Commençons par le commencement, et cette fois-ci nous préférons oublier la formule magique Il était une fois pour prononcer celle d'une aïeule bien connue :
On ne naît pas femme, on le devient
(Simone de Beauvoir, Le deuxième sexe)
Le Pan poétique des muses revendique ainsi sa parenté intellectuelle féministe sans pour autant nier ses autres racines...
Les difficultés rencontrées s'effacent quand on pense au bonheur de transmettre une idée noble et nécessaire au bien commun de toute l'humanité.
Le récit de la naissance douloureuse/heureuse du pan poétique des muses s'écrit déjà et nous dépasse...
Cependant, nous voudrions commencer le numéro par le mot Merci qui exprime bien notre sentiment à l'égard de celles et de ceux qui ont contribué au lancement de la revue et qui ont soutenu notre projet.
Toute l’équipe de la revue vous souhaite une bonne lecture et une agréable promenade poétique en notre compagnie. N’hésitez pas à nous faire part de vos suggestions, avis et/ou de nous faire parvenir vos poèmes, articles et autres propositions.