12 juillet 2023 3 12 /07 /juillet /2023 10:10

N°14 | Les conteuses en poésie | Dossier majeur | Florilège / Poésie des aïeules Littérature & Poésie pour la jeunesse | Astres & Animaux | Poésie & philosophie | REVUE MDV | N°3 | Les couleurs... | AS 

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Conte d'enfant

 

 

 

 

 

 

 

Marceline Desbordes-Valmore  (1786-1859)

 

Poème choisi, transcrit & mis partiellement

en français moderne & commenté par Dina Sahyouni 

 

 

Crédit photo :  Image d'une prairie où poussent des coquelicots. Photographie libre de droits, capture d'écran par LPpdm, juin 2023.

 

 

 

 

Il ne faut plus courir à travers les bruyères,

Enfant, ni sans congé vous hasarder au loin.

Vous êtes très petit, et vous avez besoin

Que l'on vous aide encore à dire vos prières.

Que feriez-vous aux champs, si vous étiez perdu ?

Si vous ne trouviez plus le sentier du village ?

On dirait : Quoi ! si jeune ! il est mort ! c'est dommage

Vous crîriez*... De si loin, seriez-vous entendu ?

Vos petits compagnons, à l'heure accoutumée,

Danseraient à la porte, et chanteraient tout bas ;

Il faudrait leur répondre, en la tenant fermée :

« Une mère est malade ; enfant, ne chantez pas !

Et vos cris rediraient : « Ô ma mère ! ô ma mère ! »

L'écho vous répondrait, l'écho vous ferait peur.

L'herbe humide et la nuit vous transiraient le cœur.

Vous n'auriez à manger que quelque plante amère ;

Point de lait ! point de lit !…  Il faudrait donc mourir !

J'en frisonne ! et vraiment ce tableau fait frémir !

Ma tendresse pour vous réveille ma mémoire,

Et d'un petit agneau me rappelle l'histoire.

 

« Il était un berger, veillant avec amour

Sur des agneaux chéris, qui l'aimaient à leur tour.

Il les désaltérait dans une eau claire et saine ;

Les baignait à la source, et blanchissait leur laine ;

De serpolet, de thym, parfumait leurs repas ;

Des plus jeunes agneaux guidait les premiers pas ;

D'un ruisseau quelquefois permettait l'escalade ;

Si l'un d'eux, au retour, traînait un pied malade,

Il était dans ses bras tout doucement porté ;

Et, la nuit, sur son lit, dormait à son côté ;

Réveillés le matin par l'aurore vermeille,

Il leur jouait des airs à captiver l'oreille ;

Plus tard, quand ils broutaient leur souper sous ses yeux,

Aux sons de sa musette, il les rendait joyeux.

Enfin il renfermait sa famille chérie

Dedans la bergerie.

Quand l'ombre sur les champs jetait son manteau noir,

Il leur disait : « Bonsoir,

« Chers agneaux ! sans danger reposez tous ensemble ;

« L'un par l'autre pressés, demeurez chaudement ;

« Jusqu'à ce qu'un beau jour se lève et nous rassemble,

« Sous la garde des chiens dormez tranquillement ! »

Les chiens rôdaient alors, et le pasteur sensible

Les revoyait heureux, dans un rêve paisible.

Eh ! ne l'étaient-ils pas ? Tous bénissaient leur sort,

Excepté le plus jeune ; hardi; malin, folâtre,

Des fleurs, du miel, des bleds et des bois idolâtre,

Seul il trouvait que son maître avait tort.

Un jour, riant d'avance, et roulant sa chimère,

Ce petit fou d'agneau s'en vint droit à sa mère,

Sage et vieille brebis, soumise au bon pasteur.


 

« Mère ! Écoutez, dit-il : d'où vient qu'on nous enferme ?

« Les chiens ne le sont pas, et j'en prends de l'humeur.

« Cette loi m'est trop dure, et j'y veux mettre un terme.

« Je vais courir partout, j'y suis très résolu.

« Le bois doit être beau pendant le clair de lune !

« Oui, mère ! dès ce soir je veux tenter fortune :

« Tant pis pour le pasteur ! c'est lui qui l'a voulu. »


 

« – Restez, petit agneau, dit la mère attendrie ;

« Vous n'êtes qu'un enfant, bon pour la bergerie ;

« Restez-y près de moi ! Si vous voulez partir,

« Hélas ! j'ose pour vous prévoir un repentir ! »

 

– « J'ose vous dire non ! cria le volontaire..... »

 

Un chien les obligea tous les deux à se taire ;

Quand le soleil couchant au parc les rappela,

Et que par flots joyeux le troupeau s'écoula,

L'agneau sous une haie établit sa cachette ;

Il avait finement détaché sa clochette ;

Dès que le parc fut clos, il courut alentour,

Il jouait, gambadait, sautait à perdre haleine.

« Je voyage, dit-il, je suis libre à mon tour !

« Je ris, je n'ai pas peur ; la lune est claire et pleine :

« Allons au bois ! dansons ! broutons ! » Mais, par malheur,

Des loups pour leurs enfants cherchaient alors curée :

Un peu de laine, hélas ! sanglante et déchirée,

Fut tout ce que le vent daigna rendre au pasteur.

Jugez comme il fut triste, à l'aube renaissante !

Jugez comme on plaignit la mère gémissante !

« Quoi ! ce soir, cria-t-elle, on nous appellera,

« Et ce soir... et jamais l'agneau ne répondra ! »

En l'appelant en vain elle affligea l'Aurore ;

Le soir elle mourut en l'appelant encore. »


 

Je vous peins ce malheur tel qu'il me fut rendu ;

Pour vous, petit enfant, qu'il ne soit pas perdu !

 

 

 

* Attention, il s'agit de "crieriez", Marceline Desbordes-Valmore a usé de deux licences poétiques en écrivant "crîriez" à la place du verbe conjugué vous "crieriez". La première concerne la surpression de la lettre "e", quant à la deuxième, elle se manifeste par l'accent circonflexe qui apparaît sur la première voyelle "i" (note ajoutée par l'éditrice Dina Sahyouni).

 

 

L'extrait poétique ci-dessus provient de l'ouvrage tombé dans le domaine public de DESBORDES-VALMORE, Marceline (1786-1859), Poésies [de Mme Desbordes-Valmore], 3ème édition, Paris, Chez François Louis (libraire, 10 rue Hautefeuille) 1820, « Mélanges », pp. 185-188.

 

Ce conte en vers est un poème gnomique s'adressant explicitement aux enfants et implicitement aux adultes qui s'égarent et ne comprennent pas la nécessité de restreindre légèrement leur liberté pour bénéficier en échange d'une protection durable contre des prédateurs de tout genre... Ce conte en vers gnomique destinée apparemment à la jeunesse se caractérise par l'usage métaphorique des animaux personnifiés pour construire un conte au prisme d'une fable philosophique ayant une moralité... La "zoopoétique" déployée a ainsi une utilité primordiale. Un développement plus étendu sur ce conte se trouve dans mon article sur la poésie gnomique contée de Marceline Desbordes-Valmore (texte à paraître cet été dans les périodiques du site www.pandesmuses.fr).

 

© DS., juin 2023.

 

 

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Pour citer ce conte gnomique de l'aïeule

 

Marceline Desbordes-Valmore, « Conte d'enfant », poème choisi, transcrit & mis partiellement en français moderne & commenté par Dina Sahyouni de DESBORDES-VALMORE, Marceline (1786-1859), Poésies... 3ème édition, (1820), Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° 14 | ÉTÉ  2023 « Les conteuses en poésie », 1er volume & Marceline Desbordes-Valmore | Revue annuelle, internationale, multilingue & poéféministe, « Les couleurs dans les œuvres des autrices Marceline Desbordes-Valmore », n°3, mis en ligne le 12 juillet 2023. URL :

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/mdvno3/no14/mdv-contedenfant

 

 

 

 

 

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7 juillet 2023 5 07 /07 /juillet /2023 08:50

N°13 | (Auto)Portraits poétiques & artistiques des créatrices | Agenda poétique Actions en faveur des femmes et personne LGBTQ+ & REVUE MDV | N°3 / Appel à contributions 

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​​​​​​​​Les couleurs dans les œuvres des

 

autrices Desbordes-Valmore

 

 

 

 

 

 

 

 

Revue poéféministe

Marceline Desbordes-Valmore

 

 

 

 

 

© Crédit photo : Portrait de Marceline Desbordes-Valmore" trouvé dans un ouvrage de ses œuvres tombé dans le domaine public, image prise par DS.

 

 

« De ses discours charmants mon âme sort parée ;

Elle ne touche à rien sans y laisser ses fleurs ;

Comme un peintre qui crée accorde ses couleurs,

Tout s'habille en ses mains d'une grâce ignorée ;

C'est un ange ! elle parle en mots plus gracieux,

Que les mots qu'on entend bégayer sur la terre ;

L'enfant tout nouveau-né la reconnaît des cieux,

Car, ils en ont entre eux l'accent plein de mystère. »

(« Madame Henriette Favier », Pauvres fleurs, 1839.)

 

 

Partant d'une affirmation assez répandue sur la richesse de la palette des couleurs et de leurs nuances dans les écrits de l'autrice Marceline Desbordes-Valmore pour exprimer non seulement ses sentiments, sensations, émotions et ses états d'âme mais aussi la beauté et la laideur ce qui l'entoure, partant aussi de son esthétique poétique colorée et dense comme en témoignent plusieurs paragraphes éparpillés dans des critiques et articles dédiés à ses ouvrages (voir également son recueil de poèmes Pauvres fleurs), la Revue Marceline Desbordes-Valmore souhaite explorer dans son numéro de cette année la présence des couleurs et le terme « Couleur » dans les œuvres de Marceline Desbordes-Valmore et dans celles de sa fille l'autrice Ondine Valmore où l'on remarque un usage intéressant des couleurs...

 

Pour ce faire, la rédaction vous propose de nous en parler librement ou de vous inspirer des couleurs dans les écrits de ces poétesses (ou « femmes poètes », poètes, etc.) du XIXe siècle et cela jusqu'au 30 septembre octobre 2023 compris et dans une de ces langues : anglais, arabe, espagnol, français, italien, persan et portugais. Notre équipe vous remercie de respecter les normes académiques dans la présentation de vos articles (cela ne concerne pas les autres types de contributions) et d'envoyer vos propositions à la messagerie contactlppdm@pandesmuses.fr avec l'objet « MDV-COULEURS ».

 

 

Détails complémentaires : votre demande/proposition de publication doit contenir 1) une notice biographique, 2) une ou plusieurs jointes en format Word pour les textes, en format JPEG pour les images : chaque photo jointe doit s'insérer parfaitement sans déformation dans une page en format A5 avec sa légende précise). Chaque contribution ne doit pas dépasser les 20 pages format A5, police Times New Roman, taille 11. Nous acceptions de publier jusqu'au 3 contributions différentes par rubrique et par contributrice/contributeur externe à notre équipe.


 

 

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Pour citer cet appel à contributions

 

REVUE MARCELINE DESBORDES-VALMORE, ​​​​​« Les couleurs dans les œuvres des autrices Desbordes-Valmore », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°13 | PRINTEMPS 2023 « (Auto)Portraits poétiques & artistiques des créatrices », mis en ligne le 7 juillet 2023. URL : http://www.pandesmuses.fr/no13/mdv-couleurs


 

 

 

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5 mai 2023 5 05 /05 /mai /2023 15:20

REVUE MDV | N°3 | Célébration | AS | Spicilège & Événements poétiques | Festival International Megalesia 2023 | I. Anthologie « Étrangères »

 

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L'étrangère

 

 

 

 

 

 

 

Marceline Desbordes-Valmore  (1786-1859)

 

Poème choisi, transcrit avec un commentaire & une photographie (prise) par Dina Sahyouni

 

 

 

 

 

© Crédit photo : Portrait de Marceline Desbordes-Valmore jeune, dessin photographié (pour cette revue par DS.) de ses Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore 1819-1833, Idylles, Élégies, Paris, Alphonse Lemerre éditeur, MDCCCLXXXVI) ouvrage poétique tombé dans le domaine public.

 

Ce poème magnifique témoigne des difficultés sociales que rencontrent les femmes en général et les dites « étrangères » en particulier. Il contient deux licences poétiques de versification, la première se trouve dans le vers « Il n'a rien dit... mais je le voi ! » où le verbe voir est conjugué sans « s » à la première personne au présent de l'indicatif, quant à la deuxième, elle apparaît un peu plus loin dans la dernière strophe au vers « Quelle main essuira les larmes », le verbe essuyer est conjugué sans « e » après la lettre « i » à la troisième personne du singulier au futur de l'indicatif.

 

 

 

 

Ah ! que le monde est difficile !

Hélas ! il n'est pas fait pour moi.

Ma sœur, en ton obscur asile,

J'étais plus heureuse avec toi !

On m'appelle ici l'étrangère ;

C'est le nom de qui n'a point d'or.

Si je ris, je suis trop légère ;

Si je rêve... on en parle encor !


 

Si je mêle à ma chevelure

La fleur que j'aimais dans nos bois,

Je suis, dit-on, dans ma parure,

Timide et coquette à la fois ;

Puis-je ne pas la trouver belle !

Le printemps en a fait mon bien ;

Pour me parer je n'avais qu'elle ;

On l'effeuille... et je n'ai plus rien !

 

Je sors de cet âge paisible

Où l'on joue avec le malheur.

Je m'éveille, je suis sensible,

Et je l'apprends par la douleur !

Un seul être à moi s'intéresse ;

Il n'a rien dit... mais je le voi !*

Et je vois même, à sa tristesse,

Qu'il est étranger comme moi.


 

Ah ! si son regard plein de charmes

Recèle un doux rayon d'espoir.

Quelle main essuira* les larmes

Qui m'empêchent de l'entrevoir ?

Soumise au monde, qui m'observe,

Je dois mourir, jamais pleurer !

Et je n'use qu'avec réserve

Du triste droit de soupirer !

 

 

 

L'extrait ci-dessus provient du recueil de poèmes, tombé dans le domaine public de DESBORDES-VALMORE, Marceline (1786-1859), Poésies [de Mme Desbordes-Valmore], Troisième édition, Paris, François Louis (libraire, rue Hautefeuille, n°10), 1820, « Romances » pp.167-168.

 

 

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Pour citer ce poème de l'aïeule

 

Marceline Desbordes-Valmore, « L'étrangère », poème choisi, transcrit avec un commentaire & une photographie (prise) par Dina Sahyouni de DESBORDES-VALMORE, Marceline (1786-1859), Poésies... 3ème édition, (1820), Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2023 « Étrangères », « Frontières du vivant », « Lyres printanières » & Marceline Desbordes-Valmore | Revue annuelle, internationale, multilingue & poéféministe (poefeminist), « Les couleurs dans les œuvres des autrices Desbordes-Valmore », n°3, mis en ligne le 5 mai 2023. URL :

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/mdv/no3/megalesia23/mdv-etrangere

 

 

 

 

 

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