19 juillet 2022 2 19 /07 /juillet /2022 17:55

 

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Dossier majeur | Florilège | Poésie visuelle & REVUE ORIENTALES (O) | N° 2 | Dossier | Chroniques poétiques & artistiques [Nouvelle rubrique]

 


 

 

 

​​​​​

 

 

 

La nouvelle collection printemps-été 2022 de

 

la styliste tuniso-canadienne Sarah Manai ;

 

Femme-Fleur : des poèmes visuels et olfactifs

 

 

 

 

 

​​

 

Poèmes de

 

Hanen Marouani

 

Photographies par

 

Majdi Agrebi

 

 

 

DESCRIPTION 

 

Styliste : Sarah Manai

Poésie : Hanen Marouani

Photographie : Majdi Agrebi

Mannequin : Ichrak Cofflard

Lieu : Paris, Juin 2022.

 

 

 

© Crédit photo n°1 : La nouvelle collection printemps-été 2022 de la styliste tuniso-canadienne Sarah Manai. Image par le photographe Majdi Agrebi de Ichrak Cofflard (Mannequin), Paris, Juin 2022. 

 


PARFUM PARISIEN

 

 

© Crédit photo n°2 : La nouvelle collection printemps-été 2022 de la styliste tuniso-canadienne Sarah Manai. Image par le photographe Majdi Agrebi de Ichrak Cofflard (Mannequin), Paris, Juin 2022. 

 

 

Ô bougainvillier de Paris…

Reviens me dire la vérité

Reviens caresser mes idées

Tu es mon rêve aveuglé

Tu es ma terre natale et mon ciel parfumé

Et entre tes bras et les pétales de tes fleurs

Je me suis armée de tes lumières

Je me suis accrochée à tes pierres

En savourant les amours rares,

La lune de miel et ses tiroirs

Tu as chanté,

Et j’ai dansé, j’ai couru dans tes rues

À la rencontre de ta fraîcheur

À la croisée de tes fragrances et poussières

Sous le satin nocturne de ta peau colorée ;

Un soleil excité, une alliance serrée

Une caresse imprévue, des regards mouillés

Des couleurs vives et intimidées

 

 

 

© Crédit photo n°3 : La nouvelle collection printemps-été 2022 de la styliste tuniso-canadienne Sarah Manai. Image par le photographe Majdi Agrebi de Ichrak Cofflard (Mannequin), Paris, Juin 2022. 

 

 

Et te voilà comme la muse fièrement debout

Au sein d’un musée à ciel ouvert

Chaque rue,

Chaque perspective de vie,

Murmure le réveil tôt de ton dos nu

Dont les colliers sont nos souffles inédits

On vient découvrir la lueur d’été devant tes murs

Le tout au frais pour chanter la jeune dame et sa beauté

Le sens du détail rompt avec l’absence  

Sentir tes cheveux et la sueur de tes lèvres,

Au printemps de mon cœur

Apaise le mal de l’abondance

 La vie est un sort…

Prenez donc votre part

Des instants, des couleurs, des senteurs

De chaque histoire

 

H. Marouani, 15.07. 2022

 

 

 

 

SENTEURS, BONHEURS ET COULEURS

 

© Crédit photo n°4 : La nouvelle collection printemps-été 2022 de la styliste tuniso-canadienne Sarah Manai. Image par le photographe Majdi Agrebi de Ichrak Cofflard (Mannequin), Paris, Juin 2022.


 


 

 

Dès que tu sentiras les ombrelles de ses agapanthes,

Tu lèveras ta tête vers les nuages de Magellan

Tu mèneras le chemin de la créativité lactée

 

C’est parti pour un voyage olfactif…

Fermez les yeux et écoutez !

Les narines remplies de tes senteurs violettes

Tu penses à ce bateau sans voile dans la nuée d’étoiles

Qui traverse la voie et qui sert de point d’ancrage

 

 

C’est parti pour un voyage sage…

 

 

Les colombes hurlent devant la porte des nuits insolites

Les chansons de tes chaussures cultivent l’arrivée des anges

Et tes passiflores mélancoliques garnissent tes bras spiralés

 

 

Venue de loin pour montrer comment elle a appris à se tenir debout

Tout à nouveau…

 

C’est parti pour un voyage hasardeux…

 

Difficile d’oublier le ciel de Paris : ses bleus et ses gris

Les brumes, les brouillards, les retards et les coins verts

Difficile d’oublier les murmures des gouttelettes d’eau

Qui se produisent spontanément sur ta peau

 

C’est parti pour un voyage sans mots…

 

Sur les pétales d’une fleur rose à la lumière du soleil heureux

Auprès d’un mur erré, devant le pont doré,

 Se reflètent des écumes sur les fronts plongés

 

Et moi, je te cherche dans les photos,

 puis dans les récits de mes routes barrées

Le matin, tu n’acceptes pas de quitter ma tête ni ma vie

 

Tu as longtemps résisté

Tu as longtemps insisté

Tu es toujours dans ce fond déstructuré

 

Et depuis, …

Le sourire,

Le souvenir,

L’avenir,

T’es toujours accrochée à ces moments frais et vrais

 

Un régal, un plaisir de pouvoir un jour te rattraper

Les odeurs qui serrent les fleurs

Le miracle du bonheur dans la douleur

L’aventure qui renaît en regardant la mer

 

 

J’ai hâte de te voir revenir

et de sentir tes pas qui ont tant de choses à me dire

 

 

© Crédit photo n°5 : La nouvelle collection printemps-été 2022 de la styliste tuniso-canadienne Sarah Manai. Image par le photographe Majdi Agrebi de Ichrak Cofflard (Mannequin), Paris, Juin 2022. 

 

 

Et tu danses, tu danses dans mes rêves

Et tu réveilles mes chances d’exister

Ta longue jupe nuitée fonce et avance

Je t’ai fait une image comblée de beauté…

Tu as gardé toujours l’amour de la porter ?

Tu n’as pas pris assez de temps pour décider ?

Et le long châle rose et bien brodé ?

Il te serre comme des ailes

ou c’est seulement un cerf-volant en dentelles colorées?

 

 

De partout, les monuments t’entourent et dessinent ton corps et ton dos

Depuis,

Tu es devenue mon ange,

Tu as habité mes songes,

Tu es la muse de ma page blanche

 

Depuis,

Ton sourire,

Ton souvenir,

Ton avenir,

Et tous les moments partagés

Sont de plus en plus gais

Un régal, un plaisir

Quand l’audace dépasse la peur

La femme est la muse-fleur

L’envie infinie de célébrer la vie et les couleurs

 

H. MAROUANI, 07.07.2022

 

 

 

 

 

COMMENT FAIRE DE TOI UN SOUVENIR ÉTERNEL ?

 

 

 

© Crédit photo n°6 : La nouvelle collection printemps-été 2022 de la styliste tuniso-canadienne Sarah Manai. Image par le photographe Majdi Agrebi de Ichrak Cofflard (Mannequin), Paris, Juin 2022

 

 

 

Là où la magie se produit,

Là où c’est impossible qu’on t’oublie,

J’étais confuse et tu étais mon parfum et ma muse

Comment faire de ton état d’esprit une vraie vie ?

 Comment faire de tes nuances des couleurs d’été ou d’abri ?

Tout semble en extase ou en mal bavard ?

Tu m’écris une lettre douée mise au fond de ce boulevard

Comme les quais d’une garde en dehors de mes souvenirs

 

 

Un chuchotement rejoint vite ton odeur pour m’accompagner

Le vent et la marée de tes différentes teintes luttent pour exister

 Un départ dans un train est un dopant pour l’âme

Tu tires de tous les côtés sans avoir quelque chose à montrer

Sans avoir l’envie de retourner

Sans avoir l’envie de me le rappeler

Le miroir glisse ses reflets dans une petite valise noire

 

 

Te refuser n’était pas mon plan B

Ni mon intention majeure de te revoir ou de te quitter

 

 

© Crédit photo n°7 : La nouvelle collection printemps-été 2022 de la styliste tuniso-canadienne Sarah Manai. Image par le photographe Majdi Agrebi de Ichrak Cofflard (Mannequin), Paris, Juin 2022

 

 

Il était un de mes centres d’intérêt

Il était un de mes traits d’identité

Une idée qui m’habite sans arrêt

Une bonne odeur qui donne vie à ma tête figée,

À mon visage, à mes vernissages oubliés

Suivre tes petits pas est le moment de se faire plaisir

Sous les bras de ton violoncelle de jeunesse

Où les toits sont les chansons éternelles à serrer  

Où les propos non-dits sont les signes amoureux les plus vrais

Les voyages destinés des mots croisés et bousculés

L’unité des contraires me fait penser toujours aux lumières

T’es le tatouage qui a arrêté de blesser mes artères et ma peau

 

 

Comme c’est beau de faire de toi un souvenir éternel au sein des maux !

Il y a des rencontres qui changent les chemins et les habits

Il y a des rencontres qui changent les vies et les envies

 

© Hanen Marouani, 17.07.2022

 

_______

 

 

 

Pour citer ces photographies & poèmes inédits

 

Hanen Marouani, « La nouvelle collection printemps-été 2022 de la styliste Tuniso-canadienne Sarah Manai ; Femme-Fleur : des poèmes visuels et olfactifs », photographies de Majdi Agrebi de Ichrak Cofflard (Mannequin)Revue Orientales, « Les voyageuses & leurs voyages réels & fictifs », n°2 & Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre »mis en ligne le 19 juillet 2022. URL :

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/orientales/no2/no11/hm-femmefleur


 

 

 

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14 juillet 2022 4 14 /07 /juillet /2022 17:08

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Critique & réception | Astres & animaux  

 

 

 

 

 

 

 

 

Florence Delay,

 

Il n’y a pas de cheval sur le chemin de Damas

 

éd. du Seuil, La librairie du XXIè siècle, 2022
 

 

 

 

 

 

Camille Aubaude

 

 

 

 

© Crédit photo : Première de couverture de l'œuvre de Florence Delay, Il n’y a pas de cheval sur le chemin de Damas, éd. du Seuil, 2022. 

 

 

 

 

Présenté tel un « livre aux sentiers qui bifurquent », cet essai de Florence Delay peut aussi s’offrir tel un bestiaire. Plus qu’un bestiaire traditionnel, il donne l’essence de la poésie par sa manière vraiment merveilleuse d’aimer les animaux et de les reconnaître comme initiant le monde ouranien sous des formes dissemblables.

 

 

Tout part d’un imaginaire, et, pour l’écrire cuistrement, de la quête odologique des Évangiles. Les références à la Légende dorée foisonnent. Une famille d’esprit se forge, tel un cheval de bataille, contre l’oppression, qui n’a jamais été aussi généralisée qu’à présent. Il est important que des liens littéraires soient à l’œuvre : Jean Giraudoux, Paul Claudel, Michel Serres, Jacques Roubaud, François Weyergans, et artistiques, Pierre Heny, Maurice Béjart, Pierre Boulez, pour n’en citer que quelques-uns, que cet essai — au sens littéral du terme — remet dans les beaux écrins évangéliques. La Romancière très particulière qui a su « dire » Gérard de Nerval, invite aimablement à revoir la peinture chrétienne, avec une virtuosité narrative aussi rassurante « qu’un sourire venu des profondeurs de l’âme la plus limpide », a observé Ketty Salem, ma traductrice chrétienne d’Alep.

 

 

La légèreté, les merveilleuses conjonctions apparaissant entre les arts montrent comment cultiver des jeux littéraires variés, à la manière de « Fantaisie », le poème de Nerval : « II est un air pour qui je donnerais Tout… ». Les liens tissés par une « phrase célibataire » (incipit, p. 9) sont apparemment simples. Ils mettent à l’œuvre les beautés de la langue française pour une lecture facile et un plaisir toujours renouvelé :

 

 

 

« Découragée à l’idée d’escalader pareils massifs de la pensée chrétienne mais pressée par la curiosité, je cherche des explications à portée de main. 

 

Que l’aigle soit Jean est le plus évident : c’est l’oiseau qui vole le plus haut est son Évangile est le sommet de la doctrine (p. 59). »



 

 

***

 

Pour citer ce texte inédit

 

Camille Aubaude, « Florence Delay, Il n’y a pas de cheval sur le chemin de Damas, éd. du Seuil, La librairie du XXIè siècle, 2022 », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques ​​​: N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre », mis en ligne le 14 juillet 2022, Url :

http://www.pandesmuses.fr/no11/ca-florencedelay-essai

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Numéro 11 Nature en poésie Muses et féminins en poésie
12 juillet 2022 2 12 /07 /juillet /2022 14:37

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Dossier mineur | Florilège | Astres & animaux

 


 

 

 

​​​​​

 

 

 

La forêt du poème

 

​​

 

 

 

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

 

Photographie par

 

Claude Menninger

 

 

 

 

© Crédit photo : une magnifique image du photographe Claude Menninger, La Forge.

 ​​​​

 

 

C'est dans la forêt du poème que j'aime à me perdre. Dans les sentiers battus, je me retrouve parfois avant qu'une sorcière n'apparaisse au bout de ma stance.

J'écris sans savoir que peut-être les mots lèveront un poème de dessous les fagots.

 

Je ne poursuis aucun but sinon celui de suivre ce chemin que m'imposent mes pas. J'avance en moi-même au cœur d'un poème qui ne cesse de se défaire dans les méandres de ma pensée.

 

La forêt du poème a toujours gardé ce mystère qui cache l'ombre sous les fougères et m'invite à danser dans ses trouées de lumière.

Nue dans le poème, je déshabille les mots pour les revêtir de silence. Je tire sur la corde du ciel pour faire venir à moi la couverture bleue des songes sous laquelle je plonge.

 

Rien n'arrête ma course dans la forêt du poème où j'ai le soleil pour guide et ma rime pour boussole. Je suis l'hôte des bois, la reine couronnée de lierre,  la princesse au petit pois de senteur, la fée clochette des brins de muguet et à chaque branche de tous les arbres de la forêt, je suspends un accroche coeur qui m'enracine à la terre du poème.

 

Ma vie palpite comme un oiseau dans le creux de ma paume et je tiens le sablier du monde serré dans l'autre main. Quand je le retourne, il me reste toujours entre les doigts, un dernier grain de sable où je me reconnais dans le poème à naître.





 

Je cherche l'infini dans la moire végétale qui tisse la trame de mes vers, je m'insinue sous les mots pour ensemencer le verbe et je  me

tiens à l'écoute de cette forêt où je renais et meurs depuis des millénaires dans cette langue perdue où, toujours éperdue, je cherche l'ombre pour capter la lumière.

 

Je m'éclipse parfois derrière cette lune d'argent qui s'enfonce dans la diaprure de l'étang au milieu des crapauds coassant. Je mêle ma complainte à leur chant avant de fermer les paupières sur un jeté de lit couvert de nymphéas roses et blancs.

 

C'est dans la forêt du poème que je cours après moi-même, une fleur d'églantier dans les cheveux. C'est dans la forêt du poème que je goûte aux fraises sauvages et aux mûres qui me font les lèvres violines.

 

C'est dans la forêt du poème que je retrouve la liberté perdue des grands chemins d'errance, c'est dans cette forêt que j'écris avec ma mort en épitaphe et ma vie en porte-voix.

 

 

© Françoise Urban-Menninger, juillet 2022.

 

 

***

 

Pour citer ce témoignage inédit

 

​Françoise Urban-Menninger, « La forêt du poème », poème inédit illustré par une photographie inédite de Claude Menninger, Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre »,  mis en ligne le 12 juillet 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no11/fum-laforetdupoeme

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Numéro 11 Nature en poésie Muses et féminins en poésie
1 juillet 2022 5 01 /07 /juillet /2022 12:56

N°11 | Parfums, Poésie & Genre |  Dossier majeur | Florilège | Astres & animaux 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’eau de mon univers

 

 

 

 

 

 

Mariem Garaali Hadoussa

 

Artiste plasticienne & poète

Présidente de lassociation "Voix de femme nabeul"

 

 

 

 

Crédit photo : Edvard Munch, Woman in Blue against Blue Water, 1891, image Wikimedia, Commons, domaine public.

 

 

 

L’eau de mon univers

Parfums de nuits, parfums de jours,

Ils m’exaltent, m’emportent vers un univers

Sans nom, sans vie, où,

Toi ma vie tu le fais tien,

Toi mon âme, tu y habites,

Mon regard l’illumine.

Les fleurs de mon jardin embaument,

Les parois de mon univers sont en eau,

Une eau limpide comme mon âme,

Une eau transparente comme mon esprit.

 

 

 

Mon dieu ?

 C’est l’Eau de Mon univers,

Ô dame eau, je suis ivre de toi !

Ô dame eau désaltère-moi, Habille-moi de tes flots,

Drape-moi de tes vagues,

Enchante-moi de tes ruissellements,

Caresse-moi de ta tendre rosée du matin !

Je me noie dans ton lac de jouvence,

Ô mon eau adorée !

Je me noie dans tes bleus de bonheur,

Ô mon eau enchantée !

 

 

 

© Mariem Garali hadoussa, dans « Comme nos pluies seront parfumées »

 

 

***

 

Pour citer ce poème inédit d'amour de la nature & de ses parfums 

 

 

Mariem Garaali Hadoussa, « L’eau de mon univers », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre », mis en ligne le 1er juillet 2022, Url :

http://www.pandesmuses.fr/no11/mgh-eaudemonunivers

 

 

 

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