21 février 2023 2 21 /02 /février /2023 14:36

N°13 | (Auto)Portraits poétiques & artistiques des créatrices | Critique & réception  & REVUE ORIENTALES (O) | N°2-1 | Critiques poétiques & artistiques & [Nouvelle rubrique]

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Hanen Marouani

 

 

 

« Tout ira bien »

 

 

Le Lys bleu, 2021, 116 pages, 12€

 

 

 

 

 

 

Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

 

© ​Crédit photo : Première de couverture du recueil « Tout ira bien… » aux éditions Le Lys Bleu, 2021.

 

 

 

« C’est quand on a plus d’espoir qu’il ne faut désespérer de rien. » Sénèque



 

L’espoir fait vivre, donc quand ça va mal autour de soi, il faut trouver coûte que coûte une raison de vivre en se persuadant que « Tout ira bien » :c’est ce que Hanen Marouani nous enseigne dans son recueil de poèmes ainsi intitulé. Quelle belle note d’espoir d’optimisme !  Comme dit Georges Bernanos : « La plus haute forme de l'espérance, c'est le désespoir surmonté. »

Selon Hanen Marouani :

 

« Les espoirs des enfants qui s’éveillent sans bruit

Et tout nous en transforme en gouttelettes de rosée

En une mélodie perdue quand ses notes font battre toute peur »

 

Ne pas prêter le flanc au désespoir, avoir le flair, car prévenir vaut mieux que guérir.

Il faut savoir anticiper :

 

 « Sentir l’arrivée de la pluie à l’avance

Ne pas se contenter d’être mouillé sous ses intensités »

 

On s’accroche à la vie en ce recentrant sur l’essentiel, en tâchant de renouer avec son intériorité. Cela dit, il faut composer chaque jour avec le temps long dans « un monde en repli ».

Peindre en rêvant et rêver en peignant : la simultanéité des actions s’avère une échappatoire, on se laisse aller ; à chacun sa technique de survie :

 

« Sur un navire sans voile ignorant la destination vers son demain

Je rêve et je rêve… et je peins »

 

Mais « Un rêve égaré dans les vagues et les marées » c’est un rêve évanescent qui n’est que chimère car « Tout est éphémère, tout est chimère », nous révèle la poète.


 

Alors il faut trouver une solution de rechange : il faut lâcher prise : 

 

« Sur une bicyclette, je suis le sens

Je ne pense à rien mais je danse »

*

« Le silence est d’or tout le reste n’est que faiblesse », nous apprend Pascal.

 

Et pour cause :

 

« Les silences remplacent les mots, là où il faut faire face au vrai » renchérit Hanen Maouani.

 

Il est des circonstances qui n’existent que pour nous amener à une prise de conscience, alors il n’est que de puiser dans ses ressources intrinsèques pour y faire face. 

 

Il faut dire la vie dans ses travers, évoquer les femmes oubliées, emmurées dans le silence :  

 

« Derrière les portraits, il y a des vies endormies

Derrière chacun, il y a des portraits bien soumis,

Derrière chaque portrait, il y a une femme qui sourit »

 

*

« L’homme est un apprenti, la douleur est son maître,

Et nul ne se connaît tant qu’il n’a pas souffert. » Musset

 

Il ne faut pas rester passif mais se coltiner aux difficultés de la vie.  

À un moment où l’incertitude et le vide gagnent du terrain, où les rues se vident, la poète rêve sa vie, verse dans la régression :

 

« courir … c’est mon rêve d’enfant qui me vient souvent et

qui m’accompagne

au fond (…) »

« Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point. » Pascal

 

En fin de compte, Hanen Maouani a fini par trouver « les secret des cœurs » auxquels elle a eu recours pour des moments de plaisir partagé en duo.

 

 

© Maggy DE COSTER

 

 

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Pour citer ce texte inédit​​​​​​​​​​​​

 

Maggy De Coster, « Hanen Marouani, « Tout ira bien », Le Lys bleu, 2021, 116 pages, 12€ »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°13 | PRINTEMPS 2023 « (Auto)Portraits poétiques & artistiques des créatrices », Revue Orientales, « Les voyageuses & leurs voyages réels ou fictifs », n°2, volume 1, mis en ligne le 15 février 2023. URL :

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/no13/orientales/no2/mdc-hanenmarouani-toutirabien

 

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES ET ORIENTALES - dans Numéro 13 O-no2 Amour en poésie Poésie engagée Muses et féminins en poésie
21 février 2023 2 21 /02 /février /2023 10:51

Événements poétiques | Festival des poésies féministes 2023 | Recueil | Poésie féministe pour éliminer les violences faites aux femmes & REVUE ORIENTALES (O) | N°2-1 | Créations poétiques

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les cheveux au vent

 

 

 

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Nicole Barrière

 

Poète, essayiste, traductrice & directrice de la collection « Accent tonique » aux éditions l’Harmattan

 

 

 

 

Crédit photo : "An Afghan woman performs a dance during the Eid ul-Fitr celebration at Bagram Airfield ", Afghanistan, image capturée de Commons. 

 

Au courage des femmes Yézidies victimes de Daesch

 



 

 

Quel mot soulève le voyage et trouve l'humanité éperdue ?

Quel retour espéré reclus dans un camp à perpétuité ?

 

 

J'aurais voulu te voir partir avant le temps des plaintes 

Les bombardements ont blessé tes oreilles

Tu t'es penchée pour un dernier baiser 

Tu as tissé ton chagrin quand les corbeaux sont arrivés 

Tu as fui, tu t'es cachée. 

Tant d'effroi que tu ne diras pas.

 

 

Sous les arbres, dans les vergers, 

tu as rassemblé tes souvenirs

Lune sentimentale 

Les parents, les amis, les secrets

L'étincelle fugitive

Et l'errance sur les routes incertaines

Tant de peur au tain menteur du miroir.

 

 

Quelle trouée d'avenir dans cet amas sombre ?

Quels mots lancés à la vie pour la faire poème ?

 

 

Tandis que dans les bouches fermentent 

les prières 

D'autres lumières éclairent le réel 

des solidarités 

Ces mains tendues à même le fleuve

Ou sur les rochers de la montagne

Survivre aux bords.  

Le pain. La danse. Le chant.


 

© Nicole Barrière


 

 

Biographie

 

 

Nicole BARRIÈRE est poète, essayiste, traductrice et dirige la collection « Accent tonique » aux éditions l’Harmattan. Elle s’est engagée notamment pour la liberté des femmes en Afghanistan, et au Kurdistan d’Irak.

 

Elle défend la francophonie, les langues et les cultures menacées. Elle organise  et  participe de multiples lectures dans les associations ainsi que dans des manifestations internationales  (Italie, Mexique, Sénégal, Algérie, Maroc, Argentine, Kosovo, Albanie, Bulgarie, Islande)

 

***

 

 

Pour citer ce poème féministe, engagé & inédit

 

 

Nicole Barrière, « Courage », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poéféministes | Festival des Poésies Féministes 2023 | «  Chevelures & autres poèmes féministes », recueil collectif papier à paraître en 2023 aux éditions PAN DES MUSES DE LA SIÉFÉGP 2023 & Revue Orientales, « Les voyageuses & leurs voyages réels ou fictifs », n°2, volume 1, mis en ligne le 21 février 2023. URL :

http://www.pandesmuses.fr/concoursfeministes/nicolebarriere-courage


 

 

 

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15 février 2023 3 15 /02 /février /2023 16:30

N°13 | (Auto)Portraits poétiques & artistiques des créatrices | Critique & réception  & REVUE ORIENTALES (O) | N°2-1 | Critiques poétiques & artistiques & [Nouvelle rubrique]

 

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Imèn Moussa

 

Il fallait bien une racine ailleurs,

 

Éditions l’Harmattan, 2020, 144 pages, 15€

 

 

 

 

 

 


 

Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

© Crédit photo : Première de couverture illustrée du recueil de la poète Imèn Moussa, Il fallait bien une racine ailleurs, Éditions l’Harmattan, 2022.

 

 

 


 

Dans un style poétique savoureux, la poète supplie sa mère d’adresser une requête à [son] Dieu afin qu’Il transforme son être qu’elle ne trouve pas trop à son goût. 

D’entrée de jeu, elle déclare : 

 

« Maman,

Demande à ton Dieu de me recustomiser sans trop de grains

 cette fois,

Je veux être comme toutes celles… »

« Pour que je ne me laisse jamais apprivoiser par le diable ni par l’ange trop parfait »

 

N’est-ce pas Pascal qui dans « Les Pensées » énonce que « L’homme n’est ni ange ni bête, et le malheur veut qui veut faire l’ange fait la bête. »   

 

« En chacun de nous il y a cette bête en sang », avoue la poète qui se refuse à être parfaite mais veut trouver le juste milieu, car elle est celle qui évite de tomber dans l’excès en usant de la mesure. 

Ne pas céder non plus aux menaces mais y échapper :

 

« Sans grain de malice sous mon oreiller,

Pour que je dise non aux menaces qui font trembler mes jours d’après. »

 

Elle a appris aussi à « domestiquer les mots » pour les utiliser comme un outil cathartique. Ainsi, en mettant des mots sur ses maux, elle évacue sa douleur de femme assoiffée de liberté.

 

« Les mots nous recousent

Il faut tenter cent vies pour trouver la bonne

Moi j’ai pris le risque du mot »

Ou encore :

« Nous avons pris le chemin des mots muets.

On regarde parfois en arrière pour voir dans chaque naufrage l’éclosion 

de nos imperfections »

 

« Tout passe et rien ne demeure », nous enseigne Héraclite. Elle sait bien jongler avec les circonstances de la vie en se métamorphosant en séquoia cet arbre à large carrure pour mieux laisser glisser les épreuves et puis en papillon, cet être aérien, symbole de liberté, qui butine de fleur en fleur sans se laisser agripper ou attraper : 

 

« J’étais un séquoia pendant soixante-dix ans

Je me suis transformée en papillon pour ne vivre qu’un jour

dans le vent »

Et pour cause on convient avec elle que « rien n’est plus difficile que la liberté. »

 

Selon Churchill : « Un peuple sans mémoire est un peuple sans avenir. »

Et la poète de faire état de la persistance de la mémoire en arguant que :

 

 « Toute chose s’arrête sauf la mémoire. » 

Pour elle, la mémoire est têtue, elle résiste à tous les coups. Elle ne se laisse guère anéantir par l’oubli.


 

Une maison a un statut existentiel. Comme lieu de vie, elle renferme le vécu de ses occupants. Qu’on se rappelle ces vers de Lamartine : « Objets inanimés, avez-vous une âme / Qui s’attache à notre âme et la force d’aimer ? »

Et Imèn Moussa d’avancer :

 

« Il n’existe pas une maison dont les murs ne soient rongés

par le regret. »

 

Sans conteste, « Ça  respire une maison. » donc « Ça vit une maison. » 

 

Femme-univers, elle s’ouvre à toutes les cultures, liberté est sa mère :

 

« Jah bat le tambour d’une prophétie

L’Éthiopie ma maison désirée,

Vivre et mourir

Vivre et mourir, sur la terre des appelés,

Jah est rentré. »

 

Quand les postures, les vues et la foi divergent des coups pleuvent sans cesse sur son corps de femme : 

 

« Je ne t’ai pas quitté par manque d’amour mon amour

Mais lorsque tes coups commencèrent à pleuvoir sur moi

J’ai compris que ta foi n’était plus ma foi »

 

Ce recueil de poèmes retrace aussi le pâle quotidien des désenchantés d’ici et d’ailleurs. Ceux qui, n’entrant pas dans la bonne case sociale, sont sans perspective d’avenir. Ils ne font que tourner en rond. Et là-bas, même les diplômés ne sont pas épargnés par l’oisiveté :

 

« De ses études de lettres arabes, il ne lui restera que les vers d’un jeune poète :

Si le peuple veut un jour la vie… »

 

Quant à la femme, elle est une quantité négligeable, absente des statistiques. Selon la poète :

 

« Parce que femme, elle : « Tôt ou tard, la maison de son mari la sauvera. »

 

Elle a l’amour du pays chevillé au corps car elle rêve encore du bleu de ses eaux.  Nostalgique elle, évoque les odeurs, les saveurs qui lui manquent, cependant elle ne saurait déroger au droit de vivre libre, ce droit inhérent à tout être humain. Aussi a-t-elle fait le choix de partir et se départir de ses racines sans les oublier pour autant.

Donc « Il fallait bien une racine ailleurs ». 

 

 

© Maggy DE COSTER

 

 

© Crédit photo : Quatrième de couverture avec un portrait photographique de la poète Imèn Moussa, Il fallait bien une racine ailleurs, Éditions l’Harmattan, 2022.

 

 

 

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Pour citer ce texte inédit​​​​​​

 

Maggy De Coster, « Imèn Moussa, Il fallait bien une racine ailleurs, Éditions l’Harmattan, 2020, 144 pages, 15€ »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°13 | PRINTEMPS 2023 « (Auto)Portraits poétiques & artistiques des créatrices », Revue Orientales, « Les voyageuses & leurs voyages réels ou fictifs », n°2, volume 1, mis en ligne le 15 février 2023. URL :

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/no13/orientales/no2/mdc-racineailleurs

 

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES ET ORIENTALES - dans Numéro 13 O-no2 Amour en poésie Poésie engagée Muses et féminins en poésie
15 février 2023 3 15 /02 /février /2023 13:30

Événements poétiques | Festival des poésies féministes 2023 | Recueil | Poésie féministe pour éliminer les violences faites aux femmes & N°2 | REVUE ORIENTALES (O) | Varia

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dévoilons-nous

 

 

 

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Lisa Fournel

 

 

 

 

Crédit photo : Delphin Enjolras,  "Female figure holding a staff", image capturée de Commons.

 

 

 

Un voile, symbole de votre aigreur, soldats de votre fureur. 

Armés pour nous faire taire, lapider notre dignité. 

À la merci de vos mots, soumises à vos ordres, à votre contrôle. 

Noyées par le poids nos maux. 

Finalement victimes de vos peurs. 


 

Un voile, allié de vos idées, meurtrier de notre féminité. 

À vos yeux de simples Femmes-objets. 

Le bâillon de nos êtres et de nos âmes. 

La terreur de nos cœurs. 

Ceux-là même qui vous crient notre existence et s’insurgent devant votre féroce violence. 

En vain notre tant attendue reconnaissance. 

 

Et vous, maîtres de nos destinées. Vous prenez nos Mères, nos Filles.

Indignés par notre humanité, par ce qui fait de nous des touts, des entités. 

Vous rayez notre réalité. 

Hommes-rois de corps que vous marquez comme des territoires. 

La puissance et le pouvoir, prêts à tout pour nous dominer. 

 

Comme vous. Nous méritons de respirer. De penser et de parler. Une place sur cette terre. Égalité et Liberté. 

Vous nous pensiez inférieures. À l’affût de ceux qui criblent nos chairs, nous deviendrons guerrières, vengeresses de nos Sœurs. Ce voile ne couvrira plus nos vies, nous nous battrons jusqu’à la mort pour notre survie. 

 

Aux armes Braves Iraniennes. 

 

Dévoilons-nous.

 

« Femme, Vie, Liberté ». 

 

 

© Lisa Fournel

 

 

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Pour citer ce poème en prose féministe, engagé & inédit​​​​​​

 

Lisa Fournel, « Dévoilons-nous », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poéféministes | Festival des Poésies Féministes 2023 | «  Chevelures & autres poèmes féministes », recueil collectif papier à paraître en 2023 aux éditions PAN DES MUSES DE LA SIÉFÉGP 2023 & Revue Orientales, « Voyageuses & leurs voyages réels ou fictifs », n°2, mis en ligne le 15 février 2023. URL :

http://www.pandesmuses.fr/concoursfeministes/lisafournel-devoilons-nous


 

 

 

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