1 septembre 2021 3 01 /09 /septembre /2021 15:31

 

N° 10 | Célébrations | Poésie érotique

 

 

 

 

 

 

 

Mon fantasme

 

 

&

 

 

Désir de toi, demain 

 

 

 

 

 

 

Poèmes & peinture de

 

Sarah Mostrel

 

Site : https://sarahmostrel.wordpress.com 

Facebook www.facebook.com/sarah.mostrel

 

 

© Crédit photo :  Sarah Mostrel, "Regarde-moi", peinture.

 

 

 

Mon fantasme


 

 

Bref éclair !

Mon corps vibre

Le fantasme est là

Et mon cœur applaudit


 

Tes cris froids dans la nuit

M’effraient et je bégaye

Je fuse avec toi

Dans le tourment du ciel


 

La fusée change d’axe, 

Ayant changé d’orbite

Moi, je n’y vois plus rien

Sortez les satellites !


 

Le fantasme m’effraie

Le fantasme m’égaie

Le fantasme effroi

Mon fantasme, c’est toi.


 

 

 

 

Désir de toi, demain 

 

 


 

Désir de ton désir

Soif de ton rêve

Rêve d’hier qui ne se retient plus

 

Désir de ton ivresse

De tes mains enchanteresses 

Désir d’aujourd’hui dans mon corps qui encore

 

Rêve de tes caresses

Désire tes soupirs

Rêve de tes mots ardents, désir de demain…


 

© S. Mostrel

 

***

 

 

Pour citer ces poèmes érotiques

 

Sarah Mostrel (poèmes & peinture inédits), « Mon fantasme » & « Désir de toi, demain », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° 10 | Automne-Hiver 2021-2022 « Célébrations », mis en ligne le 1er septembre 2021. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no10/sm-monfantasme

 

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Numéro 10 Amour en poésie Poésie érotique
31 août 2021 2 31 /08 /août /2021 19:00

 

N° 10 | Célébrations | Poésie érotique

 

 

 

 

 

 

 

Telle une rose éclose,

 

 

 

Silence...

 

 

&

 

 

Si tu m’aimais encore

 

 

 

 

 

 

Poèmes & peinture de

 

Sarah Mostrel

 

Site : https://sarahmostrel.wordpress.com 

Facebook www.facebook.com/sarah.mostrel

 

 

 

© Crédit photo :  Sarah Mostrel, "Fête", peinture. 

 

 

Telle une rose éclose 

 

Telle une rose éclose

Mon corps s’ouvre à toi

Humide de rosée

Pour abreuver ton cœur 

 

Ton sexe dur en moi

Me rappelle à l’ordre

Au désordre de moi

Où le fil à retordre

 

S’enrobe au cours du temps

D’un ru cousu d’or pur

Rien ne peut découper

Ce lien qui nous rassure

 

Il coule limpide et frêle

Nous berçant dans le jour

Telle une source abreuvante

De ses gorgées d’amour

 

Je sue et puis je crie

De cet amour folie

Ma langue se délie

Dans le creux de ton lit

 

La fureur de la nuit

Déchaîne mes envies

Et mes eaux coulent en lie

En signe de merci

 

Pour toi sans qui je n’aurais connu ces couleurs

Sans qui la vie serait partie bien avant l’heure

Par toi épanouie, par le fond et la forme 

Je te dédie ces vers, mon Toi,

réveil bonheur 1

               

 

 

 

Silence...

 

 

Dans le creux de la vague embourbant les tourments

L’infini passe

Et de sursaut j’entends

L’incontrôlable, l’inexorable, le lointain…

 

Sur tes lèvres embrasées et ta fleur dérobée

Je m’efface

Moi, ta solitude

 

Et ce remous sans fin qui se lasse…

 

Je hume le parfum des visages en retard

Je souffre ton absence et range ton regard

Dans un placard scellé, censuré… oublié…

 

Je parcours la dorure des murs rouillés d’audace

Et là, j’y pose mes rêves

Mouillés par la rosée du matin 2

 

 

 

 

Si tu m’aimais encore

 

 

Si tu m’aimais encore

J’épouserais ta forme

J’engloutirais ton sexe

De mon enveloppe rousse

 

 Et ton regard absence 

Se perdrait dans le mien

Au sein de mes attentes

Au gré de mes envies

 

Je t’enroberais d’âme

De mes perles enfouies

Richesse de la mort

Tristesse de l’oubli

 

Mais l’attente se fait lente 

Et le feuillage s’aigrit

Dans le jardin ouvert

Au rythme de ma vie

 

Qui passe et qui ressasse

Si tu m’aimais encore

Si tu m’aimais encore

Je percerais le cri

 

Hululant dans le noir

Ardeur de l’audace

Qui m’a fait revenir

De ces pas incessants

 

Qui hantent mon manoir

Aux figures fugaces

D’un esprit dévoré

Par le miroir du temps

 

Et si je me dérobe

Si je me fais la malle

C’est par décrépitude 

Des mirages mouvants

 

Qui harcèlent mon moi 

De ces paroles tendres

Que j’ adresse au roi 

Des plus fougueux amants

 

Si tu m’aimais encore

Si tu m’aimais encore 3

 

 

Notes :

1. © S. Mostrel, in « L’absolu illusoire », éditions La Porte des poètes.

2. © S. Mostrel, dans « La Caresse de l’âme », éditions Auteurs du Monde.

3. © S. Mostrel dans « L’absolu illusoire », éditions La Porte des poètes.

 

***

 

 

Pour citer ces extraits érotiques

 

Sarah Mostrel, « Telle une rose éclose », « Silence... » & « Si tu m’aimais encore », peinture & poèmes érotiques reproduits avec l'aimable autorisation de l'auteure & des maisons d'édition citées ci-haut, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° 10 | Automne-Hiver 2021-2022 « Célébrations », mis en ligne le 31 août 2021. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no10/sm-silence

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Numéro 10 Amour en poésie Poésie érotique
30 août 2021 1 30 /08 /août /2021 12:15

​​​​N°9 | Femmes, poésie & peinture | Poésie érotique

 

 

 

 

 

 

 

Féminin extrême 

 

 

 

 

 

 

Poème & peinture de

 

Sarah Mostrel

 

Site : https://sarahmostrel.wordpress.com 

Facebook www.facebook.com/sarah.mostrel

 

 

 

© Crédit photo :  Sarah Mostrel, "Sensuelle", peinture. 

 

 

 

 

 

Paroxysme

Ambiant

Insolent

Chaleur

Artistique

Enfin

Paroxystique

Entrain

Refrain

Au sein de

Immobile

Haut, bas

En profondeur

Pourquoi

L’envie ne passe pas

 

 

 

Espoir

Tremblant

Action

Véridique

Idée 

Bienvenue

Féminin extrême

Rassurant ?

Énigme jamais résolue

Énigme combien de fois établie

Énigme sans réponse

Énigme du féminin extrême

Féminin incomplet

Sans toi

Féminin « incomplète »

Sans sourire

Sans sexe

Sans tendresse

Pénétration

Ultime

 

 

 

Sourire encore

Malgré

Chanter encore 

parce que

Décrire encore

Écrire 

Peigner la toile

Adoucir le contour

Les atours

Le paysage

 

 

 

Effets tremblés 

Tremblants

Irrésolus

Flou dit artistique

Beauté du trait indéfini

Inconnu encore

Brûlure

de l’entrejambe

Feu consumant le vert

Espérance

Rêve de toi

Encore

En moi

Durablement

Laps prolongé

Résistance

Cherchant la courbe

La vague

La constance

L’imminence

Viens !

 

 

 

Espacer 

Le ciel

Immuable

Se rassurer encore

avec des repères fixes

Les couleurs de la vie

Les couleurs de l’arc

toujours présentes

Pas comme toi !

Injure

Fuyant

Parti

L’arc en terre

S’est enfoui

Déformé

 

 

 

En quête de 

L’arc-en-ciel

L’horizon de soleil

La vérité aidante

Invisible

Érotisme parfait

Comblant l'injustifiable

L’absence

L’égarement

Reconduction amputante

Éreintante

Éternellement 

vide de sens

Narguante

Inconsciente

Inopérante

Impossible à contrer

Hélas

Hélas…

 


 

Être 

femme

Avoir

À voir ?

Muse

Gracieuse

Inspirante

Tragique

Fatale

Enivrante

Femme

Indispensable

À l’homme de paix 

À l’homme de guerre aussi

Confortant son ego

Destructrice

Ou désarmante…

 

 

 

Femme

en noir 

en blanc

En négatif

Positive

Solidaire

Femme de paix

Femme épuisée

Rompue

Recluse

Enfermée

Femme qui crie

Au silence

Des masses 

Dans la peur 

Des manipulateurs

Odieux escamoteurs 

détracteurs 

de la cause féminine

Affichant dames et oies

Femmes objets

Femmes à vendre 

Femmes en Une

Femmes à consommer

Femmes maltraitées

Malheur des solitudes…

 

 

 

 

Femme victime 

Malmenée

Galvaudée

Cédée à tout vent

Battue

bafouée 

conditionnée

empêchée 

Enfant

Qui peine à grandir

Petite fille 

Incapable de dire

qui luttera 

pour devenir 

Soi, Moi, elles,

Adulte

Elle

Femme 

Valeur inestimable

 

 

 

Être femme

Un destin

Une responsabilité 

Une raison

Un ventre porteur

ou déchiré

Fée ou sorcière

Déséquilibre, instable

Femme discriminée

Femme preuve par dix

Femme singulière

Femme de paix

Femme qui jouit

Femme bonheur

Femme heureuse, enfin ?

 

 

 

 

 

Lutter

Exister

Vivre

Entière

Dévoilée

Trouver sa place

Émerger 

hors de la voie tracée

Femme homme

Femme agile

Femme solide

Femme pilote

Femme flic

Femme roc

Femme tronc

Femme ce qu’elle veut

Femme volontaire

Décisionnaire

Maîtresse de sa vie

Femme enfant

Enfante

Monde vivant

Monde fertile

Fécond

Créateur

Productif

Égalitaire

Monde rêvé

Proche

En zigzag

Selon

Ou loin, 

encore

Selon

Toi

Ta décision

Que veux-tu ?

La vérité

L’amour du réel

Le réel amour 

d’une femme ?

 

 

 

Renaître, exister 

Un long combat

L’aboutissement de l’Histoire 

Femme, enfin femme

Femme, égale

Fame, renommée

Femme

Erotique

Sensuelle

Épanouie

Respectée

Adulée

Bien-aimée

Femme attendue

Femme chérie 

à l’extrême…

 

 

©S. Mostrel

 

 

***

 

Pour citer ce poème féministe

 

Sarah Mostrel (poème & peinture inédits), « Féminin extrême  », poème féministe & érotique inédit, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° 9| Fin d'Été 2021 « Femmes, Poésie & Peinture », 2ème Volet sous la direction de Maggy de Coster, mis en ligne le 30 août 2021Url :

http://www.pandesmuses.fr/no9/sm-femininextreme 

 

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27 août 2021 5 27 /08 /août /2021 16:22

 

N°8 | Poésie érotique

 

 

 

 

 

 

 

Hautes combes

 

 

 

 

 

Jean-Paul Gavard-Perret

 

Critique d'art, écrivain & poète

 

 

 

I

 

Homme, dit la femme, je te sale la queue et le cul, je les attife de mes hardes. Ton démon je l’excrète par mes larmes. Homme - continue la femme - je te donne à voir l’obscénité de ton âme, je la greffe à ton abdomen couvert de poils afin que bouc tu reviennes à toi. Jadis déjà je caressais tes cornes dont je suçais le bout. À force elles ressemblaient au sexe statufié de Victor Noir au cimetière du Père Lachaise. La terre entre tes cuisses tu l’as cru miraculeuse. Tu montrais sans ambages ton membre vibratile pour le faire hameçon. Tu m’as incitée à le renifler et à y tordre ma laine. Ton suint dans mon pressoir a servi à ta fabrication.

 

II

 

J’ai dû coucher huit jours avec toi pour fabriquer des hommes qui sortaient tout formés de mon ventre. J’ai copulé dents à dents, yeux dans les yeux. Tout ciel me fut étranger. Pour moitié je fus ta croupe osseuse et frugale, pour l'autre  ton support de râle. Mais à ma décharge – et pourvu que tu sois bien axé - on pouvait apercevoir mon joli boudoir, mon lys et ma vallée. Tu y trempais l’index puis le sexe. Mais j’y ai précipité des cristaux de sel pour le brûler. C’est ainsi que les fillettes ne craignirent plus pour leur virginité.

 

 

III

 

Je me suis arrachée à tes baisers qui avaient emporté ma bouche. Désormais je n’existe plus seulement sur la terre étoilée, les pattes repliées sous moi à la façon des bêtes au flanc qui allaitent. Je n’écoute plus les grâces de tes sornettes. Mon ventre est redevenu l’endroit le plus sûr de la terre et n’est plus chargé de tous tes péchés  d’Israël. Tu ne me prendras plus.  Par devant ou par derrière. Mes lamentos de tourterelle je les garde pour un brin de branlette.

 

IV

 

Ondine dès onze heures : elle assure le beefsteak pros-sexe, pro-désir. Elle ajuste des gestes techniques extraordinaires et intersectionnels. A la bête à deux dos elle devient  ce qu'est au football Ronaldo et n'a rien d'une ado. Il faut tenter d'être à son niveau question tire aux buttes et au mont de Vénus. Il faut que ça luve et diluve en son Rio Bravo, sa rivière en cent et un détours.

 

 

V

 

 

Viande d’amour, source des paniques dans le lit à creuser. Arc-bouté et tête renversée : faire la queue en taciturnes burnes, mie des mots avalée, rivant l’outre. Espoir de petite mort. Angoisse du jouir. Crissement doux de la carotte quand sous la main le gouffre s’ouvre  d'huile bouillante. Le fricandeau s'anime dans la  machinerie. "Voilà l’apprentissage" dit-elle au  mâle faisant qui  prend sa vie ("et ses larmes" ajoute-t-elle). Elle lui a permis d'enlever ses parures et son corset pour que son corps sage exulte. "Soulages moi" dit-elle. Alors il la déguise en négresse comme on disait jadis et brasse la soupe du plaisir.

 

VI

 

Ce n’était qu’une mare grande comme une paume de main de nain.  Dire que nous y trempions le cul comme dans une mer morte. Mais soyons fiers de nos bottes. Crampons nous sommes, continuons à nous sonner les cloches.Ce n’est qu'en notre fange que nous nous  envasons jusqu'au râble.  Cela sent le bouillon d’algues et de poissons. Voilà pour le maelstrom d'émotion. Sirotons, sirotons comme sur vieux zinc de bar celle qui est venue pour ça en éructant : "Embouche et bave vieux zigomard".

 

VII

 

Je suis charpie plus que bloc. Visage pâle, yeux cernés de cerneaux. Me voici saisi de  crampes qui descendent jusqu’aux génitales parties à l’appétit Capri-cieux. Mes angoisses sont notables et ma faiblesse générale.  Que faire de mon mou de ventre ? Comme dirait l'autre,  "C’est pas la mère à boire". Flexion, fiction, piston. Sexion hâte, un, deux, Typhon, cyclone, trombe. Danser encore danser du museau dans la chapelle cystite jusqu’à y mettre le feu avant la raie qu’on panse. L’épi s’y mouille. La langue jette les gloria, les ave d'un cancre las. Il y a là de la crème en glaise, de la sauce blanche et du jus de pater. Croix de bois, croix de faire, l'enfant dit de l’homme n’est que de la mer noire dont il boit le lait preux.

 

 

© JP. Gavard-Perret

 

À lire aussi sur l'auteur de ce texte :

 

***

 

Pour citer ces poèmes inédits en prose 

 

Jean-Paul Gavard-Perret, « Hautes combes », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques :  N°8 | Été 2021 « Penser la maladie & la vieillesse en poésie » sous la direction de Françoise Urban-Menninger, ​​​​mis en ligne le 27 août 2021. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no8/jpgp-hautescombes

 

 

 

 

 

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