30 septembre 2022 5 30 /09 /septembre /2022 11:00

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Dossier majeur| Florilège | Astres & animaux 

 

 

 

 

 

​​​​​

Le corbeau amoureux

 

 

 

 

 

 

Charlène Lyonnet

 

 

 

 

 

© Crédit photo : Bouquet de fleurs, image prise par DS.

 

 

 

Ombre en peine

apprivoise, timide, les mots doux

à la lueur des fragrances du crépuscule.



 

Le corbeau amoureux enveloppe 

une lettre enflammée

à l’essence des fleurs sauvages.



 

L’alcôve de papier bruisse.

Éclosion écarlate des sentiments.



 

Froissée, fragmentée,

la missive s’ourle 

d’enluminures dévorantes.



 

Dans le sillage du feu 

une traîne de cendres

parfum de déception.

 


 

©Charlène Lyonnet

 

***​​​​​​

 

Pour citer cette fable & image inédites

 

Charlène Lyonnet, « Le corbeau amoureux », image par DS., Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre »mis en ligne le 30 septembre 2022. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no11/clyonnet-lecorbeauamoureux

 

 

 

 

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19 septembre 2022 1 19 /09 /septembre /2022 17:37

N°12 | Poémusique des femmes & genre | Dossier majeur | Florilège / Muses au masculin 

 


 

 

 

​​​​​

 

 

Que musique le monde !

 

 

 

 

 

 

 

Poème & dessin

 

Mokhtar El Amraoui

 

 

 

© Crédit photo :  Mokhtar El Amraoui, « Que musique le monde ».

​​​​

 

 

Il est des airs

Qui toujours nous accompagnent,

Dans ce long brûlant désert.

Ils libèrent de leur bagne

Nos pleurs et leurs flammes.

Ils essuient par de multiples notes et gammes

Toutes leurs heures de malheurs,

Leurres et horreurs !

 

 

 

Musique alors le monde,

Explosant en notes de fleurs,

Dans tous les tristes chemins et verres

Qui se remettent à chanter,

Danser, rire et aimer,

Oubliant regrets amers,

Mordantes douleurs et nostalgies,

Pris dans les tourbillons

D’enivrantes harmonies

Portés par d’entraînants refrains

En libres voix luisant de joie sans fin !

 

 

 

Musique alors le monde

En merveilleux oueds, rivières et mers,

Loin des fanges immondes,

Nous conduisant, des rêves de leurs ondes,

Vers les odes de nouveaux rivages

Généreux pour tous âges

Avec leurs chaudes mélodies

Allumées des tréfonds d’un oud, d’une guitare,

D’un violon ivres d’amour et de vie !

Leurs cordes dénouent la corde du désespoir

Et tout par magie redevient féerie !

 

 

 

Musique alors le monde

Et un immense soleil nous inonde

Même au creux des tonnerres qui grondent,

Dans les bras d’une pluie faite flûtes

Ou chaud abri d’un généreux luth,

Par les caresses d’une tendre neige,

Qui dans sa chute,

Danse en dunes,

Loin des trahisons et pièges,

Réveillant des milliers de joyeuses étoiles et lunes,

Couronnant de leur lumière tant de doux violoncelles.

Musique alors le monde,

Loin de toute violence, en paix d’arondes,

De toutes les radieuses couleurs de ses ailes !

 

 

 

 

© Mokhtar El Amraoui in « Nouveaux poèmes »

 

 

***

 

Pour citer ces dessin & poème inédits

 

​Mokhtar El Amraoui (poème & dessin), « Que musique le monde ! », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 19 septembre 2022. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no12/mea-quemusiquelemonde​

 

 

 

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16 septembre 2022 5 16 /09 /septembre /2022 15:35

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Astres & animaux | Réception d'autrefois / Poésie des aïeules

 

 

 

 

​​​​​

 

 

Le petit oiseau prisonnier

 

 par Désirée Pacault

 

 

 

 

 

​​

 

 

Auguste de Roosmalen (18??-18??)

 

Désirée Pacault (1798-1881)

Texte choisi, transcrit, corrigé & commenté brièvement par Dina Sahyouni

 

 

 

 

Crédit photo : Berthe Morisot, "The Cage", 1885, Commons.

 

 

Melle PACAULT (Désirée)


 

Née à Beaune, en Bourgogne ; son père avait été professeur de rhétorique dans plusieurs collèges de France. Elle vint à Paris et débuta dans la carrière des lettres par un poème intitulé : Le Grec. Quelques journaux de la capitale, entre autres la France Littéraire, s'empressèrent de l'admettre au nombre de leurs rédacteurs. La société d'encouragement pour les lettres et les arts, la société Racinienne, lui décernèrent chacune, une médaille pour les travaux qu'elle avait adressés à ces sociétés. Plusieurs académies et associations savantes : la société d'Enseignement universel, la société Impériale et Royale des sciences, lettres et arts d'Aretina, en Toscane, etc., l'accueillirent dans leur sein. Mais ces récompenses, si honorables qu'elles soient ne la tirèrent pas de l'état de gêne dans lequel une fâcheuse entreprise la fit tomber. Elle n'obtint, dans ces derniers temps, aucune aide du ministère chargé de venir au secours des gens de lettres, et fut obligée de quitter Paris. Elle est maintenant à Boulogne-sur-Mer, qui lui doit une ode à sa colonne. On a imprimé ses poésies, en divers volumes : Émotions, 1 volume ; Inspirations, 1 volume, etc.


 

Le petit oiseau prisonnier (Fragment)

 

 

Avec sensibilité et douceur     Que ne puis-je voler vers cet espace immense

                    Qu'on appelle les cieux !

Avec charme et légèreté...      Sur la feuille des bois ; que le Zéphyr balance

                    Me poser tout joyeux !

Imitatif …............................. Respirer les parfums dont s'enivre l'abeille ;

Gracieux …......................... Du jeune papillon partager les ébats ;

Plus excité …...................... Admirer la beauté de la rose vermeille,

Avec finesse ….................... L'effleurer comme lui de mes pieds délicats !

                      

Plus enthousiaste ….               Ainsi que la frêle nacelle

Mais toujours naïf               Légèrement avec mon asile

                    Raser la surface des eaux ;

Imitatif avec amabilité ..           Écouter la brise timide

                      Palpiter dans la voile humide

                      Et gémir parmi les roseaux !

               

Chaleureusement.  .  .  .  .    J'ai pourtant vu s'élever dans l'espace

                Plus d'un oiseau dont j'ai perdu la trace !...

Avec sensibilité et regret.     Cependant comme lui j'ai des ailes d'azur

                Qui pourraient m'emporter où vole ma pensée !..

Douceur et sensibilité.  .  .    Cependant comme quand le matin est pur,

                J'aimerais à jouer dans l'herbe et la rosée,

                Puis retourner au nid où j'ai chanté !...

               

               

Avec âme .  .  .  .  .  .  .        Oh ! qui m'affranchira de ce triste esclavage ?...

Vivement pénétré.  .  .  .    Qui brisera les fers de ma captivité ?...

Tristesse, mais avec grâce.    Je souffre ; mais hélas ! je n'ai pas de langage

                Pour demander ma liberté.

 

 

 

 

    Tout ici doit être exprimé avec délicatesse ; tout est jeune, gracieux, et empreint d'une douce mélancolie. Cet exemple sera favorable à l'étude de l'articulation et des tons fins et légers.

 

Le poème présenté et commenté ci-haut se trouve dans l'œuvre de ROOSMALEN, Auguste de (18??-18??). Études littéraires, ou Recueil des chefs-d'œuvre de la littérature française, dans tous les genres : avec des annotations pour les bien lire, des remarques littéraires pour en apprécier le style et se former à l'éloquence, précédés de notices biographiques et de portraits, Paris, au bureau de l'orateur, 15, rue Suger, 1845, pp. 177-178. Cet ouvrage est tombé dans le domaine public.


Bien évidemment, cette réception d'autrefois est biaisée puisqu'elle néglige la portée principale du poème ainsi que la vie de Désirée Pacault. tout en choisissant ce poème, l'auteur Auguste de Roosmalen minimise l'importance du sujet traité par Désirée Pacault et sa signification symbolique. Cette réception met donc en lumière le talent poétique de Pacault à travers la légèreté et la finesse des tons sans toutefois lui reconnaître le pouvoir créatif de traiter des thèmes imposants et universels comme le font les poètes hommes. De nos jours, on interprète ce poème par le biais des notions comme la zoopoétique, l'ecopoétique, l'ecoféminisme, le féminisme, etc.

Les Archives Municipales de Beaune ont publié en 2020 sur leur site Web la notice biographique de l'artiste, compositrice et poète Désirée Pacault, veuillez la consulter par l'intermédiaire de cette adresse : https://archivesbeaune.wordpress.com/2020/06/23/desiree-pacault-artiste-beaunoise/

À lire aussi : 

 

​​​***​​​

 

Pour citer cette réception d'autrefois du poème de l'aïeule

 

Auguste de Roosmalen, « Le petit oiseau prisonnier par Désirée Pacault », extrait de ROOSMALEN, Auguste de (18??-18??), Études littéraires, ou Recueil des chefs-d'œuvre de la littérature française, dans tous les genres : avec des annotations pour les bien lire, des remarques littéraires pour en apprécier le style et se former à l'éloquence, précédés de notices biographiques et de portraits (1845), choisi, transcrit, corrigé & commenté brièvement par Dina Sahyouni pour Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre »mis en ligne le 16 septembre 2022. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no11/roosmalen-oiseauprisonnier

 

 

 

 

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12 septembre 2022 1 12 /09 /septembre /2022 12:37

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Dossier majeur | Florilège / Poésie des aïeules

 

 

 

 

​​​​​

 

 

La fleur sans parfum

 

 

 

 

 

​​

 

 

Désirée Pacault (1798-1881)

Texte choisi & transcrit avec une photographie de la poète par Dina Sahyouni

 

 

 

 

 

© Crédit photo : . Dessin, portrait de Désirée Pacault. Photographie prise par DS. du recueil cité ci-dessous.

 ​​​​

​​​

 

 

 

Pourquoi dans ce vallon reste-je solitaire

Comme une fleur croissant à l'ombre d'un tombeau ?

Triste fleur qu'ici-bas la lune seule éclaire

        De son pâle flambeau !...


 

De même qu'une esclave au malheur asservie

Traîne seule, en pleurant, de pénibles liens,

Me faut-il à chaque heure ici porter la vie

        Sans jouir de ses biens ?...


 

Quand la dernière étoile, à l'aube matinale,

        Se retire des cieux;

Quand l'aurore, sortant de sa couche d'opale,

Vient répandre en mon sein ses pleurs silencieux,

Et qu'auprès de mes sœurs accourt la frêle abeille,

Sur ma tige, humble fleur, tristement je m'éveille !..


 

J'admire ces flots d'or, cet horizon si pur

Qui s'étend comme un lac derrière la colline,

Sur le front de laquelle un doux rayon s'incline...

......................................................................................

Si j'avais d'un oiseau  le plumage d'azur,

Comme je quitterais et l'herbe et la rosée,

Pour voler tout entière où s'en va ma pensée !...

 

 

Crédit photo : Une fleur violette dans un champ de fleurs orangées, Commons.

 ​​​​

 

Et je demande en vain à mes plus jeunes sœurs

Leurs parfums délicats et leurs grâces nouvelles !

J'invoque en soupirant ces vives étincelles

Qui rehaussent l'éclat de leurs fraîches couleurs ;...

Mais triste fille, hélas ! de la sombre vallée,

Sous la feuille qui dort je demeure isolée !!...


 

Et quand le voyageur, fatigué du soleil,

Vient s'asseoir et rêver sous cet épais feuillage,

Il me froisse en passant, pauvre fleur sans langage,

Qui n'ai pas de parfums pour charmer son réveil !...


 

Oh ! sur la terre où s'éveille l'aurore

        Faut-il pencher et me flétrir,

Lorsqu'un regard de l'astre que j'implore

        Pourrait m'empêcher de mourir !...


 

Si j'avais d'un oiseau le plumage d'azur,

Comme je quitterais et l'herbe et la rosée,

Pour voler tout entière où s'en va ma pensée !...

 

Et je demande en vain à mes plus jeunes sœurs

Leurs parfums délicats et leurs grâces nouvelles !

J'invoque en soupirant ces vives étincelles

Qui rehaussent l'éclat de leurs fraîches couleurs ;...

Mais triste fille, hélas ! De la sombre vallée,

Sous la feuille qui dort je demeure isolée !...


 

Et quand le voyageur, fatigué du soleil,

Vient s'asseoir et rêver sous cet épais feuillage,

Il me froisse en passant, pauvre fleur sans langage,

Qui n'ai pas de parfums pour charmer son réveil !...


 

Oh ! sur la terre où s'éveille l'aurore

        Faut-il pencher et me flétrir,

Lorsqu'un regard de l'astre que j'implore

        Pourrait m'empêcher de mourir !...

 

 

 

Le poème ci-haut se trouve dans l'œuvre de PACAULT, Désirée (1798-1881), Inspirations, poésies, Paris, Auguste DESREZ, Imprimeur-éditeur, 50 Rue Neuve-des-petits-champs, 1840, pp. 73-75. Ce ​​recueil de poèmes est tombé dans le domaine public.

Les Archives Municipales de Beaune ont publié en 2020 sur leur site Web la notice biographique de l'artiste, compositrice et poète Désirée Pacault, veuillez la consulter par le biais de cette page : https://archivesbeaune.wordpress.com/2020/06/23/desiree-pacault-artiste-beaunoise/

 

***​​​

 

Pour citer ce poème de l'aïeule

 

Désirée Pacault, « La fleur sans parfum », extrait de PACAULT, Désirée, Inspirations (1840) Texte choisi & transcrit avec une photographie de la poète par Dina Sahyouni pour Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre »mis en ligne le 12 septembre 2022. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no11/dpacault-fleursansparfum

 

 

 

 

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