Avec tes gros trous dans les narines
Tu ne peux manquer d’hémoglobines
Ni de globules rouges et tes babines
Injectent une profondeur féline
À tes baisers tant doux que mirifiques
Il semble que nous sommes identiques
Peut-être que tout cela explique
Mon amour et mes gestes romantiques.
***
Pour citer ce poème
Nsanzimana, « Les yeux parlent aux yeux », poème inédit, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°9 | Fin d'été « Femmes, Poésie & Peinture », mis en ligne le 25 novembre 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/no9/rn-auxyeux
Mise en page par David Simon
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