28 juillet 2021 3 28 /07 /juillet /2021 09:20

 

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Lettre n°16 | À nos ivresses & aux Bacchantes | Articles & témoignages  & N° 10 |  Célébrations | Poésie érotique

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Certaines l'aiment chaud

 

 

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Barbara Polla*

Site où elle publie régulièrement :

https://sarasvati.fr/

ou

https //womentoday.fr/

Blog officiel : 

https://barbarapolla.wordpress.com/

Site officiel de la Galerie :

https://analixforever.com

 

Texte reproduit avec l'amiable autorisation

de l'auteure et du site WOMEN Today

 

 

 

 

Les  femmes investissent aujourd’hui les champs politiques, économiques, artistiques, sportifs, aéronautiques, informatiques, techniques – en plus de tous les champs qui sont les leurs depuis des siècles, le soin, la petite enfance, l’éducation, la poésie… Est-il vraiment important qu’elles investissent aussi le champ érotique ? N’ont-elles pas assez à faire avec tous ces autres champs à s’approprier progressivement ?

 

 

Investir le champ érotique serait une préoccupation secondaire ? Je ne suis pas de cet avis : il me semble au contraire que de devenir les héraults et les chantres de notre propre érotisme pourrait bien représenter une manière encore inexplorée de détourner voire de briser le stéréotype résilient qui veut que les hommes soient des prédateurs sexuels et les femmes des victimes sexuelles. Non pas que les femmes deviendraient alors des prédatrices sexuelles, non, nous ne visons pas une telle inversion des rôles. Mais l’expression et le partage publics, et non plus seulement intimes, de nos désirs et de nos plaisirs érotiques – que cette expression soit esthétique, poétique, politique – nous sortirait, nous femmes, de la position traditionnelle d’objets du désirs, pour nous faire entrer de plain pied dans un terrain d’échange et de jeu où nous serions alors partenaires à part entière.

 

Il reste malheureusement indéniable que les femmes subissent encore et toujours des abus sexuels de tous genres, en particulier dans le cadre familial. Une partie de cette réalité doit être corrigée par des changements profonds de l’éducation des garçons. Mais une jeune fille qui s’approprie de champ de l’éros, de l’érotisme voire de la pornographie – d’une pornographie à créer, qui serait sienne et non pas empruntée à celle exisatnte – sortirait de ce fait même du champ prédésigné de la victime sexuelle. Je conçois donc l’appropriation du champ de l’éros, de l’érotisme et de la pornographie comme une voie encore largement inexplorée de l’indispensable protection – de l’auto-protection en l’occurrence – contre les agressions et les abus sexuels.

 

 

Une femme qui exprime son désir, ses désirs, quels qu’ils soient, est une femme proactive dans le domaine de la sexualité. Une telle attitude va à l’encontre de l’attitude de réserve qu’aujourd’hui encore on enseigne – de façon explicite ou implicite – aux jeunes filles. Le classique « Fais attention » qui leur est encore et toujours adressé pourrait être remplacé par « Exprime-toi ». Le fait d’être invitée à exprimer ses désirs plutôt que de les dissimuler détournerait les filles et les femmes de la sempiternelle question de savoir si elles vont plaire, au profit de définir ce qui va leur plaire – et donc aussi ce qui pourrait leur déplaire. Et voici que les garçons, les hommes, par effet de miroir, se mettraient peut-être à se demander comment ils pourraient répondre aux désirs ou à l’absence de désir de leurs partenaires, plutôt que d’être essentiellement préoccupés par leur « performance » et la satisfaction narcissique de leurs « pulsions ». Il n’est pas impossible qu’une telle attitude, nouvelle, des femmes, effrairait transitoirement les hommes – grand bien leur fasse si c’est le cas. À terme, il en découlerait indubitablement des échanges plus équilibrés, plus riches, plus profonds, plus sensuels. Adieu la mascarade du plaisir que l’on simule, place au vrai plaisir !

 

Joignant l’action à la parole, j’ai récemment publié un poème intitulé Ma vulve dans la revue « Le Pan poétique des Muses ». Ce site de poésie féministe ouvert à tou.t.e.s a en effet proposé une série « Dyonisiaque : À nos Ivresses et aux Bacchantes ». Le peu de retours des poétesses très actives pourtant sur le « Pan poétique des Muses » souligne la réticence persistante – malgré des avancées formidables, à cet égard, chez certaines jeunes femmes – que nous avons à parler de nos désirs.

 

Dans mon livre Le Nouveau Féminisme, combats et rêves de l’ère post-Weinstein (Odile Jacob, 2019), je rappelais déjà cette belle légende du Rwanda : il y a très longtemps, une reine s’y languissait de son époux retenu loin d’elle par la guerre. La reine assume son désir et ordonne à un esclave de la rejoindre dans sa chambre. L’homme, tétanisé à l’idée du sort qui l’attend si le roi venait à découvrir l’affaire à son retour et tremblant de tout son corps, ne parvient pas à pénétrer la souveraine. Mais son sexe, en frottant contre les lèvres et le clitoris de la reine, provoque un jaillissement de plaisir… On raconte même, au Rwanda, que la reine aurait éjaculé le lac Kivu !

 

Au début était le verbe, paraît-il. Au début de l’harmonie sexuelle, il y a aussi le fait de dire ce qui est désiré, agréable, nécessaire à notre épanouissement, et ce qui ne l’est pas. Sans prescription d’aucune sorte : ce qui est désiré par chacune d’entre nous, oui, mais individuellement, et non collectivement. Il n’y a aucune norme en la matière.

 

 

 

* "Barbara Polla est médecin, galeriste et écrivain. Elle a quatre filles. Elle aime les femmes, les hommes et les autres, l’art et la poésie et la vie. En politique, en art, pour les femmes, elle s’engage pour la liberté." Via ©Women Today.

 

 

En lien direct avec ce texte :

 

***

 

 

Pour citer cet article féministe

 

Barbara Polla, « Certaines l'aiment chaud », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°16 & N° 10| Automne 2021 « Célébrations », mis en ligne le 28​​​​​​ juillet  2021. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no10/bp-certaineslaimentchaud

 

 

 

 

 

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15 juillet 2021 4 15 /07 /juillet /2021 17:15

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Lettre n°16 | À nos ivresses & aux Bacchantes | Poétextes thématiques | Biopoépolitique  & N° 10 |  Célébrations | Revue Biopoépolitique | Poésie érotique

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Ma vulve

 

 

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Barbara Polla

Site où elle publie régulièrement :

https://sarasvati.fr/

ou

https //womentoday.fr/

Blog officiel : 

https://barbarapolla.wordpress.com/

Site officiel de la Galerie :

https://analixforever.com

 

 

 

 

Crédit photo : "Dame aux coquillages", image de Commons. 

 

 

 

Ma vulve est tous les fruits

les fruits de mon labeur

un fruit de la passion

mangue et citron vert

et vigne toujours vierge

ma vulve fruit de mer

sanguine


 

Ma vulve est toutes les fleurs

mes pensées mes capucines

fleurs de pommiers fleurs carnivores

le parfum des lauriers roses

et celui des lauriers blancs


 

Ma vulve est la tendresse

la violence de la vie

ma vulve est amour

je jouis en accouchant

ma vulve est mon extase


 

Ma vulve est la joie

Elle fait rire les déesses

Elle fait rire Déméter

Et la console

de la perte de Perséphone

Ma vulve est un sourire


 

Ma vulve est le temps

le temps de jouir

le temps de la vie

de mon envie de vie

Ma vulve est mon amie

fidèle compagnonne

chaque jour elle me rappelle

tu peux jouir tu sais

Elle s’endort avec moi

mes mains entre mes cuisses

– une dernière caresse

se réveille à la rosée

Ma vulve est mon témoin – testis de mes désirs

et elle chante pour toi

les chants des marins grecs

 

 

Crédit photo : "L'Origine du Monde" de Gustave Courbet, Musée Orsay, image de Commons. 

 

 

 

Pose ton oreille là, mon amant

et écoute ma vulve

tu entendras le vent

le ressac et l’océan

la musique vient de là

les bateaux et les voiles et le chant des baleines

le chant des sirènes

le soleil en éruption


 

Il y a très longtemps au Rwanda

sur Flash FM une légende raconte

que la fontaine d’une reine

créa le lac Kivu

Le kunyaza fit jaillir l’eau

Une eau sacrée dit la légende

sur Radio Rwanda, Zirara Zubakwa

ma vulve est une fontaine

fontaine de jouvence


 

Ma vulve est politique

je suis femme sous mes jupons

comme des milliards d’autres femmes

des vulves au Parlement


 

Ma vulve est à moi

et à qui seule je veux

je suis le corps humain

le corps social le corps mortel

je suis mon corps

mon corps au Parlement

ma vulve est mon corps


 

Ma vulve est androgyne

Geisha aux lèvres blanches

ma vulve sait tout faire

rétention éjection ouverture ou refus

ma vulve est privilège


 

Dessine moi une vulve…


 

Ma vulve est ma planète

ma vulve est ma princesse

une Sainte Exubérante

Astéroïde B-07-03


 

 

 

Il y a très longtemps au Rwanda, une reine se languissait de son époux retenu loin d’elle par la guerre. Éperdue de désir, elle ordonne à un esclave de la rejoindre dans sa chambre. L’homme s’exécute, mais il est tétanisé à l’idée du sort qui l’attend, si le roi venait à découvrir l’affaire à son retour. Tremblant de tout son corps, il ne parvient pas à pénétrer la souveraine. Mais son sexe, en frottant contre les lèvres et le clitoris de la reine, provoque un jaillissement de plaisir. On raconte même, au Rwanda, que la reine aurait éjaculé le lac Kivu...

C’est sur cette légende que repose la pratique du kunyaza, un acte sexuel voulant que l’homme caresse le sexe de la femme à l’aide de son pénis pour « faire jaillir l’eau », et qui s’enseigne comme l’un des piliers du mariage. Car « Le kunyaza, [dit-on], unit les familles et chasse le désordre dans les foyers. » Le réalisateur belge Olivier Jourdain, lui, a décidé de tirer de cette légende vivante un documentaire, intitulé L’eau sacrée 1 : « L’eau, c’est la vie, dit-il, c’est ce qui fait pousser les plantes. Le fait d’être fertile parce que la femme est capable “d’avoir de l’eau” renvoie aussi à la toponymie du Rwanda, à sa végétation luxuriante. La pratique est sans doute liée à la géographie du lieu...» 2.

 

 

 

Notes

1. Cf. URL : https://vimeo.com/ondemand/sacredwater

2. Voir URL : http://www.slate.fr/story/157474/rwanda-ejaculation-feminine-kunyaza-tradition-ancestrale

 

 

***

 

 

Pour citer ce poème dionysiaque  & féministe

 

Barbara Polla, « Ma vulve », poétexte dionysiaque, érotique biopoépolitique & féministe inédit, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°16 & N° 10| Automne 2021 « Célébrations », mis en ligne le 15 juillet 2021. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no10/bp-mavulve

 

 

 

 

 

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12 avril 2021 1 12 /04 /avril /2021 13:02

 

Événements poétiques | Megalesia 2021 | Poésie érotique 

 

 

 

 

 

 

Frivole

 

 

 

&

 

 

Le jardin douceur

 

 

 

 

 

 

Poèmes & peintures de

 

Sarah Mostrel

 

Site : https://sarahmostrel.wordpress.com 

Facebook www.facebook.com/sarah.mostrel

 

 

 

 

 

 

​​​​​​​​© Crédit photo :  Sarah Mostrel, "Fête", peinture. 

 

 

 

Frivole

 


 

Elle n’est pas frivole

Mais aime l’amour

Il ne la retient pas

S’envole au fil des jours

 

 

Il la happe au passage

La chérit, la cajole 

La séduit, la ravit 

Mais soudain, il s’enfuit…

 

 

Alors elle panse son corps

Encore et de lumière

Elle s’élance et poursuit

Le vertige sensuel

 

 

Elle s’ébat au détour

D’une nuit sans sommeil

Quand un autre s’extasie : 

« Mon D., que tu es belle ! »

 

 

Son cœur tout en transe

Donne sens aux beaux jours

Elle part au Nirvana

Espère le non-retour

 

 

 

Et qu’importe 

Le qu’en dira-t-on au crépuscule

Elle aime à la folie

Et te dédie ceci 

 

 

Le comment de l’absence 

Les pourquoi éphémères

Incertaines rengaines 

Qu’elle se plaît à combler

 

​​​​​​​​​​​​​​© Crédit photo :  Sarah Mostrel, "Regarde-moi", peinture. 

​​​

 

 

 

Elle ne veut que fêter 

Et aimer, rien qu’aimer 

Vivre, danser et courir

Des aventures extrêmes

 

 

Les petits bouts de pics 

Elle les unit d’emblée

En une grande ligne 

Vêtue de pointillés

 

 

Et préserve ainsi

Ses morceaux de bonheur

Décollant et défiant

Les moindres hors-la-loi

 

 

Qui enfreignent plaisir, 

Ravissement, ou pudeur

Elle fait sienne son dogme

Son amour des hommes

 

 

 

 

​​​​​​​​© Crédit photo :  Sarah Mostrel, "Revers", peinture. 

 

 

​​​​​

 

Le jardin douceur

 


 

Je sens ton odeur bonheur

Je respire ton regard douceur

J’aspire ton amour senteur

J’inspire à être ta fleur

 

 

Éclose à l’infini

Ouverte dans tes bras

Mouillée comme la rosée

Des matins de chaleur

 

 

Mes pétales s’enrobent

De miel colle arc-en-ciel

Notre fusion s’envole

Infiniment passionnément

 

 

Dans la folie du moment

Foudroyant mon cœur 

Apaisante, éclatante de grandeur

Dans le Jardin Douceur



 

© Sarah Mostrel, in La Rougeur des pensées, éd. La Bartavelle.

 

 

***

 

 

Pour citer ces poèmes érotiques

 

Sarah Mostrel (textes & peintures), « Frivole » & « Le jardin douceur » poèmes érotiques dont un reproduit avec l'aimable autorisation de l'auteure & de sa maison d'édition, les illustrations sont inédites Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques Événement poétique|Megalesia 2021, mis en ligne le 12 avril 2021. Url : 

http://www.pandesmuses.fr/megalesia21/sm-frivole

 

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Megalesia Poésie érotique Amour en poésie
19 mars 2021 5 19 /03 /mars /2021 18:15

 

Événements poétiques | Le Printemps des Poètes | « Désir » | Les femmes & le désir en poésie

 

 

 

 

 

 

 

Roses

 

 

 

 

 

 

 

Camille Simon

 

 

 

 

 

Crédit photo : roses blanches, domaine public.

 

 

 

Un soir d’hivers

Posé sur les hauteurs

Quelques fleurs empruntées

J’ai lustré des senteurs

 

Orange au col écarlate

La Rose du Couchant

Laisse passer l’orage

Parmi les vapeurs

Et les belles paroles

Une étoile

Première du crépuscule

Vacille au fond de l’œil

Au Rouge vire

Et plonge à travers

Un fil vert fluorescent

 

L’horizon s’est étendu

Sur la Rose des Sangs

A ses lèvres, suspendu

Un baiser perdu

Et deux cœurs battants

Échappés du jour

 

À la proue d’un navire de Fer

La Rose Pourpre s’est ouverte

Vers le ciel des possibles

Parmi les étoiles folles

Deux constellations nouvelles

L’homme Libre

Et la Femme Intrépide

Ensemble

Enlacés

En équilibre

 

Plaqués par le souffle d'Éros

Le vent chaud, humide

Des saisons égarées

Ce vent qui forme sur la peau

Des perles d’océan

ô délices ! 

Voiles évanescentes !

Vagues inconscientes !

Cœurs lâchés !

Parmi les étoiles folles

Les parfums fougueux

Font des avalanches

Une Rose détachée

Dans l'Éther a lancé

Ses pétales Blanches

 

Lentement

Les battements

De cœurs

Ont repris leur place

Au bout d’une tige lisse

La Rose Rose

Reflète nos joues enjouées

Étonnées d’avoir imaginé

Un si beau voyage

 

Tout est calme

Sous la brise nocturne

Une voile reprend forme

Et trace à la surface

Une frontière d’écume

Dans la nuit les délices

Libèrent des couleurs douces

Et des formes de soupirs

Peu à peu s’évanouissent

 

Sur l’aube où se lève

La Rose jaune

Lumière prémonitoire

Des grandes chaleurs

Quand la terre et le ciel

Sont face à face

Quand l’ambre et le bleu

Façonnent une Rose Ocre et fragile

Une Muse seule

Libre et intrépide

Née des vents du la dune

Peut cueillir cette fleur

D’un baiser sur la paume

La Rose Éphémère Fond

Et le long des lignes s’écoulent

Des filets de sable…

 

La Rose Éphémère Fond

Et le long des lignes s’écoulent

Des filets de sable 

 

2021.

 

 

 

***

 

 

Pour citer ce poème d'amour

 

Camille Simon, « Roses », poème inédit sur le désir, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événement poétique|Le Printemps des Poètes « Les femmes et le désir en poésie » sous la direction de Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 19 mars  2021. Url : 

http://www.pandesmuses.fr/desir/cs-roses 

 

 

 

 

 

 

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