19 février 2023 7 19 /02 /février /2023 11:17

N°13 | (Auto)Portraits poétiques & artistiques des créatrices | Revue Matrimoine | Revue culturelle d'Europe

 

 

 

 

 

 

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​​​​​​Les femmes de l'ombre à la lumière

 

 

 

 

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Article de

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

 

Photographie du tableau de

Hélène de Beauvoir prise en photo par

 

 

Claude Menninger

 

 

 

 

 

 

© Crédit photo : Hélène de Beauvoir, "Femmes au Maroc" (femmes au Maroc) par prise en photo par Claude Menninger lors de l'exposition au musée Würth à Erstein. Image fournie par l'autrice.

 

 

 

L'Histoire témoigne de ce que derrière chaque homme célèbre se cache l'intelligence méconnue d'une femme, épouse, fille, collaboratrice... Jules Renard n'affirmait pas autre chose quand il écrivait « Dans l'ombre d'un homme glorieux, il y a toujours une femme qui souffre ».


 

L'anthropologue Wiktor Stoczkowski, chercheur au Collège de France, révèle que l'historien Léopold Delisle, administrateur de la Bibliothèque nationale de 1874 à 1905, doit en grande partie sa réussite à son épouse Laure Delisle qui fut son assistante et sa collaboratrice. Il cite de nombreux couples qui ont « fonctionné » selon ce schéma comme les Lavoisier ou encore les Durkheim.

Il est en effet établi de nos jours que Louise, l'épouse du sociologue Emile Durkheim, relisait et corrigeait ses manuscrits.

 

Il en fut de même avec Emma, l'épouse de Charles Darwin qui a corrigé « L'origine des espèces ». Quant à leur fille Henrietta, elle a également contribué à faire connaître les travaux de son père. N'oublions pas Jenny von Westphalen, aristocrate, sociologue qui fut l'épouse de Karl Marx et qui, pour le suivre, a accepté le déclassement, la misère, les expulsions successives et même les humiliations ! Pourtant Victor Fay dans un numéro spécial de « L'Homme et la société » dédié au 150 e anniversaire de la mort de Marx, expliquait que Jenny Marx fut la secrétaire, la copiste le bras droit de son époux ! Il rapporte une phrase prononcée par Engels : « Sans Jenny, le travail de Marx n'aurait jamais pu être ce qu'il était ». On ne peut être plus clair !

 

Et bien évidemment, si certains hommes ont officiellement témoigné leur reconnaissance à une figure féminine, d'autres les ont laissées à dessein dans l'ombre tandis qu'ils brillaient sous les feux de la rampe.

Janet Browne dit de ces femmes oubliées qu'elles sont « des fantômes patients derrière la quête infinie de la perfection ».







 

Mais aujourd'hui bon nombre de femmes voient leurs talents enfin mis en lumière !

 

 

 

© Crédit photo : Alma Mahler en 1899, portrait photographique capturé de Wikipédia par l'autrice.

 

 

 

On songe d'emblée à Alma Mahler née Schindler qui fut tour à tour l'épouse de Gustave Mahler, de Walter Gropius puis de Franz Werfel après avoir été la compagne d'Oskar Kokoschta. Appelée « la Veuve des quatre arts » car elle avait connu l'amour avec un musicien (Mahler), un architecte (Gropius), un peintre (Kokoschta) qui avait réalisé plus de 400 portraits de celle qui fut sa muse, un écrivain (Werfel), cette femme magnifique cumulait tous les talents.

En épousant Gustav Mahler qui avait 19 ans de plus qu'elle, Alma avait renoncé à la musique alors qu'elle avait commencé très jeune à composer des Lieder. À ce jour, on en connaît 14 ou 16, or une centaine sont encore inédits !


 

D'autres femmes ont pu accéder à la littérature en s'affranchissant de la tutelle masculine. Ce fut le cas de Colette qui servit de « porte-plume », selon l'expression de d'Eliane Viennot, jusqu'en 1923 à son mari surnommé «  Willy ». Et que penser de Catherine Pozzi trahie par son amant Paul Valéry qui puisa une part de son inspiration dans un écrit de sa maîtresse  qui porte le titre éminemment poétique de « Peau d'âme » ?

 

Aujourd'hui les femmes tentent de mettre ou de remettre en lumière, celles qui sont restées trop longtemps dans l'ombre et, qui pourtant, ont contribué à la mise en avant d'un homme entré dans l'Histoire.

 

 

 

 

 

© Crédit photo : Suzanne Césaire, portrait photographique capturé de Wikipédia par l'autrice.

 

 

 

Suzanne Césaire en est un exemple, l'épouse et muse du grand poète Aimé Césaire, fut une autrice à part entière que l'on fête aujourd'hui dans les Antilles où elle est devenue l'initiatrice d'une importante lignée d'autrices féminines.

 

Belle de corps et d'esprit, Suzanne Césaire a animé avec son époux la fameuse revue « Tropiques » de 1941 à 1945. Dans « Le grand camouflage », édité par Daniel Maximin et qui donna lieu au spectacle « Fontaine solaire », on redécouvre la pensée de Suzanne Césaire en lien avec les théories du philosophe Leo Froebius qui affirmait que « l'homme est l'instrument de la civilisation », elle y renoue avec le beau mythe de « L'Homme-plante » et nous donne à lire des textes d'une étonnante modernité témoignant d'un esprit libre et d'avant-garde.

Que penser également du destin de Louise Colet dont on redécouvre les poèmes exceptionnels jugés naïfs par Flaubert et les flaubertistes ?

 

GeorgeSand.PNG

 

 

 

© Crédit photo : Auguste Charpentier, "George Sand", 1838, peinture capturée de Wikipédia par l'autrice.

 

 

L'on comprend dès lors qu'il n'était pas aisé pour une femme de signer ses écrits en tant que telle. L'on songe à Amantine, Aurore, lucile Dupin qui rédigea son premier livre avec Jules Sandeau intitulé « Rose et Blanche » qu'ils signèrent du nom de Jules Sand. Le succès étant au rendez-vous, Aurore Dupin choisit un nom de plume masculin à l'instar de la tenue vestimentaire qu'elle avait adoptée pour être plus à l'aise lorsqu'elle allait à la chasse. George Sand était née !

Sa démarche novatrice fut suivie par d'autres femmes qui se l'approprièrent comme Marie d'Agoult qui prit le pseudonyme de Daniel Stern ou encore Delphine de Girardin qui écrivit sous le nom de Charles Launay.

 

Mais le domaine des arts et de la littérature n'a pas le monopole des figures féminines enfouies dans les oubliettes de l'Histoire.

Une importante exposition itinérante initiée par le Mémorial de la Ville de Nantes, dédié aux traites négrière, à l'esclavage et à son abolition,  a remis dernièrement à l'honneur des femmes oubliées, méconnues, voire inconnues qui ont contribué à faire abolir l'esclavage. 

On y redécouvre la figure de Sanité Belair d'origine haïtienne qui combattit avec courage sous l'uniforme aux côtés de l'officier Toussaint Louverture lors de la Révolution haïtienne, elle fut arrêtée avec ce dernier mais ne pouvait être passée par les armes en tant que femme... 

Cependant, le bourreau ne réussissant pas à la décapiter, elle fut fusillée tout comme Toussaint Louverture et accéda ainsi, bien malgré elle, à ce que l'on appelle la parité !

Une autre icône de la cause noire, Héva, une esclave maronne a inspiré par son courage de nombreuses oeuvres littéraires. Claire en Guyane française, suppliciée puis pendue devant ses enfants, Dandara au Brésil qui se jeta dans le vide pour échapper à sa condition, la mulâtresse Solitude, torturée et mise à mort le lendemain de son accouchement, sont autant de femmes exceptionnelles.

 

Cudjoe Queen Nanny est vénérée en Jamaïque pour avoir aidé les esclaves à se libérer avec la technique des guérilleros. La dévotion est telle à son égard que son portrait figure sur un billet de banque !

 

L'abolitionniste américaine Sojourner Truth gagna le premier procès intenté par une femme noire pour récupérer son fils ! Elle montait dans les tramways interdits aux noirs bien avant Rosa Parks et prononça un discours emblématique  en 1851 intitulé « Ne suis-je pas une femme ? » à la National Women's Right's Convention.

 

 

Anne Zinga, la superbe reine au caractère bien trempé du Ndogo et du Matamba de 1582 à 1664, l'actuel Angola, disposait d'un pouvoir absolu. Elle tint tête aux Portugais et agit en fine stratège, elle refusa de leur livrer les 13000 esclaves qu'ils réclamaient et évita ainsi la colonisation de son pays.

 

 

On connaît également le rôle d'avant-gardiste d'Olympe de Gouges, membre de la société des Amis des Noirs, dans son combat pour l'abolition de l'esclavage. Auteure de la Déclaration des Droits des Femmes, elle dénonça l'esclavage dans une pièce intitulée « Zamore et Mirza » qui lui valut l'opprobre de certains politiques, voire des menaces de mort…

 

N'oublions pas le destin exceptionnel d'Harriet Tubman que le président Barack Obama souhaitait honorer en créant un billet de banque à son effigie. Mais arrivé au pouvoir, Donald Trump en décida autrement, considérant cette proposition « politiquement non correcte » ! Or, celle que l'on appelle encore aujourd'hui « La Moïse Noire », aida plus de 70 esclaves à s'évader. Elle-même avait réussi à s'échapper lors de la guerre de Sécession pour se retrouver en Pennsylvanie où elle fut soutenue en 1840 dans son action par un réseau de sympathisants de la cause Noire « L'Underground Railroad ».

 

Cette exposition itinérante en France a apporté sans nul doute un éclairage essentiel sur l'esclavage et mis en avant des femmes discriminées parce qu'elles étaient femmes, esclaves et noires et qui ont payé un lourd tribut pour défendre leur liberté et leurs idées.

 

L'une des figures britanniques emblématiques fut sans conteste Emeline Pankhurst qui fut indéniablement la pionnière pour la lutte des droits des femmes en créant le Woman's Social Political Union (WSPU). Son combat acharné avec les suffragettes permit aux femmes d'acquérir le droit de vote en 1948.



 

Mais si de nombreuses femmes manquent encore d'éclairage et restent dans l'ombre d'un homme célèbre, il en existe quelques unes qui ont vécu ou souffert dans l'ombre d'une autre femme !

 

S'il faut en fournir un exemple, l'on peut citer derechef la compagne de Marguerite Yourcenar, Grâce Frick qui fut à la fois chercheuse, traductrice et compagne de la première femme à entrer à l'Académie française.

Dans le livre de Bruno Blancheman « Grâce une seconde » on découvre la traductrice des « Mémoires d'Hadrien » avec laquelle Marguerite Yourcenar  partit vivre aux Etats-Unis en 1934. Cette relation fusionnelle est explorée aussi bien sur le plan littéraire que relationnel et permet de comprendre le rôle essentiel de Grâce Frick dans l'oeuvre de Marguerite Yourcenar.

 

Bien d'autres femmes ont pris toute la lumière aux dépens d'une compagne, d'une sœur...Il en est peut-être ainsi de Simone de Beauvoir dont il est inutile de répéter ici, en quoi elle a changé le destin des femmes de par le monde.

Son injonction, « On ne naît pas femme, on le devient », résonne dans tous les esprits, revient dans tous les combats.

 

Mais qui s'intéresse à l'oeuvre d'Hélène de Beauvoir, sa soeur peintre, qui lorsque je l'ai rencontrée à la fin des années 90 à Goxwiller en Alsace, se disait oubliée des siens, de Paris, de l'art officiel ?

Hélène de Beauvoir souffrait visiblement du manque de reconnaissance de sa propre sœur qui jugeait « mauvaise sa peinture » et ne supportait plus d'être la sœur de...Fort heureusement, ses œuvres ont été présentées dans une grande exposition rétrospective au musée Würth situé à Erstein en Alsace.

Hélène de Beauvoir a enfin retrouvé sa place de combattante et de militante pour les droits des femmes car c'est elle, m'a-t-elle confié, qui a influencé Simone de Beauvoir en ce qui concerne les problématiques de la condition féminine.

Malheureusement lors de son vivant, Hélène est restée l'éternelle « Poupette » croisée dans les « Mémoires d'une jeune fille rangée » rédigées par sa soeur et n'a pas acquis la notoriété de cette dernière… Mais l'Histoire change parfois de cours et apporte au fil du temps un nouvel éclairage et une autre lecture !


 

Autant dire que les femmes de l'ombre ont un bel avenir devant elles car un grand mouvement pour leur reconnaissance est actuellement en marche. Des publications, des expositions, des revues, des colloques ou des sites comme celui du Pan Poétique des Muses, ont pour vocation de leur redonner la parole et de leur offrir cette lumière qui relève de notre devoir de mémoire.

 

 

© Françoise Urban-Menninger

 

 

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Pour citer ces texte & image inédits ​​​​​​

 

Françoise Urban-Menninger, « Les femmes de l'ombre à la lumière » avec une photographie du tableau de l'artiste Hélène de Beauvoir prise par Claude MenningerLe Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°13 | PRINTEMPS 2023 « (Auto)Portraits poétiques & artistiques des créatrices », mis en ligne le 19 février 2023. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no13/fum-femmesdelombre

 

 

 

Mise en page par Aude

 

 

 

 

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Retour au sommaire du N°13

31 décembre 2022 6 31 /12 /décembre /2022 15:36

Événements poétiques | Calendrier du matrimoine poétique 2022 ​​​​​​​​​​​

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Calendrier du matrimoine poétique 2022

 

 

 

 

Crédit photo :  Klimt, Poésie. 

 

 

Présentation

 

LE PAN POÉTIQUE DES MUSES remercie sa fondatrice d'avoir initié le projet du calendrier féministe du matrimoine poétique et toutes les personnes qui participent à sa réalisation.

 

Ce calendrier poéféministe du matrimoine vous propose à (re)lire une sélection de documents inédits ou choisis de nos anciennes parutions sur la contribution des femmes à la poésie et à la poétique. Ces documents sont dévoilés quotidiennement en libre accès du 1er au 31 décembre afin de fêter ensemble et féministement cette fin d'année 2022 .

 

Pour ce faire, on met en ligne chaque jour des textes et/ou images de, ou sur des, femmes (poètes/poétesses/poêtisses, éditrices, poéticiennes, journalistes, historiennes, érudites, illustratrices, traductrices... réelles ou fictives/imaginaires) qui ont contribué significativement au matrimoine poétique, voir aussi :

« Appel pour le calendrier du matrimoine poétique du 1er au 31 décembre 2022 »

 

 

Auteures/autrices/auteurs : œuvre collective

Illustrations par : œuvre collective

Avec le soutien de l'association SIÉFÉGP

Réalisation de la version en libre accès :

Aude SIMON & David SIMON

Projet conçu : Dina SAHYOUNI

Parution du calendrier en ligne durant décembre 2022.

 

 

Belles fêtes  de fin d'année 2022 !

 

Crédit photo : Image pour Noël via depositphotos.

 

 

DÉCEMBRE 2022

 

 

 

JEUDI : 1er

 

[À (re)lire]

 

Barbara Polla, « La poésie : une arme sans blessure, une arme du combat féministe », texte reproduit de l'essai Le Nouveau Féminisme. Combats et rêves de l’ère post-Weinstein, Odile Jacob, 2019 ​​​

 

[Inédit]

Françoise Urban-Menninger, « La poésie, l’arme des féministes russes ! »

 

VENDREDI : 2 

[À (re)lire]

Renée Vivien, « Biographie de Psappha », texte dans SAPPHO (612?-557? av. J.-C.), Sappho. Traduction nouvelle avec le texte grec [par] Renée VIVIEN, (1903)

Marguerite Milon« Le vote des femmes », extrait de MILON, Marguerite (1???-????), Poèmes : Tome I, (1932), a été choisi, transcrit, annoté & commenté brièvement par Dina Sahyouni

 

SAMEDI : 3

[À (re)lire]

 

Alice Diaz (texte et illustration), « Celle qui avait du cran »

SIÉFÉGP, « Colloque international en hommage à la poétesse anglaise, Kathleen Raine », source de l'information : l'universitaire Jessica Stephens

 

DIMANCHE : 4

 

[Inédits]

Arwa Ben Dhia, « Il a fallu gérer la peur avec « Andrà tutto bene… » de Hanen Marouani » 

@JVaudere, « Jane de La Vaudère » cette page inédite est en cours de réédition suite à un problème technique... voir ci-dessous

 

[À (re)lire]

Anne Dacier, « Préface du livre Les poésies d'Anacréon et de Sappho. Traduites de grec en français avec des remarques par Mme Dacier. Nouvelle édition augmentée des notes latines de Mr. Le Fèvre »

 

LUNDI : 5

[À (re)lire]

Camille Aubaude, « Chronique d’Edmond au Théâtre du Palais Royal »

Fanny de Rocquigny, « Retrouver Rosemonde Gérard »

 

 

MARDI : 6

[À (re)lire]

 

Camille Aubaude, « La poétesse... »

Mona Azzam, « Nadia Tuéni : une figure inclassable »
 

 

MERCREDI : 7

[À (re)lire]

Roxane Darlot-Harel, « La Mouille scandaleuse » ensemble inédit de trois poèmes érotiques d'amour lesbien.

Renée Vivien, « Désir » & « Sonnet féminin » poèmes extraits de Cendres et Poussières (1902) choisis, transcrits, remaniés, présentés brièvement & annotés par Dina Sahyouni

 

Calepin des personnes d'exception

 

JEUDI : 8

[À (re)lire]

 

Mme de Lauvergne, « Portrait d'Iris par elle-même »

 

Dina Sahyouni, « Des femmes phénix sont nées »

​Françoise Urban-Menninger, «​ le corps des femmes »

 

VENDREDI : 9

[Inédit]

 

Mariem Garaali Hadoussa, « Moi et mes zones d'ombre »

[À (re)lire]

Dina Sahyouni, « La poésie féministe n'est pas ce que vous pensez » (première partie)

 

SAMEDI : 10

[À (re)lire]

Maggy de Coster, « Portrait croisé. George Sand et Louise Michel : deux avant-gardistes féministes du monde littéraire français »

Dina Sahyouni, « Qu'est-ce que le verset féministe » (première partie)​​​

 

DIMANCHE : 11

[À (re)lire]

 

Elisabetta Simonetta, « Isabella Morra : "mythologie d’une solitude" »

Mario Portillo, « Piedad Bonnett » & « Gladys Carmagnola »

 

 

 

LUNDI : 12

[À (re)lire]

 

Mario Portillo, « Rosabetty Muñoz », « Blanca Wiethucther »

Stefania Pisano, Maaria Teresa Rastiello & Silvia Cocco, « La poésie et la prose de Maggy De Coster étudiées à l’Université italienne à travers le prisme de l’autotraduction et de l’intuitisme », trois volets inédits

 

 

MARDI : 13

[À (re)lire]

 

Mario Portillo, « Carlota Caufield », « Diana Bellessi », « Ana María IZA (Équateur) » & « Cristina Peri Rossi »

 

 

MERCREDI : 14

[À (re)lire]

 

Aurélie-Ondine Menninger, « Les Sonnets du jardin de Silvina Ocampo, ou le parfum doux amer du souvenir de la mère »

 

Dina Sahyouni, « Bleue comme la mer, comme l'encre suave... À propos du recueil Lettres à Bleue d'Aurélie-Ondine Menninger »

 

JEUDI : 15

 

[À (re)lire]

 

Marine Deffrennes, « La femme est-elle l’avenir de la poésie ? »

Ouattara Gouhe, « Poésie féminine et modernité : la crise du vers chez Louise Labé »

 

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VENDREDI : 16

 

[À (re)lire]

 

Ouattara Gouhé (texte et illustration), « Louise Labé, ses Sonnets et le « pleurer-rire »poétique : fonctionnalisme et symbolique oppositionnels des quinquets2 » 

[Inédit]

@JVaudere, « Découvrir Jane de La Vaudère » 

 

 

SAMEDI : 17

[À (re)lire]

Sylvie Fabre G., « Réponse à la conversation entre Patricia Godi & Camille Aubaude (texte publié dans la Lettre n°2) »

Catherine Dubuis, « Pierrette Micheloud : la femme est l'avenir de l'humanité »

 

DIMANCHE : 18

 

[Inédit]

 

Françoise Urban-Menninger, « Petit éclairage de l’œuvre de Maximine »

 

[À (re)lire]

 

Annpôl Kassis, « Une découverte : Ondine Valmore, symboliste avant la lettre » 

Ondine Valmore, Maggy De Coster« Adieu à l'enfance / Adiós a la niñez »

 

 

LUNDI : 19

[À (re)lire]

Maggy de Coster, « Marceline Desbordes-Valmore témoin de son temps », « Prosopopée. Les Confidences de Marceline Desbordes-Valmore »

Annpôl KASSIS, « Les poèmes de Marceline Desbordes-Valmore chantés, parlés, accompagnés »


 

 

MARDI : 20

 

[À (re)lire]

Angèle Bassolé-Ouédraogo,  « Elles font danser les mots ! Poétique de la danse, danse de la poésie »
 

Jo Laporte, « Quand les femmes revisitent le mythe d'Adam et Ève. Textes sélectionnés & présentés par Jo Laporte »

 

 

MERCREDI : 21

 

[À (re)lire]

Angèle Bassolé-Ouédraogo, « Les Porteuses exilées »

Patricia Izquierdo, « Femmes poètes de la Belle Époque et formes musicales »

 

 

JEUDI : 22

 

[À (re)lire]

Roger Little, « La poésie-performance de Hanétha Vété-Congolo » 

Emmanuel Toh Bi, « Le conte interoral caribéen : une visée humanisante »

 

 

 

VENDREDI : 23

 

[(À) relire]

 

Ingrid Junillon (trad.), « Dagny Juel : textes choisis » & « Dagny Juel »

Florence Trocmé, « Geneviève Pastre »

 

 

SAMEDI : 24

 

[À (re)lire]

 

Claire Laguian, « Introduction à l’œuvre de maría castrejón : du con au féminisme genderqueer » & « Sélection de poèmes de je rentrerai beaucoup plus tard que minuit de maría castrejón »

 

[Inédits]

Claire Tastet, « Brève présentation de Conceição Evaristo » & « Judith Gautier »

 

 

DIMANCHE : 25

 

[À (re)lire]

 

Maram Al-Masri, « Bénis soient ceux... », « Qui va dire aux arbres... », « L’acte d’écrire »« Neuf mois » & « De ma fenêtre je vois des maisons » 

[Inédits]

Françoise Urban-Menninger, « j’ai une voix en moi » 

Dina Sahyouni, « Quelques lignes sur les notions de « Matripoétique » & « Patripoétique » de mon dictionnaire en construction »

 

 

LUNDI : 26

 

[À (re)lire]

 

Catherine Dubuis, « Les "Orientales" de Marguerite »

Laure Delaunay, « Alda Merini, hommage à une poète récemment disparue »

Hanen Marouani, « Discussion avec Imèn Moussa » 

 

MARDI : 27

 

[À (re)lire]

 

Maggy de Coster, « Entrevista con Celia Vázquez » & « Interview avec Celia Vázquez » 

Caroline-Eugénie Puissan, « Boutade »  & « Pastel (Boutade) » 

Chantal Robillard (poèmes & photographies), «Tombeau pour une troubaderesse »

 

MERCREDI : 28

 

[À (re)lire]

Lidia Chiarelli, « La poésie ekphrastique d'hier et d'aujourd'hui » 

Hanen Marouani, « Portrait & entretien de Myriam Soufy : Belle et Re...Belle » 

Chantal Robillard, « Na ! » & « Na Castelloza, dame du castel d'Oze »

 

JEUDI : 29

[À (re)lire]

Nour Cadour, « Extraits poétiques de mes trois recueils »

Emilie Cauvin, « La disconvenance dans La Princesse Printanière de Madame d’Aulnoy »

Hanen Marouani, « Discussion avec Imèn Moussa »

 

 

VENDREDI : 30

 

[À (re)lire]

 

Corinne Delarmor, « Pied de lys »

Michel Orban, « À Andrée Chedid »

Hanen Marouani, « Zoom sur le parcours de Cécile Oumhani » 

 

[Inédits]

Mona Azzam, « Quatuor » & «  Afrique » 

Dina Sahyouni, « Hommage à Fatma Ben Fdhila »

 

 

 

SAMEDI : 31

 

[À (re)lire]

 

Huguette Bertrand, «  L’ancêtre »

Nicole Coppey, « Danseuse amoureuse » Voir aussi le « Portrait photographique de Nicole Coppey » 

Amal Latrech, « Interview avec la poétesse Hanen Marouani » 

Mlle Poulain de Nogent, « Au sexe masculin » 

 

[Inédits]

Dina Sahyouni, « Lya Berger : une historienne des « femmes poètes » de trois pays européens »

Françoise Urban-Menninger, « Femmes poètes de l'ombre »
 

 

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Pour citer ce calendrier poéféministe

 

LE PAN POÉTIQUE DES MUSES, « Calendrier du matrimoine poétique 2022 »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poéféministes 2022 | « Calendrier du matrimoine poétique 2022 », mis en ligne le 1er décembre  2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/matrimoinepoetique22

 

 

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Le Pan Poétique des Muses (LPpdm)

 

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 diffusée en version électronique (apériodique) & en version imprimée suspendue suite à un cas de force majeure de 2018 à 2020, reprise de l'édition imprimée dès 2021.

 

 

ISSN numérique : 2116-1046

 

(4 numéros par an dont un Hors-série & un Numéro spécial)

La reprise de la parution imprimée se fera en 2021 

 

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Présentation créée le 1er décembre 2022 par Aude​​​​​​

Dernière mise à jour : le 31 décembre 2022

 

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30 décembre 2022 5 30 /12 /décembre /2022 18:43

Calendrier du matrimoine poétique 2022 & N°12 | Poémusique des femmes & genre | Dossier majeur | Florilège 

 

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​​​​​Quatuor & Afrique

 

 

 

 

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Mona Azzam

 

 

 

Crédit photo : John Singer Sargent, "Lady Speyer", domaine public, capture d'écran via Wikipédia.

 

 

Quatuor

 

 

 

Danse aux accords entravés.

Symphonie grinçante des nuits

Froides et blêmes, je m'évanouis

Telle une oasis soudain occultée.


 

 

Octave monumentale, je serai

Le manchot malveillant

Qui lentement se refait.

 

 

Mandoline de mes rêves morts,

Joue pour moi une ultime fois

Cette douce harmonie qui dort

Aux tréfonds des obscurs bois.

 

 

Joue ! Libère-moi de la hantise

Qui me happe en ses rets

Quand le vers en moi s'enlise.

 

 

 

 

Afrique

 

 

 

Ton cœur bat au rythme des tambours

Ton soleil rejaillit, Afrique

Berceau de totems auprès des basses-cours.

Calebasse exquise aux odeurs mythiques,

 

 

 

Tu renfermes en ton sein la coque du jour.

Magicienne au pays des baobabs acides.

Afrique, tu me tiens dans ton ciel de vautours,

Éveillant en moi les éléphants perfides.

 


 

Tes entrailles se mêlent à la forêt vierge

Et ta savane m'envoûte, forêt sacrée

Où je me plais à rallumer des cierges


 

 

À la mémoire de Samory et de la Reine Pokou,

À la mémoire d'une enfance perdue,

À la vie, au soleil, au parfum de la boue.

 


 

Afrique aux senteurs des mangues sucrées,

Je te veux en moi tel un talisman

Qui renaît de ses cendres au cœur d'un mot sacré.

 

 

 

* © Extraits reproduits de Mona AZZAM, Le sablier des mots, Vibration Éditions, Strasbourg, 2020 avec l'aimable autorisation de l'auteure et sa maison d'édition, pp. 13 & 62.

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Pour citer ces poèmes inédits du matrimoine poétique

 

Mona Azzam, « Quatuor » & « Afrique »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poéféministes 2022 | « Calendrier du matrimoine poétique 2022 » & N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 30 décembre 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no12/matrimoinepoetique22/mona-azzam-quatuor

 

 

 

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29 décembre 2022 4 29 /12 /décembre /2022 16:11

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​​​​​Hommage à Fatma Ben Fdhila

 

 

 

 

​​​

 

Dina Sahyouni

 

Poéticienne, éditrice, fondatrice de la SIÉFÉGP

& de ses périodiques

 

 

 

 

Nous avons appris la triste nouvelle du décès de la poète* Fatma Ben Fdhila par l'annonce faite le 23 septembre dernier du Ministère tunisien des Affaires culturelles. :

« Le ministère des Affaires culturelles annonce avec « tristesse et regret », le décès de la poétesse, Fatma Ben Fdhila, survenu ce vendredi 23 septembre 2022. »**

Après une pénible et longue maladie, elle est morte à l'âge de 59 ans.

La romancière, poète et traductrice tunisienne Fatma Ben Fdhila est reconnue en Tunisie et ailleurs dans le monde. Sa disparition désole et attriste beaucoup de personnes en Tunisie et en France.

En Tunisie, les poètes lui ont rendu hommage dans leur lecture intitulée « Fatma Ben Fdhila, poète des extrêmes ». Cet hommage rappelle parfaitement que Fatma Ben Fdhila était une femme révoltée contre les conditions de vie des femmes et leur situation familiale, en d'autres termes une féministe.

 

Fatma Ben Fdhila enseignait le français et avait une maîtrise en journalisme. Parmi ses œuvres en français, on cite les recueils Soutien-gorge borgne, Terre du sevrage, Pourquoi crains-tu ma nudité, Du trou de l'âme, je déborde, et bien sûr le roman Narré par deux amoureux. En 2021, la maison d'édition française Cap de l'Étang et la maison d'édition tunisienne Wachma publient en même temps son recueil de poésie bilingue français-arabe Vergers de sucre. Ses poésies portent entre autres sur l'amour et la passion amoureuse comme dans son recueil Dis maman c'est quoi l'amour ?

Ce recueil de poèmes a été traduit en français par la traductrice Laila Nassimi (poète et animatrice socioculturelle). Le recueil parle de l'amour avec sensibilité, grâce et infinie délicatesse. Fatma Ben Fdhila nous laisse y entrevoir le paradis perdu de l'enfance... Elle publie en dialecte tunisien le dernier recueil de poésie paru de son vivant (en août 2022). Cette dernière œuvre représente probablement son cri d'amour au langage tunisien.

Son apport estimable et incontestable à la poésie nous pousse à encourager les spécialistes de poésie à étudier, à traduire ses ouvrages et à vous encourager à lire et relire ses écrits.

 

 

© Dina Sahyouni, 2022.

 

 

* Ou poétesse, poétride, poétissa, etc.

** Voir URL. https://news.gnet.tn/tunisie-le-ministere-des-affaires-culturelles-annonce-le-deces-de-la-poetesse-fatma-ben-fdhila/

 

***


Pour citer ce texte inédit du matrimoine poétique

 

Dina Sahyouni, « Hommage à Fatma Ben Fdhila »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poéféministes 2022 | « Calendrier du matrimoine poétique 2022 » & N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre » & Revue Orientales, « Les voyageuses & leurs voyages réels ou fictifs », n°2, volume 1, mis en ligne le 29 décembre  2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no12/orientales/no2/matrimoinepoetique22/ds-fatmabenfdhila

 

 

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