier d'étoiles
Elle va jetant gaiement
Dans l'oubli la nuit le vent
Ses mots d'astre et de cigale
Oublieuse être une femme
Elle voudrait ne rester
Que ces pages étoilées
D'encre bleue C'était son âme
Peut-être même elle veut
Elle qui aimait danser-
Qu'on brûle tout ce papier
Qu'elle en reste que le feu »
© Françoise Urban-Menninger
Bibliographie
I. Ouvrages écrits par Maximine
Poésie
Alphabètes, Quintette, 1986
Fablier, Quintette, 1987
L'ombre la neige, Arfuyen, 1991
Poèmes Nue, Tétras Lyre, 1995
Quotidienne à son amour, Paroles d'Aube, 1998
Un cahier de Pivoines, Arfuyen, 2002
Les Visiteuses, suivi de Quelques Lilas, Maison de Poésie, 2003
Au front des sapins, Arfuyen, 2005
Somme d'amour, Arfuyen, 2010
Livres d'art
Les yeux précieux, suivi de Litanies du Feu en 1996
Dits de la Folie des Pivoines, 300 exemplaires avec 39 reproductions d'aquarelles différentes
Ces deux ouvrages réalisés dans des coffrets de soie ont des attaches d'os à la façon chinoise et sont illustrés par Chen Jin He et Toulet Miziamuk
Traductions
Les Élégies de Duino, de Rainer Maria Rilke, Actes Sud, 1991
Les Sonnets à Orphée, de Rainer Maria Rilke, à paraître aux Éditions Arfuyen
Revues : Paroles d'Aube, Arpa, Critique, Poème 93, Caravanes, Le Coin de Table, Les Heures, Florilège, Casse, La Revue Alsacienne de Littérature
Sitographie
Site du Printemps des Poètes
Site d'Arfuyen
Site de Poezibao
II. Ouvrages de référence
Gaston BACHELARD, La poétique de la rêverie de, Presses Universitaires de France, 1978
Nicolas BERDIAEFF, La signification de l'acte créateur, 1920
Christian BOBIN (postface de) dans L'ombre la neige de Maximine, Éditions Arfuyen, 1991
Dossiers de presse sur les sites des Éditions Arfuyen et Poezibao avec des références à Georges MOUNIN, Henri THOMAS et des appréciations de Paul de ROUX
Georges MOUNIN, La communication poétique, précédé de Avez-vous lu Char ?, Éditions Gallimard, 1969
***
Pour citer cet article inédit du matrimoine poétique
Françoise Urban-Menninger, « Petit éclairage de l’œuvre de Maximine », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poéféministes 2022 | « Calendrier du matrimoine poétique 2022 » & N°12 | AUTOMNE-HIVER 2022-2023 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 13 décembre 2022. Url :
http://www.pandesmuses.fr/no12/matrimoinepoetique22/fum-sur-maximine
Mise en page par David
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