1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 07:00

 

Nouvelles

Jardin d’enfance
&

La Portugaise

      

  Véronique Ejnès  

 

jardin 2-72.2

Crédit photo : Collection Jardins par Claude Menninger

 

    

Jardin d'enfance

 

 

 

 

C’était un magnolia resplendissant au printemps, qui invitait à entrer dans la cour au fond de laquelle une belle maison à colombages ouvrait ses portes et ses fenêtres sur une pelouse bordée de rosiers, où s’attardaient les soirs d’été, jusque tard dans la nuit, autour d’un verre, parents et amis.

 

Des bruissements de conversations, ponctués d’éclats de rire, me parvenaient comme chuchotés, jusque dans ma chambre du premier étage, aux fenêtres ouvertes, aux volets mi-clos, sauf celle donnant sur le jardin.

Un noyer y arrimait mon regard. Je tentais de deviner, dans les entrelacs du feuillage, ce qui se tramait en bas, entre les adultes.

Des complicités, des regards, des frénésies peut-être…

 

L’été, le noyer couvrait d’ombre toute la partie sauvage du jardin, précédée par le quadrillage des plates – bandes de haricots, laitues, tomates, rhubarbe, petits – pois, fraises,…que mon père cultivait avec une attention, dont j’ai compris plus tard qu’elle était l’expression d’une forme d’amour tout à fait particulière, qui venait nourrir son amour éperdu pour ma mère, s’ancrait dans la terre, la manière de la retourner, de la laisser en jachère, de la reprendre, …ou le contraire.

 

Et j’étais émue. Je ne savais pas très bien pourquoi.

Assise au fond du jardin, sur le petit muret, adossée au soleil de l’après-midi qui me chauffait doucement les reins et la nuque, j’avais 15 ans et je regardais mon père, absorbé, tout à son affaire, (bêchant et binant, arrachant les mauvaises herbes,…)

J’écrivais mon journal, et je pensais que l’aventure, c’était çà ! d’écrire.

D’écrire comme on plante, comme on voit les saisons passer, les légumes pousser, les fruits mûrir.

 

Ma tante nous rejoignait le dimanche à déjeuner. Elle était adepte de La Vie Claire, achetait du sucre brun, « azucar de izquierda » au magasin équitable d’Artisans du Monde, alphabétisait des familles entières de Maghrébins qui l’invitaient à des méchouis, pour avoir accepté de trimbaler le mouton dans sa Diane blanche, qui serait sacrifié dans la baignoire d’un F4 de la Cité du Neuhof.

 

Elle prônait un jardin écologique, sans engrais ni pesticides. Tant pis pour les laitues en dentelle et les fraises forées de tunnels, par les limaces.

Mon père ne se laisserait pas entamer.

 

La conversation s’enflammait, le ton montait, entre les œufs mimosa et le gigot-haricots-verts-frais-du-jardin. Ma mère nous resservait des flageolets, histoire de temporiser. Ma tante ne voulait pas lâcher prise. Il y allait de l’avenir de la planète, du tiers-monde et du quart-monde, de l’équilibre Nord-Sud,…

Elle était abonnée au Nouvel Obs.

 

J’étais le témoin de ces échanges, comme on regarde un spectacle de catch à la télé, et je pensais aux limaces, mortes dans leur bave, sans avoir pu jouir des fraises, mûres, rouges, parfaites, (et peut-être empoisonnées !), ignorantes des débats sur les enjeux internationaux, que suscitaient leur morne vie d’invertébrés.

 

Au moment, où ma tante, dans un ultime recours, choisit de dégoupiller l’argument hautement inflammable du conflit israëlo-palestinien, mon père éclata d’un « Mais laissez-moi être le maître de mes fraises ! »

 

Au détour de ces échauffourées dominicales, où se jouait rituellement la place de chacun sur l’échiquier familial, dans un équilibre périlleux entre la défense des grandes causes et celle des plates-bandes, ma tante s’était donné pour mission de monter au créneau, mon père, celle d’en découdre avec ma tante, ma grand – mère, quand à elle, était pour la paix au foyer, et ma mère, - ma mère ! prenait le parti de se laisser aimer.

 

« Le maître de ses fraises » !?

 

  • Il y eut un silence.

 

Paroles vaines, pensées futiles, vents contraires refluèrent à toute vitesse, tels des lapins dans leurs terriers, au son du clairon. Des ondes se déployèrent de manière concentrique, ridant la surface de l’air, soudain devenu palpable. Le temps se concentra un instant dans le regard acide du chat, roulé en boule sur le buffet Chippendaele.

Une chaise couina.

D’un coup, l’excitation s’évanouit comme des épinards en hiver.

 

Un nouvel ordre s’instaurait.

 

« Un homme et ses femmes. »

 

Ce jour là, mon père avait gagné des quartiers de noblesse inespérés.

 

 

(texte écrit 1ermars 2007)

 

 

 

 

La Portugaise

 

 

 

 

J’avais dix ans, et j’avais tout qui était resté là-bas, au Portugal.

On est parti sans rien, sans photos, sans rien.

Sauf, un morceau de faïence bleu et blanc, que j’ai ramassé sur le chemin, avant le grand portail, un morceau d’azulejo.

Je voulais emporter quelque chose de la maison, je ne savais pas quoi. Je l’ai mis dans la poche de ma veste.

Dessus, il y a le dessin d’un oiseau bleu sur une branche d’arbre, prêt à s’envoler. On voit juste un bout de branche brisé, là où le carreau s’est cassé.

L’arbre, il est resté quelque part, là-bas, sur le morceau qui manque.

Il y a quelques années, j’ai voulu me débarrasser de vieux habits, pour les donner à Emmaüs. Quelque chose est tombé d’une poche. C’était mon bout de ciel et de terre cuite.

Il me quitte plus.

 

Margarida, c’est mon nom.

Une fleur déracinée.

Je me suis replantée ailleurs. Ici, c’est chez moi, mon petit paradis terrestre et toutes les fleurs que vous voyez là, elles font partie de la famille.

Les dahlias, les pivoines, les géraniums,…c’est comme mes sœurs, mes cousines, mes nièces. Elles aiment l’eau. C’est des Alsaciennes !

Margarida, c’était un nom prédestiné, hein ?

Un nom prédestiné pour l’amour.

 

Je t’aime un peu, beaucoup, à la folie, pas du tout. On les effeuille, et comme ça, on lit dans la pensée de celui qu’on aime. Moi, je recommence toujours jusqu’à ce que je tombe sur « à la folie ».

Chez nous au Portugal, on s’arrête pas là, après on presse le cœur de la marguerite dans le creux de la main, ça fait plein de petits pistils jaunes, on les fait sauter en l’air en retournant la main, très vite, comme çà, et ceux qui retombent sur le dos de la main, ça vous fait le nombre d’enfants avec votre chéri.

C’est mieux, quand il y en a plein.

Moi, je suis d’une famille de dix. Les enfants, les plantes, les fleurs, j’aime çà.

Surtout les roses.

C’est ça qui m’a fait rester ici.

 

Moi, c’est toujours à la folie, ou pas du tout. Avec mon tendre. Il est d’ici, lui. Moi, j’ai quitté ma terre, on a été chassé avec toute ma famille. Pour des histoires politiques. Mes parents avaient une grande ferme, des champs, des vaches, des chevaux, tout ce qu’il faut. Et on a du partir, et ça c’était la galère. On était « réfugiés », on est venu en hiver en Alsace, on a du changer plusieurs fois de maison parce - qu’on n’avait pas de papiers et que la police nous courait après.

 

Moi, c’était mon pays, lui, c’était ses parents. On était « coupés ». Ils les a pas connus.

Il a pas de souvenirs.

De la DDASS.

 

Moi, au moins, j’en ai… du printemps surtout !

Dans l’Alentejo, c’est la plus belle saison, avec tous les vergers en fleurs derrière la maison, les oliviers, sur la colline, ça fait comme une mer blanche, sur un peu de vert. Sinon c’est trop chaud et sec en été, et trop froid en hiver.

Avec mon tendre, on s’est adopté tous les deux. Et puis on s’est mariés.

 

J’y suis retournée une fois, avec lui.

La ferme, je l’ai pas reconnue. A l’entrée, il y avait un panneau, « Quinta de Rosa » avec trois étoiles, et en gros, « Welcome, Benvenuto, Willkomen, Bienvenue ».

Ils avaient démoli l’étable, l’écurie et les autres dépendances, pour les transformer en « chambre d’hôtes de charme », avec piscine.

C’est là, que j’ai eu l’idée… pour mon jardin !

 

Les azulejos, sur la maison, ils avaient disparu. Des personnes sont sorties sur le perron, ils parlaient une langue que je comprenais pas. Ça devait être des Hollandais ou quelque chose comme çà. On s’est excusé, moitié en français, moitié en portugais. On a dit qu’on connaissait les gens qui habitaient là, autrefois, qu’on passait dans le coin, c’était sur notre route. On voulait juste faire une petite visite, voir si, par hasard, les enfants étaient encore par là.

C’était nous, les étrangers.

 

J’ai pris mon mari par la main. On est allé derrière la maison. Je voulais lui montrer la colline, les vergers, les oliviers. Je me suis assise dans l’herbe, le dos contre le mur, et là, j’ai pleuré. Lui, il s’est assis à côté de moi, il m’a caressé les cheveux, longtemps, tout doucement, et on a rien dit.

Pour la première fois, je lui ai parlé de mon frère aîné, comment on se roulait dans l’herbe en poussant des cris, du haut de la colline. Il nous apprenait à faire de la musique avec des herbes. Il les mettait entre ses dents et sa langue, la bouche en O, avec les mains devant la bouche, comme pour jouer de l’harmonica. Ça faisait des sons bizarres. Il était assis dans la brouette et nous, ses frères et sœurs, autour.

Un roi sur son trône.

Beaucomme Peter Pan.

 

Un jour, il a disparu. On a plus jamais eu de ses nouvelles. On a pas su ce qu’il avait pu trafiquer, dans quel pétrin il s’était fourré. C’était un sang chaud. Un pur.

Un jour, mes parents ont reçu une lettre de Lisbonne, avec un liseré noir tout autour.

C’est après, qu’on a du partir.

Il s’appelait Joao.

C’était lui, le meilleur pour la musique. Il charmait les filles, avec çà. Elles tombaient toutes comme des mouches.

 

Avant de partir de ce qui était plus chez moi, depuis longtemps, j’ai voulu voir si la remise à outils, au fond du jardin, elle était encore là. Ils y avaient pas touché. En mauvais état, le toit défoncé. J’ai ouvert la porte.

Ça grinçait. On voyait pas grand-chose. Des toiles d’araignées. La pelle, la pioche, la bêche, le râteau, la binette, la faux, tous les outils de jardin de mon père, étaient là, tous rouillés. Et à côté de l’arrosoir, au fond, là, j’ai eu un choc. Il y avait la brouette. Je me suis approchée. Je l’ai touchée, ça m’a fait comme une décharge électrique. Je me suis retournée. Mon mari était resté debout, sans bouger, devant la porte ouverte, avec le soleil dans son dos. On aurait dit un géant, avec son ombre qui entrait dans la remise.

Je l’ai regardé droit dans les yeux que je voyais pas, à cause de la lumière derrière.

Il a dit « Gottverdam ! » Ça sentait la terre et la poussière. J’ai pas eu besoin de lui dire « Viens ! »

Quand je me suis relevée, on voyait mieux, dedans. C’est là que j’ai vu la pile. Tous les carreaux de faïence de la maison, ils étaient là.

Et mon arbre, celui de la branche brisée.

 

J’ai dit à mon mari. Les azulejos, je les laisse pas là. Il m’a dit, t’es folle, t’es trop sentimentale. Et c’est trop lourd, de toutes façons. Je l’ai regardé droit dans les yeux et j’ai posé ma main, là où c’était encore dur.

Il a plus rien dit. Mon tendre.

La nuit, il est revenu avec un grand sac et une lampe de poche.

 

On n’y est plus jamais retourné.

Les azulejos, je les ai gardés longtemps, mais je savais ce que je voulais en faire. C’est moi qui les ai cassés, en petits morceaux, avec un marteau, des petits morceaux d’une autre vie.

Une mosaïque pour la piscine.

Comme les patchworks que ma mère cousait avec des chutes de tissu de toutes les couleurs, pour en faire des dessus de lit.

 

Un bout d’Alentejo, dans mon jardin, bien au milieu, c’est bien çà ! ça réconcilie.

Mon jardin, il est au centre du monde.

Je ferai une niche spéciale, pour mon frère, Joao.

Avec les mosaïques bleues. Avec les morceaux de l’oiseau sur la branche et de l’arbre. Je vais les coller ensemble. Y aura que moi, pour savoir. Tous les jours, que je pourrai, je lui mettrai une rose.

Juste une.

 

Une rose noire. Une « Reine de Saba ». C’est moi, qui l’ai baptisée comme çà.

À cause de sa couleur, et à cause de Salomon.

La beauté et la justice, ça va pas toujours ensemble.

Le noir et le bleu, je vais les marier.

C’est beaucoup de travail. C’est beaucoup d’amour. C’est du temps.

 

Le rêve de ma vie, c’était une roseraie, avec une piscine.

Ma couleur préférée pour les roses, c’est rouge sang.

J’ai un fils dans les fleurs, et un autre dans les légumes.

Mes racines, je les invente tous les jours, ici dans mon jardin, avec mes fleurs, mes rosiers, mon homme.

Si je devais naître une deuxième fois, je m’appellerais Rosa.

Les rosiers, j’en ai deux cent quatre vingt deux, et je me donne encore trois ans pour en avoir cinq cent.


 

(texte écrit le 30 mars 2007)

 

 

 

Pour citer ces textes

Véronique Ejnès, « Jardin d’enfance »  & «  La Portugaise  », Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Dossiers « Jardins d'écritures au féminin », « Muses & Poètes. Poésie, Femmes et Genre », n°3|Été 2013 [En ligne], (dir.) Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 1er juin  2013.  

Url.http://www.pandesmuses.fr/article-n-3-jardin-d-enfance-la-portugaise-117752780.html/Url.

 

Auteur(e)

Véronique Ejnès est directrice artistique de « La ville est un théâtre », structure nomade de conception et de production d’actions artistiques, d’édition,…qui ont pour cadre et source d’inspiration, la ville, - réelle ou imaginaire, la ville vécue, la ville invisible… Elle conçoit la ville comme un palimpseste de récits et de fictions, qu’il s’agit de « révéler » comme une écriture cryptée à l’encre sympathique, à l’aide de « passeurs », qui les transfigurent et nous les transmettent, à neuf, avec leurs propres outils : écrivains, poètes et aussi : comédiens, musiciens, plasticiens, lecteurs, habitants ou simples promeneurs… Publications : « Envie d’avoir de tes nouvelles », recueil de cartes postales littéraires, — Goncourt de la Nouvelle —Strasbourg, 2004; « Les Théâtres par Objets interposés », Cahiers Partages N°3, ODIA Normandie, 2006 ; « Jardins Secrets, la cabane à outils » – Ecrire à partir du témoignage, Nouvelles écritures de la scène, Agence Culturelle d’Alsace, Sélestat, 2008

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