8 avril 2024 1 08 /04 /avril /2024 11:08

Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies » & « Elles » | Entretiens poétiques, artistiques, (éco)féministes | Voix/Voies de la sororité & ORIENTALES (O​​) | N° 3 | Entretiens

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Rencontre avec Angélique Leroy,

 

 

poète, alias « La Marianne Joconde »

 

 

 

 

 

 

 

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Présentation & propos recueillis par

 

Maggy de Coster

 

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

Entrevue avec

 

Portrait photographique fourni par

 

Angélique Leroy

 

 

 

 

 

Présentation de Angélique Leroy, poète, alias « La Marianne Joconde » :

 

© Crédit photo : Portrait photographique de la poète Angélique LEROY. Image fournie par l'interviewée.

 

 

 

Elle s’appelle Angélique Leroy. C’est un personnage atypique, attachant et avenant qu’on peut aimer pour son ouverture d’esprit et son humanisme. Poète, elle nous ouvre son cœur de femme aimante et nous laisse découvrir sa complicité avec Ali Belkahla, poète algérien et également sa chère moitié. Et c’est dans un élan de sororité que la Française s’engage aux côtés des femmes de la diversité pour donner du corps, de l’embonpoint à son combat pour le respect des droits des femmes et la valorisation de ces dernières.

 

 

Entrevue

 

 

Maggy De Coster : Angélique Leroy parlez-moi de votre parcours de femme dans la vie ? 

 

Angélique Leroy : Être une femme, c’est plus compliqué qu’on ne le ne pense. La construction de son identité permet, quand on fait un travail sur soi, de comprendre à quel point être une femme est tellement illusoire. Je n’ai pas toujours pu affirmer ma féminité pour être pleinement en harmonie avec mon élégance et ma courtoisie. Ni avoir la liberté de me sentir femme, dans un corps de femme. J’ai dû souvent mettre en avant mon côté masculin pour survivre. Aujourd’hui, si je suis devenue la Marianne Joconde, c’est un symbole fort pour affirmer que la féminité est quelque chose de sacré. J’ai intégré deux collectifs de femmes d’Afrique et d’Europe (Collectifs œstrogènes et sororité chérie) avec Carmen Fifamè Toudonou, autrice et éditrice béninoise, pour questionner le statut de la femme dans l’Art. Cela dit, mon recueil « la Marianne Joconde » paru chez BOD, en autoédition, contient des séquences sur mes différentes facettes de femme.

 

 

MDC : Selon vous quelle est la place de la poésie dans le monde d'aujourd'hui ?

 

A.L : La poésie est par définition multidimensionnelle, multiforme.  Elle représente l’essence de l’auteur, ses particularités de partager son univers en tant que constellation. Ce qui signifie qu’un poète par définition ne peut pas se sentir plus légitime qu’un autre puisque chacun de nous peut se manifester en tant que tel. Donc il y a autant de styles poétiques que de poètes.

Je souhaite qu’il y ait davantage de salons, d’évènements qui permettent la promotion de la poésie et surtout de la voir en évidence sur les présentoirs des librairies.

 

 

MDC : Quels sont vos modèles ? Vos sources d'inspiration en poésie ?

 

A.L : Michaël Jackson est un de mes modèles. J’ai trouvé mon pseudo La Marianne Joconde sans me rendre compte que les initiales étaient les mêmes que les siens : MJ. Le courant humaniste multimédia, multiculturel. Un poète qui danse, chante, rythme les rimes en Beat box cinématographique. (NDLR, l'art d'imiter des percussions et des bruits avec sa bouche).

Il y a également Victor Hugo avec un focus sur son roman de Le dernier jour d’un condamné. Mes valeurs et mes engagements se nourrissent de mon vécu et du croisement des arts. Ma poésie est un patchwork qui rassemble morceau par morceau ce qui a existé et existera. La plaidoirie poétique, c’est le rassemblement de la Marianne et de la Joconde, deux figures féminines mais à la fois androgyne symbolisant l’Humain en allégorie, en référence au poème de Baudelaire du même nom : Allégorie. La Marianne, femme engagée et la Joconde qui rayonne par son sourire à travers l’Art. C’est une invitation à considérer qu’une œuvre s’accompagne d’une personnalité et d’un vécu pour être comprise dans son entièreté.

 

MDC : Quel genre de satisfaction l'écriture vous apporte-t-il ?

A.L : L’écriture m’a portée vers les voies des arts thérapeutiques. Écrire à moi-même, m’entendre dire tout ce qui a été dissimulé, cela  m’a permis de révéler  ce que je ne pouvais guère soupçonner. C’est une renaissance, c’est l’émergence d’un nouveau moi, c’est être présente ici et maintenant. Vivre la vie à 100 à l’heure ; mon cœur bat la chamade en cascade.

 

 

MDC : Quels sont vos projets à court ou à moyen terme ?

 

A.L : La sortie et la promotion de mon nouveau recueil « Confessions d’une femme esseulée » chez Nombre 7 avec Ali Belkahla, poète algérien pour permettre aussi d’évoquer de nombreux sujets de discussions comme les mariages mixtes, le droit de s’aimer sur n’importe quel sol, les discriminations de toute sorte. Poursuivre l’écriture de « Confessions sl’âmes » avec Ali sur nos deux passés en résilience et comment la voie de l’art-thérapie nous guide. Ma présence à la troisième édition de « la Tour Poétique », un Festival de poésie organisé, par l’Association Apulivre au mois de juin 2024.  Participer autant que possible à des salons, des rencontres et me produire sur scène. J’attends aussi que les occasions se présentent.

 

© Maggy De Coster

 

 

 

__________

 

 

Pour citer cet entretien illustré & inédit

 

Maggy De Coster (présentation & entretien), « Rencontre avec Angélique Leroy, poète, alias "La Marianne Joconde" », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies », « Elles » & Revue Orientales, « Conteuses orientales & orientalistes », n°3, volume 1, mis en ligne le 8 avril 2024. URL  :

http://www.pandesmuses.fr/orientalesno3/megalesia24/mdc-angeliqueleroy

 

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7 avril 2024 7 07 /04 /avril /2024 17:38

Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies » & « Elles » | II. « Elles » | Florilège | Poésie & littérature pour la jeunesse 

 

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Voyage de ma mère à Nazca

 

 

par Santiago RISSO

 

 

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Poème choisi & traduit par

Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

Crédit photo :  Femme & mère péruvienne portant son enfant sur le dos, capture d'écran de la photographie libre de droits du site Commons.

 


 

Le vent de la paraca1

survole les lignes de tes mains.

Mère chérie,

aujourd’hui tu voyages sans moi,

avec ton ventre vide 

avec ta peau nue

de mes cheveux.


 

Cette nuit du 8 septembre 1967

quand ton corps tremblait 

à l’unique tressaillement de tes entrailles.

Tu as tout donné pour moi, Elena,

sur un cheval de Troie,

où les habitants rêveurs 

voulaient contempler ta bataille.


 

Et ce fut le premier cri rouge.

Les yeux encore fermés

je te voyais déjà maman chérie.

Malgré ta douleur. Avec tout ton amour 

nous avons gagné la bataille.

Et une vie nous attend

ou peut-être plus chère maman.


 

Et le vent parcourait ta peau 

ainsi que la mienne, velues, avec des cicatrices, des verrues,

des tâches de rousseur, des tâches et des odeurs.

Et donc maman, je t’ai trouvée

au loin très proche,

lumineusement belle,

tu poses toujours ton regard sur moi maman, 

tu me parles sans cesse

dans le silence, avec un immense bruit

si attachant.


 

Ton fils est là,

aujourd’hui,

et je ne t’abandonnerai jamais.

Nous serons tous les deux comme frère et sœur.

Nos lignes

sur le même chemin,

avec le même passage,

avec le même destin.

Avec la seule éternité.


 

Tu voyages aujourd’hui

tu survoles les champs de Nazca,

tu planes sur la vaste étendue de poussière du désert

les bras libres,

les muscles souples

jeunes, comme cette fois

où nous nous sommes connus

dans la douleur et les pleurs. 

 

 

Et moi maman

le corps emmitouflé

dans différentes couches 

qui ne me permettent pas de voler, 

je t’observe de loin,

je te regarde décoller.

Merveilleuse maman !

Comme je suis heureux sur terre

de te voir voler comme l’oiseau

dont tu as toujours imité les trilles 

je t’abrite 

dans mon cœur.


 

17 Janvier 2023.

 

 

© « Voyage de ma mère à Nazca » par Santiago RISSO*, traduit de l’espagnol par Maggy DE COSTER et publié ici avec l'aimable autorisation du poète et de sa traductrice.

 

*Poète péruvien contemporain.

 

Note

1. Paraca signifie vent du Pérou.

 

 

***

 

 

Pour citer ce poème traduit & inédit célébrant l'amour maternel

 

Maggy De Coster (poème choisi & traduit en français par), «  "Voyage de ma mère à Nazca" par Santiago RISSO », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies », « Elles », mis en ligne le 7 avril 2024. URL  :

http://www.pandesmuses.fr/megalesia24/mdc-voyagedemamere

 

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2 avril 2024 2 02 /04 /avril /2024 16:21

Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies » & « Elles » | Critiques & réception / Chroniques cinématographique de Camillæ | Voix/voies de la sororité

 

 

 

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Smoke Sauna Sisterhood par Anna Hints,

 

2023, « Documentaire », 1h 29m

 

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Camillæ (Camille Aubaude)

Sites officiels : http://www.camilleaubaude.com/

​​​​​​ www.lamaisondespages.com/

https://litterature-lieux.com/fr/guide/lieu/428-la-maison-des-pages-de-camille-aubaude

 

Blogue officiel :https://camilleaubaude.wordpress.com/ ​​​​​​

 

 

Smoke Sauna Sisterhood, par Anna Hints, 2023 ‧ Documentaire ‧ 1h 29m

Il faut entrer dans ce sauna de fumée de la sororité. Au-delà d’un documentaire, ce film reconstruit les témoignages de la condition des femmes selon « cette fabrication texte, temple, rite », comme a écrit Claude Rétat pour le recueil Ivresses d’Égypte de Camille Aubaude, qui s’avère passionnante.

Le Texte monte crescendo pour énoncer des aveux qu’une femme ne peut faire au cours d’un interrogatoire de police. Le tour de force est d’avoir placé des actrices telles de simples femmes d’un sauna de fumée pour tout dire du sabotage, voire du massacre, de la spécificité sexuelle des femmes. Il serait bien de lire ce qu’elles disent, après avoir entendu l’interprétation de ces témoignages.

Le Temple est un chalet en rondins, un four, une forge, une matrice inaliénable que décorent de fines branches d’arbres chargées de neige. Cette maison de bois assure la stabilité et l’équilibre dans l’alternance des saisons. Une femme creuse un trou dans la glace. Elles vont y plonger nues.

Et le Rite : à l’opposé des non-spectacles chinois et des codes de narration américains, la fumée, telle les nuages, les rêves, les mirages, la pierre chaude, le sol corrosif, la chasteté qui libère la parole, des confessions dans une église primitive qui relie la maison à la naissance. La face magique du champ de bataille. La grand-mère trône comme le moi féminin gelé dans la glace immémoriale.

« Cette fabrication texte, temple, rite »  promeut la puissance tutélaire de la femme. Cette somme incomparable sur la vie des femmes dans le patriarcat est dénuée d’orgueil, de narcissisme, de décoration et de gloire. Elle pourrait s’appeler Totalité du féminisme, ce qui dirait le contenu… Les récits pourtant connus sur les façons d’arnaquer les femmes éclosent andante et s’entrelacent les branches noires et blanches qui zèbrent le ciel. Quand la neige est remplacée par l’herbe puissante et le délicat feuillage des arbres, nul besoin de parler d’écologie… L’art de la filmeuse associe monstration et démonstration. Il rend ce « reverdi » plus magique que tous les tours de lanternes magiques. Et le rythme vital de l’hymne final porte le sentiment d’éternité. 

 

 

© Camillæ (Camille Aubaude), mars 2024.

 

AVIS DE LA REVUE LE PAN POÉTIQUE DES MUSES :

 

 

Smoke sauna sisterhood

À ne pas manquer !

 

 

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Pour citer ce texte inédit

 

Camillæ (Camille Aubaude), « Smoke Sauna Sisterhood par Anna Hints, 2023, « Documentaire », 1h 29m », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies », « Elles », mis en ligne le 2 avril 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/megalesia24/camillae-smokesaunasisterhood

 

 

 

 

 

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1 avril 2024 1 01 /04 /avril /2024 17:00

Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies » & « Elles » | II. « Elles » | Florilège | S’indigner, soutenir, lettres ouvertes & hommages

 

 

 

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Fleurs célestes

 

 

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Poème & illustration de

 

Mariem Garaali Hadoussa

 

Artiste plasticienne & poète

Présidente de lassociation « Voix de femme nabeul »

 

 



 

 

© Crédit photo : Mariem Garaali Hadoussa, « Elles, en fleurs », peinture de l'artiste plasticienne spécialement conçue pour l'édition 2024 du Festival Megalesia.

 

 

 

Elles ?

Elles sont des fleurs célestes 

Des étoiles tissant une toile infinie

De tendresse et d'amour

 

 

Elles règnent sur leur trône

En déesses 

En impératrices érigeant leurs sceptres

Comme un flambeau de vie

Un étendard de liberté 

Rendant hommage 

À leurs ancêtres 

Brûlées vives sur les bûchers 

De l'ignorance et de l'obscurantisme

 

 

 

Elles, habitées par

Cette rage humaine

Toujours en quête de preuves

Intelligentes et travailleuses

Volontaires et courageuses

 

 

Elles n'ont rien à prouver au monde

Car elles ont franchi le Rubicon

La grâce et la sagesse guidant leurs pas

 

 

Elles, 

Des fleurs célestes

Brillant de toute leur beauté 

 

 

© Mariem Garaali, le 30 mars 2024.

 

 

***

 

 

Pour citer ces poème & peinture féministes, inédits célébrant les femmes

 

Mariem Garaali Hadoussa (poème & illustration), « Fleurs célestes », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies », « Elles », mis en ligne le 1er avril 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/megalesia24/mgh-fleurscelestes

 

 

 

 

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