9 mars 2022 3 09 /03 /mars /2022 18:09


Numéro Spécial | Printemps 2022 | Critique & réception 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ÉMEUTES

 

Vol au-dessus d'un nid de pavés,

 


Claude LUEZIOR, Éditions Cactus inébranlable

 

(Belgique), 78 p., ​​​​ISBN : 978-2-39049-054-8, 2022

 

 

 

 

 

 

 

Jean Mahler

 

Psychothérapeute en Suisse romande & auteur de plusieurs ouvrages

 

 

 

© Crédit photo :  Première de couverture illustrée de l'œuvre. 

 

Poésie de l'action. Écriture acidulée, engagée, sans pour autant être politique, dans le sens commun du terme. Luezior n’a  perdu ni son style, ni sa verve ! 

Ce petit pavé « y en a marre » est touchant car, derrière le rire jaune tournent parfois le gris et le noir, au travers d'un regard distancié. Émergent alors des thèmes importants, surtout en notre époque actuelle.

    Le texte s’ouvre sur une question brûlante concernant l’émeute : est-elle libératrice? De fait, elle peut l’être et elle l’a été à certains moments de l'Histoire, lorsqu’elle procède de son étymologie « émouvoir », au sens profond d’un mouvement porteur de sens.

    Ces mouvements fourre-tout, parfois précisément dénués de ce sens ou plutôt animés d’une pulsion groupale rassemblent certes certaines revendications valables mais sont amalgamées et perdent leur crédibilité. 

​​​​​​ Des questionnements parsèment le texte : « L'humanité est-elle un long chaînage de violences légitimées par tel pouvoir, folie, idéologie, ethnie et parfois tel ou tel dieu ? »  (p. 43). Sont également évoqués Gandhi, Luther King, Jaurès et d’autres…

    Appel à un combat qui « ait du corps » (Diantre, un peu d'ambiance, de quoi charbonner le bourgeois, consumer du carbone, de quoi honorer l'Histoire et sa Commune... p. 23) : alors, oui à l’émeute qui émeut les consciences sur les voies d'une défense de la vie ! 

 

 

© Crédit photo :  Quatrième de couverture illustrée de l'œuvre. 

 

 

Mais mille fois non à la violence et la bêtise crasse ! Dénonciation de cette folie qui saisit à certains moments une foule au sein de laquelle ressurgissent soudain les marques de «  la bête immonde »

    Dans le contexte actuel, ce petit livre pousse à la réflexion et à un débat salutaire.

 

© J. MAHLER

***

 

Pour citer ce texte

 

Jean Mahler, « ÉMEUTES Vol au-dessus d'un nid de pavés, Claude LUEZIOR, Éditions Cactus inébranlable (Belgique), 78 p., ISBN : 978-2-39049-054-8, 2022  », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Numéro Spécial | Printemps 2022 « L'humour au féminin » sous la direction de Françoise Urban-Menningermis en ligne le 9 mars 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/ns2022/jm-emeutes

 

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Numéro Spécial 2022 Poésie philanthropique
7 mars 2022 1 07 /03 /mars /2022 19:56

Numéro Spécial | Printemps 2022 | Instant poétique avec...

 

 

 

 

 

 

El tango / Le Tango

 

 

 

 

 

 

Maggy de Coster

​​​​Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

© ​​​​Crédit photo :  Maggy De Coster,  Casa Borges en Argentine, image no 1.

 

 

 

 

El tango

 

 

 

 

© ​​​​Crédit photo :  Maggy De Coster,  Casa Borges en Argentine, images no 2, no 3 & no 4.

 

 

 

¿Dónde estarán? pregunta la elegía

de quienes ya no son, como si hubiera

una región en que el Ayer, pudiera

ser el Hoy, el Aún, y el Todavía.

 

¿Dónde estará? (repito) el malevaje

que fundó en polvorientos callejones

de tierra o en perdidas poblaciones

la secta del cuchillo y del coraje?

 

¿Dónde estarán aquellos que pasaron,

dejando a la epopeya un episodio,

una fábula al tiempo, y que sin odio,

lucro o pasión de amor se acuchillaron?

 

Los busco en su leyenda, en la postrera

brasa que, a modo de una vaga rosa,

guarda algo de esa chusma valerosa

de Los Corrales y de Balvanera.

 

¿Qué oscuros callejones o qué yermo

del otro mundo habitará la dura

sombra de aquel que era una sombra oscura,

Muraña, ese cuchillo de Palermo?

 

¿Y ese Iberra fatal (de quien los santos

se apiaden) que en un puente de la vía,

mató a su hermano, el Ñato, que debía

más muertes que él, y así igualó los tantos?

 

Una mitología de puñales

lentamente se anula en el olvido;

Una canción de gesta se ha perdido

entre sórdidas noticias policiales.

 

Hay otra brasa, otra candente rosa

de la ceniza que los guarda enteros;

ahí están los soberbios cuchilleros

y el peso de la daga silenciosa.

 

Aunque la daga hostil o esa otra daga,

el tiempo, los perdieron en el fango,

hoy, más allá del tiempo y de la aciaga

muerte, esos muertos viven en el tango.

 

En la música están, en el cordaje

de la terca guitarra trabajosa,

que trama en la milonga venturosa

la fiesta y la inocencia del coraje.

 

Gira en el hueco la amarilla rueda

de caballos y leones, y oigo el eco

de esos tangos de Arolas y de Greco

que yo he visto bailar en la vereda,

 

en un instante que hoy emerge aislado,

sin antes ni después, contra el olvido,

y que tiene el sabor de lo perdido,

de lo perdido y lo recuperado.

 

En los acordes hay antiguas cosas:

el otro patio y la entrevista parra.

(Detrás de las paredes recelosas

el Sur guarda un puñal y una guitarra.)

 

Esa ráfaga, el tango, esa diablura,

los atareados años desafía;

hecho de polvo y tiempo, el hombre dura

menos que la liviana melodía,

 

que solo es tiempo. El Tango crea un turbio

pasado irreal que de algún modo es cierto,

el recuerdo imposible de haber muerto

peleando, en una esquina del suburbio.

 

**

 

 

© ​​​​Crédit photo :  Maggy De Coster,  Casa Borges en Argentine, images no 5, no 6 & no 7.

 

 

 

Le Tango

 

Où seront-ils ? remettre en question l'élégie

de ceux qui ne sont plus, comme s'il y avait

une région où l’Hier, pouvait

être encore l’Aujourd'hui.

 

Où sera-t-il? (Je répète) le malevaje

qui a fondé dans des ruelles poussiéreuses

dans les  terres ou dans les villages perdus

la secte du couteau et de la bravoure?

Où seront ceux qui sont passés,

laissant à l'épopée un épisode,

une fable à la fois, et qui sans haine,

profit ou passion d'amour se sont poignardés?


 

Je les cherche dans leur légende, à la fin

braise qui , comme une rose vague,

sauve une partie de cette brave foule

de Los Corrales et de Balvanera.


 

Quelles ruelles sombres ou quel désert

De l'autre monde abritera

l'ombre dure de celui qui était une ombre sombre,

Muraña, ce couteau de Palerme?


 

Et cette fatale Iberra (dont les saints

s’apitoient) qui sur un pont de la route,

a tué son frère, el Ñato, qui a dû être

un mort de plus à l’égal des autres ?


 

Une mythologie poignante

disparaît lentement dans l'oubli;

Une chanson de geste s’est perdue

parmi de sordides nouvelles policières.


 

Il y a une autre braise, une autre rose rouge

de la cendre qui les garde intacts;

il y a les fiers couteliers

et le poids du poignard silencieux.


 

Bien que le poignard hostile ou cet autre poignard,

le temps, les ait enterrés dans la boue,

aujourd'hui, au-delà du temps et de leur funeste

destin, ces morts vivent dans le tango.


 

En musique ils sont, dans le cordage

de la guitare obstinée et laborieuse,

qui se trame dans la milonga aventureuse

la fête et l'innocence du courage.

 

La roue jaune tourne dans le trou

Des chevaux et des lions, et j'entends l'écho

de ces tangos d’Arolas et de Greco

que j'ai vu danser sur le trottoir,


 

dans un instant isolé qui émerge aujourd'hui,

sans avant ni après, contre l'oubli,

et qui a le goût du perdu,

du perdu et du retrouvé.


 

Dans les accords, il y a de vieilles choses:

la vigne de l’autre patio entrevue.

(Derrière les murs suspects

le Sud garde un poignard et une guitare.)

 

Cette rafale, le tango, cette diablerie,

Défie les années trépidantes ; 

fait de poussière et de temps, l'homme dure

moins que la légère mélodie,

 

qui n'est que temps. Le Tango crée un passé un trouble

irréel qui est en quelque sorte vrai,

le souvenir impossible d’être mort

en luttant dans un coin de la banlieue.

 

 

 

Jorge Luis BORGES, traduit de l’espagnol argentin par Maggy DE COSTER

 

 

© M. DE COSTER.

Nous publions ce poème avec l'aimable autorisation de la traductrice et de sa maison d'édition.

 

 

***

 

Pour citer ce poème bilingue 

 

Maggy De Coster (traduction en français de l’espagnol argentin par), « El tango / Le Tango », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Numéro Spécial | Printemps 2022 « L'humour au féminin » sous la direction de Françoise Urban-Menningermis en ligne le 7 mars 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/ns2022/mdc-tango

 

 

 

 

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2 mars 2022 3 02 /03 /mars /2022 17:43

Numéro Spécial | Printemps 2022 | Chroniques de Camillæ Critique & réception)

 

 

 

 

 

 

 

Amazonie fragmentée

 

 

 

 

 

 

Camille Aubaude

 

Site & blog officiels :

www.lamaisondespages.com/

 

https://camilleaubaude.wordpress.com/

 

 

 

 

Une bande dessinée en 5 vol., Dargaud éd. Leo (scénario). Rodolphe (scénario). Bertrand Marchal (dessin).

 

Chaque volume s’ouvre par un synopsis des précédents :

 

 

© Crédit photo : "Amazonie fragmentée", image n° 2 prise par camille Aubaude. 

 

 

Au milieu de la Vie, on se dépouille de tout ce qu’on a appris, comme un serpent qui mue, et en tant qu’artiste qui se régénère, car nous ne sommes jamais parfaitement nous-mêmes.

Les démons du mal gardent le seuil de la transcendance, fascinante avancée dans la forêt obscure, sylva obscura

On mue ou l’on meurt.

Une bande dessinée Amazonie véhicule l’image la plus négative possible de cette jungle. 

À l’inverse, puisqu’il y a toujours la dualité, il existe des éclaireurs, ou peut-être de dangereux illuminés, qui nous invitent à recueillir dans cette forêt originaire les plantes les plus rares et les plus bénéfiques, à considérer les arbres comme « le poumon de la planète », en prônant une « biodiversité » à des fins, hélas, commerciales… Sans argent, rien ne se fait…

La vision négative est diffusée par les éditions Dargaud, importante maison d’édition liée à l’Opus Dei, où Isis et les païens sont des démons. 


 

Je la résume :

— les Indios sont des sauvages et des ennemis des Blancs ;

— les Blancs les plus méchants, tels les anciens nazis, s’y rencontrent à foison ;

— les eaux sont boueuses, il y a d’infâmes araignées, c’est le monde rampant de la psychose où les crocodiles arrachent les jambes ; on voit bien sûr une scène d’un médecin allemand dévoré par les crocodiles (qui ont un autre nom, car on apprend des termes exotiques).

— le personnage du consul anglais synthétise la bassesse qui annihile les Blancs dans ces contrées de malheur où la chaleur est insupportable1. Ce consul hédoniste et replet ne cesse de jurer, façon de rejeter des lieux magiques qu’il considère comme le fin fond du monde (je ne reprends pas les termes orduriers). Quand le consul quitte Manaus pour atteindre la mission, on sait qu’il est dans l’hydravion par les gros mots qui en jaillissent. Bref, le représentant de la Grande Bretagne hait ce pays, qui n’est pas tant donné comme le Brésil (brasil) que l’enfer des Tropiques. Seule la courageuse Amazone, une « Camille », arrivée de Londres pour enquêter, l’héroïne du récit, le relève un tout petit peu, jusqu’au « vous partez déjà ? »

— le comble de la perversité est la Diva qui se produit à l’opéra de Manaus où elle est, ainsi qu’il se doit, ovationnée… Elle calcule machiavéliquement qu’un concert dans une mission sera profitable à sa carrière. Il n’est jusqu’à la musique… C’est un sosie de la Castafiore, sans le chic, l’humour, le génie, l’intelligence et la classe. Sa gloire terrestre étant due à l’argent et à la corruption, il est « naturel » qu’elle se retrouve à Manaus... Sa fin est totalement abjecte.

— comme un idéal missionnaire toujours se délite, le révérend père a compris que lui seul pouvait se donner des bons moments dans la vie, donc il se saoule et fornique quotidiennement. L’une des bulles les plus drôles est un « Ouiiiii » en bas de page : le cri de jouissance de la superbe rousse coureuse d’hommes recouvre la jungle ! Bruissement primordial, orgasme, diva, représentent le trop-plein, le splash d’une trame narrative qui met en parallèle Dracula, le Surhomme, les extra-terrestres, excusez du peu.  Sylva obscura, prima terra… Quand la rousse pulpeuse part pour un autre, l’infirmière de la mission considère que le révérend s’est conduit comme une bête et le sermonne. Les dérives de l’utopie atteignent les rives de l’infamie, puis c’est l’hostilité.

 

Dans la superbe bande dessinée Les Indes fourbes (Ayroles et Guarnido, éd. Bruno Graff, 2019)  l’image inversée de la Nature est couronnée par celle des Indiens réducteurs de têtes. Au milieu de scènes de violence parfois hélas, complaisantes, l’image de la tête réduite avec la bouche cousue du noble conquistador espagnol est un sommet d’angoisse. 

Comme il s’agit toujours du manichéisme esprit-nature, Amazonie a substitué au truisme des Indiens réducteurs de têtes un être qui possède deux cerveaux (homme-femme ?) interconnectés et de super pouvoirs. Protégé des Indios, il exerce une force d’attraction qui guérit les âmes pleines de droiture, notamment le compagnon brésilien de l’agent anglaise.

Serait-il question de réconcilier les puissances de l’intelligence et celles de la Nature… ? Non, non, non, cette dualité est le moteur de la quête de l’Eldorado : il faut suivre le plan qui y mène… Il a fallu que ce soit un président français qui ait eu l’idée atroce de donner un prix à la Nature pour qu’elle vaille quelque chose, afin d’être protégée… Reconnaissons à François Mitterrand le mérite d’avoir interrogé le désir humain d’éradiquer la Mère-Nature… !

 

Une Nature qui préserve la douce habitude d’exister pour être merveilleuse, efflorescente, épanouie, n’est toujours pas d’actualité2, même pour une population française vieillissante, qui a besoin de nature. La belle représentation d’un monde enchanté peuplé d’esprits divins que l’Occident a tué par l’industrialisation a conduit les critiques du Romantisme à parler de « désenchantement », ce qui est devenu aujourd’hui un lieu commun.

 

 

Notes


 

1. Voir la maîtrise de Sylvine Vaucher (Université Paris 3, Sorbonne Nouvelle) sur les nombreux romans colonialistes qui montrent les Blancs « décivilisés » par l’Afrique, dont la figure de proue est La Maîtresse noire de L.-Ch. Royer.

2. XR, le mouvement britannique Extinction Rebellion, labellise « la meilleure ville d’Angleterre où vivre », et oublie la nature sauvage.(https://extinctionrebellion.fr/branches/paris-centre/

 

 

© Crédit photo : "Amazonie fragmentée", image n° 2 prise par camille Aubade. 

 

L’infirmière acrimonieuse entre le révérend dans son hamac et le consul anglais.

 

© Crédit photo : "Amazonie fragmentée", image n° 3 prise par camille Aubade. 

 

 

Le Kalos kagathos est le fil d’Ariane pour cheminer dans la forêt vierge, où le non initié s’enlise ou devient un dictateur.

 

 

***

 

Pour citer ce texte

 

Camille Aubaude, « Amazonie fragmentée », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Numéro Spécial | Printemps 2022 « L'humour au féminin » sous la direction de Françoise Urban-Menningermis en ligne le 2 mars 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/ns2022/ca-amazoniefragmentee

 

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Numéro Spécial 2022

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