11 octobre 2020 7 11 /10 /octobre /2020 18:17

N°8 | Critique & réception 

 

 

 

 

Franck Delbarre

 

 

Je t’emmène voir les coquelicots

 

 

poèmes entremêlés d’histoires,

 

Éditions Sajat, 2020, 12€

 

 

 

Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

​​​​​​​© ​​​​​​​​​​Crédit photo : "Première de couverture illustrée du recueil aux Éditions Sajat".

 

 

 

Un texte liminaire du recueil questionne sur le sens des mots, un vrai badinage, comme le poète sait bien le faire, avec les mots et expressions, ce qui prouve bien qu’il n’est jamais à court de mots. Il écrit par à-coups au gré de son inspiration, aussi compile-t-il poèmes néo-classiques, poèmes en prose et histoires. 

Un texte poétique fait rappel au titre du recueil « Je t’emmène voir les coquelicots » où il fait l’éloge de la beauté naturelle de la femme : 

 

« Que fais-tu ?   Ne te maquille pas !

Car j’aurai l’impression que tu pourrais être une autre »

 

Pour lui le bonheur ne se trouve que dans les choses simples :

 

«  Il fait beau dehors. L’air a le parfum des jours heureux »

 

Son amour des mots est manifeste dans tout le recueil : 

 

« Sur la ville endormie une lune perplexe

Cherche des mots d’amour qu’un vent a dispersés »

 

Plus loin il s’accorde une licence grammaticale, un vrai défi pour les puristes :

 

« La femme que j’aimera

Elle sera  un peu folle

Très loin du protocole !

La femme que j’aimera »

 

Il joue sur les sonorités et également avec la polysémie des mots comme par exemple dans un texte en prose intitulé « Le monde est petit »,   on peut  lire : « mon petit doigt me dit que vous voulez un petit café » ou encore : « ma femme m’a mijoté un petit plat...  ». 

Dans un autre texte en prose intitulé « La théorie de l’escalier » on relate des  pléonasmes bien calculés par le poète, un brin dérangeant et provocateur : 

 

« […] il montait en haut alors que je descendais en bas

Il faut que je vous dise que j’ai même vu des gens monter en bas 

Et d’autres, descendre en haut, en réalité tous préoccupés par la chute en escalade !

 Car qu’il s’agisse de monter ou de descendre nous sommes tous motivés par une seule chose : C’est l’envie d’avancer ! »

 

C’est à raison qu’il nous fait remarquer l’absurdité ou l’incomplétude de certaines expressions de la langue française :

 

« Il y a des expressions peu expressives

Des expressions sans début ni fin

Qui nous laissent  sur la faim

Sans queue ni tête, à mi-chemin »

 

La dérision, l’humour décalé, des sous-entendus, des double sens, un cocktail détonnant servi dans la bonne humeur, tels sont les marqueurs de ce recueil de poèmes.

 

***

 

Pour citer ce texte 

 

Maggy de Coster, « Franck Delbarre, Je t’emmène voir les coquelicots, poèmes entremêlés d’histoires, Éditions Sajat, 2020, 12€ », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°8 | « Penser la maladie & la vieillesse en poésie » sous la direction de Françoise Urban-Menningermis en ligne le 11 octobre 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/no8/franckdelbarre-voirlescoquelicots

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Numéro 8
6 octobre 2020 2 06 /10 /octobre /2020 17:16

 

 

N°8 | Sourires & rires féministes

 

 

 

 

Les tétons flingueurs​​​​​​

 

 

 

 

 

 

Véro Ferré

 

 

Nos tétons détonnent ?

N’est ce pas plutôt les hommes qui déconnent ?

 

Il y aurait les femmes correctes

Celles que l’on respecte

Et les soi-disant pécheresses

De celles que l’on agresse

Pour un décolleté trop échancré

Une jupe trop retroussée

Un cul trop moulé

Un téton trop dressé.


 

Nos corps sexualisés

Dès la tendre puberté

Les filles perturbent les garçons

Faites donc leur éducation

Faut se faire jolie pour plaire

Au risque d’être taxée de vulgaire

Se prendre des remarques déplacées

Des regards libidineux ou outrés.


 

Sur les plateaux télé

Pas de discussions enflammées

Personne ne crie haro

Sur vos maillots  moulants Speedo

Les torses dévoilés

Un privilège masculin bien ancré.

Si la culture du viol n’existait pas

Tout cela ne ferait pas débat.


 

Nos tétons vous agressent ?

Ton désir n’est pas irrépressible !

Nos tétons vous appâtent ?

Ton désir n’est pas irrépressible !

Nos tétons sont tentateurs ?

Ton désir n’est pas irrépressible !


 

Nos tétons sont décents

Nos seins sont rebellion

Dans l'espace public

Nos seins sont politiques

Pas érotiques


 

VF, Octobre 2020

 

 

***

 

Pour citer ce poème féministe 

 

Véro Ferré, « Les tétons flingueurs », texte inédit, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°8 | Été 2021 « Penser la maladie & la vieillesse en poésie »mis en ligne le 6 octobre 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/no8/tetonsflingueurs

 

 

 

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12 mars 2018 1 12 /03 /mars /2018 18:12

 

N°8 | Dossier majeur | Florilège de textes poétiques

 

 

 

 

Jeunesse

 

 

 

 

Sarah Mostrel

 

Site officielwww.sarahmostrel.online.fr

 

Page facebook officiellewww.facebook.com/sarah.mostrel

 

 

 

 

© Crédit photo : Sarah Mostrel, Ainsi suis-je.

 

 

 

Avant, c’était le temps de la liberté

De l’insouciance

On ne pensait pas au fric

On ne pensait qu’à la fête

 

On avait des valeurs

De fraternité, de solidarité

Dans nos soirées baba cool,

on refaisait le monde

Et il était beau

 

 

© Crédit photo : SM, Le poids de la vie.

 

 


 

Quand on faisait des études

On savait qu’on aurait du boulot

On ne se souciait pas de comment remplir le frigo

On avait envie

De s’aimer pour la vie

Et on chantait tout haut

Ce que notre cœur disait tout bas

 

 

© Crédit photo : SM, Avec le temps.

 

 

 

Les vieux,

ils ne nous aimaient pas trop

On était trop rebelles pour eux

Alors, on prenait la guitare

Et on restait très tard

À jouer de nos souffles

Du Graeme Allright, du Vian, du Brassens

Du James Taylor, du Neil Young, du Lennon

 

 

On avait les cheveux longs et la crinière au vent

On était beaux, on était gentils

On aimait la vie en ce temps-là

On ne pensait pas aux divorces, au chômage, à la crise

On était confiant parce qu’on avait… l’amitié

 

 

© Crédit photo : SM, Sourire de l'âge.

 

 

Ce bien le plus précieux

Celui de nos vingt ans

Celui de nos amours fous

Celui de nos illusions

De nos rêves

D’enfants

 

Jeunesse

Tu nous as appris

La préciosité de l’amour

Sans lequel rien n’est ni ne sera jamais possible

 

 

© Crédit photo : SM, Aimer, encore...

 

 

 

Jeunesse, tu nous as construits

Instruits, aimés, gâtés

Avec ta musique, ta poésie

 

Celle qu’on porte en nos cœurs

Maintenant encore,

Nous

Les… (un peu plus) vieux…

 

© SM

 

 

***

 

Pour citer ce poème

 

Sarah Mostrel (texte & photographies), « Jeunesse », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°8 Supplément sur « La maladie et la vieillesse en poésie » sous la direction de Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 12 mars 2018. Url : http://www.pandesmuses.fr/2018/3/jeunesse

 

 

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Lien vers le N° 8 à venir

Rédaction de la revue LPpdm - dans Numéro 8
20 février 2018 2 20 /02 /février /2018 18:05

 

Lettre n°13 | Textes poétiques & N°8 | Muses au masculin | Florilège de textes poétiques

 

 

 

 

 

 

 

L'Arpenteur d'infini

 

 

 

 

 

Mustapha Saha

 

Sociologue, poète, artiste peintre

 

 

 

© Crédit photo : Mustapha Saha. "Portait 5".

 

 

 

 

Mille trois cent cinquante au creux du siècle sombre

Je n’eus que l’abaque pour tromper mon angoisse

Et les chiffres romains pour supputer les nombres

Quand la grande peste dépeuplait les paroisses

 

J’acquis l’art des échecs pour braver la Camarde

Elle misait du temps je jouais mon destin

Vainqueur je repartis sous mon manteau de barde

Vers d’autres royaumes sans macabres festins

 

Au bout de ma route la verte Andalousie

Les minarets voisins des blanches synagogues

Des cultures brassées sans vaine jalousie

Les maisons ouvertes des savants pédagogues

 

Le savoir obsolète embrumait ma mémoire

J'aurais capitulé dans ma triste pénombre

Si mon hôte arabe n’avait dans ses grimoires

De l’Inde lointaine la doctrine des nombres

 

J’explorai les replis des comptes circulaires

La féconde alchimie des caractères libres

Le vide impératif du symbole oculaire

Les valeurs mouvantes sur des traits d’équilibre

 

Je perçus l’infini dans les choses modestes

La sphère algébrique constellée d’inconnues

L’écho numérique des symphonies célestes

La danse des signes sur le parchemin nu

 

Je pus me défaire des bouliers inutiles

De la planche à calcul des jetons superflus

Traduire en formules les énigmes subtiles

Et du dogme abaciste annoncer le reflux

 

L’Église condamna l’infâme sacrilège

Les marchands maudirent la découverte immonde

Les scribes grognèrent pour leurs bas privilèges

Mais l’œuvre algoriste sapait déjà leur monde

 

Je passais mes journées cloîtré dans mon étude

Classant les naturels sur des tracés logiques

Pistant les grands premiers avec incertitude

Croisant les diviseurs dans des carrés magiques

 

Je voulais comprendre l’expansive limite

Où l’espace et le temps n’étaient qu’un seul miroir

Capturer le reflet de l’invisible ermite

Inlassable artisan d’univers à tiroirs

 

Faute d’élucider la moindre conjoncture

Je traquai les vices des suites lancinantes

Guettai la malfaçon dans chaque architecture

La folie menaçait ma raison déclinante

 

 

L’asile inopiné d’une belle érudite

M’arracha des griffes du funeste démon

Je retrouvai la paix dans sa tour interdite

Et comblai de son nard mes sens et mes poumons

 

Il fut dit que bonheur couvait douce tourmente

Mon cœur vite lassé des servantes dociles

Des vapeurs de sauna des baisers à la menthe

N’aspirait qu’à s’enfuir loin des plaisirs faciles

 

Je rêvai de nouveau d’envoûtants territoires

D’étincelles jaillies d’insondables figures

Au-delà du détroit d’autres laboratoires

L’étoile du berger incarnait mon augure

 

Je quittai Grenade pour l’Empire des sables

Les jardins parfumés pour l’or de Tombouctou

Je cherchais dans les ergs la clef de l’impensable

Les arcanes du rien la matrice du tout

 

Je vis l’éternité perlée par les secondes

Le désert concentré dans un grain minuscule

Le bruit décomposé sur la grille des ondes

Le soleil condensé dans chaque particule

 

Un moustique énervé me choisit pour victime

Injecta son poison dans ma chair innocente

Et fit de mon voyage une dérive intime

Et revoilà la Parque et sa serpe indécente

 

 

À quoi me servaient donc les atouts de ma mise

Mes secrets d’alchimiste et mon art au cordeau

N’aurais-je pas troqué si magie fut permise

Toutes mes lumières pour une gorgée d’eau

 

Mon corps déshydraté comme antique momie

Chétif et rétréci comme peau de chagrin

Couvert de poussière comme un texte endormi

N'avait pour suaire qu’un cuir de pérégrin

 

Des génies chroniqueurs surgis du fond des âges

Creusaient leur alphabet dans ma pauvre ossature

Des tourbillons de sable érodaient mon visage

Je n’étais qu’une empreinte un reste d’écriture

 

Mon âme décrochée de sa gaine fragile

Voltigeait sans contrainte et sans coupable pensée

Entre dune mouvante et cuvette d’argile

Et puisait son nectar dans des fleurs impalpables

 

Elle était tout à tour silex et calamite

Essence d'églantine et parfum de santal

Bâton de voyageur et chandelle d'ermite

Grammaire énigmatique et prosodie vitale

 

Elle était musique portée par les orages

Mémoire tellurique et céleste oxymore

Couronne azurine d’un fabuleux mirage

Et rouge griffure dans le livre des morts

 

 

 

Le septième palier fut nuit de guérison

Je me levai matin comme un coureur ailé

Des bulbes d’émeraude émaillaient l’horizon

La Cité des lettres m’ouvrait son propylée

 

© MS

Lettre n°13 | Textes poétiques

 

***

 

Pour citer ce texte


Mustapha Saha, « L'Arpenteur d'infini », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° 8 Supplément sur « la maladie et la vieillesse en poésie » sous la direction de Françoise Urban-Menninger & Lettre n°13, mis en ligne le 18 février 2018. Url : http://www.pandesmuses.fr/2018/2/arpenteur

 

 

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