21 février 2018 3 21 /02 /février /2018 15:22

 

1er concours international de poésie  

 

 

Poème sélectionné sur "les animaux"

 

 

 

Bel orchestre

 

 

Mariem Garali Hadoussa

 

Artiste peintre & poète

Présidente de lassociation "Voix de femme nabeul"

 

Extrait reproduit de Comme nos pluies seront parfumées !

avec l’aimable autorisation de l'auteure/autrice

 

 

 

 

Bel orchestre

Les buissons frémissent à notre passage,

Les oiseaux s’arrêtent de gazouiller,

Pour nous écouter chanter d’une seule voix !

Nous nous dirigeons vers l’étang,

Sa surface brille de mille étoiles reflétées !

Allons nous asseoir sur son bord !

Les grenouilles nous rejoignent,

Les cigales chantent et dansent

Toutes si contentes de nous voir,

Parmi elles, si heureux, si légers !

Les oiseaux nous rejoignent aussi !

Quel bel orchestre !

Quelle merveilleuse nature !

Lettre n°13 | Textes poétiques

 

***

Pour citer ce poème

 

Mariem Garali Hadoussa, « Bel orchestre », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques|Concours international (édition 2017-18 sur les animaux, le handicap & la joie) & la Lettre n°13 mis en ligne le 21 février 2018. Url : http://www.pandesmuses.fr/2018/2/orchestre

 

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21 février 2018 3 21 /02 /février /2018 11:07

 

Lettre n°13 | Faits divers & catastrophes en poésie*

 

 

Poésie des ancêtres

 

À la comète de 1861

 

 

 

 

Louise ACKERMANN (1813-1890)

 

 

 

 

 

 

[P. 268 du format PDF/P. 253 du recueil]

 

 

Bel astre voyageur, hôte qui nous arrives

Des profondeurs du ciel et qu'on n'attendait pas,

Où vas-tu ? Quel dessein pousse vers nous tes pas ?

Toi qui vogues au large en cette mer sans rives,

Sur ta route, aussi loin que ton regard atteint,

N'as-tu vu comme ici que douleurs et misères ?

 

[P. 269 du format PDF/P. 254 du recueil]

 

Dans ces mondes épars, dis, avons-nous des frères ?

T'ont-ils chargé pour nous de leur salut lointain ?

 

Ah ! quand tu reviendras, peut-être de la terre

L'homme aura disparu. Du fond de ce séjour

Si son œil ne doit pas contempler ton retour,

Si ce globe épuisé s'est éteint solitaire,

Dans l'espace infini poursuivant ton chemin,

Du moins jette au passage, astre errant et rapide,

Un regard de pitié sur le théâtre vide

De tant de maux soufferts et du labeur humain !

 

 

Ce poème est un extrait réédité du recueil intitulé Contes et poésies de Louise ACKERMANN (1813-1890), Paris, Librairie de L. Hachette et Cie, Boulevard Saint-Germain (n° 77), 1863, In-8°, pp. 252-253. Ce poème, transcrit par D. Sahyouni pour Le Pan Poétique des Muses, appartient initialement au domaine public, voir la Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, YE-13760, document mis en ligne sur Gallica le 24/08/2009 :  http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k56075418, permaliens vers les pages transcrites :

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k56075418/f266.image,

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k56075418/f267.image

 

 

* Cette nouvelle zone (ou rubrique) créée par Dina Sahyouni le 20 février 2018 reçoit des textes inspirés par un fait divers et/ou une catastrophe. Les hommes peuvent y publier.

 

***

Pour citer ce poème

 

Louise Ackermann, « À la comète de 1861 », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°13 mis en ligne le 21 février 2018. Url : http://www.pandesmuses.fr/2018/2/comete

 

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Rédaction de la revue LPpdm - dans La Lettre de la revue LPpdm
20 février 2018 2 20 /02 /février /2018 18:05

 

Lettre n°13 | Textes poétiques & N°8 | Muses au masculin | Florilège de textes poétiques

 

 

 

 

 

 

 

L'Arpenteur d'infini

 

 

 

 

 

Mustapha Saha

 

Sociologue, poète, artiste peintre

 

 

 

© Crédit photo : Mustapha Saha. "Portait 5".

 

 

 

 

Mille trois cent cinquante au creux du siècle sombre

Je n’eus que l’abaque pour tromper mon angoisse

Et les chiffres romains pour supputer les nombres

Quand la grande peste dépeuplait les paroisses

 

J’acquis l’art des échecs pour braver la Camarde

Elle misait du temps je jouais mon destin

Vainqueur je repartis sous mon manteau de barde

Vers d’autres royaumes sans macabres festins

 

Au bout de ma route la verte Andalousie

Les minarets voisins des blanches synagogues

Des cultures brassées sans vaine jalousie

Les maisons ouvertes des savants pédagogues

 

Le savoir obsolète embrumait ma mémoire

J'aurais capitulé dans ma triste pénombre

Si mon hôte arabe n’avait dans ses grimoires

De l’Inde lointaine la doctrine des nombres

 

J’explorai les replis des comptes circulaires

La féconde alchimie des caractères libres

Le vide impératif du symbole oculaire

Les valeurs mouvantes sur des traits d’équilibre

 

Je perçus l’infini dans les choses modestes

La sphère algébrique constellée d’inconnues

L’écho numérique des symphonies célestes

La danse des signes sur le parchemin nu

 

Je pus me défaire des bouliers inutiles

De la planche à calcul des jetons superflus

Traduire en formules les énigmes subtiles

Et du dogme abaciste annoncer le reflux

 

L’Église condamna l’infâme sacrilège

Les marchands maudirent la découverte immonde

Les scribes grognèrent pour leurs bas privilèges

Mais l’œuvre algoriste sapait déjà leur monde

 

Je passais mes journées cloîtré dans mon étude

Classant les naturels sur des tracés logiques

Pistant les grands premiers avec incertitude

Croisant les diviseurs dans des carrés magiques

 

Je voulais comprendre l’expansive limite

Où l’espace et le temps n’étaient qu’un seul miroir

Capturer le reflet de l’invisible ermite

Inlassable artisan d’univers à tiroirs

 

Faute d’élucider la moindre conjoncture

Je traquai les vices des suites lancinantes

Guettai la malfaçon dans chaque architecture

La folie menaçait ma raison déclinante

 

 

L’asile inopiné d’une belle érudite

M’arracha des griffes du funeste démon

Je retrouvai la paix dans sa tour interdite

Et comblai de son nard mes sens et mes poumons

 

Il fut dit que bonheur couvait douce tourmente

Mon cœur vite lassé des servantes dociles

Des vapeurs de sauna des baisers à la menthe

N’aspirait qu’à s’enfuir loin des plaisirs faciles

 

Je rêvai de nouveau d’envoûtants territoires

D’étincelles jaillies d’insondables figures

Au-delà du détroit d’autres laboratoires

L’étoile du berger incarnait mon augure

 

Je quittai Grenade pour l’Empire des sables

Les jardins parfumés pour l’or de Tombouctou

Je cherchais dans les ergs la clef de l’impensable

Les arcanes du rien la matrice du tout

 

Je vis l’éternité perlée par les secondes

Le désert concentré dans un grain minuscule

Le bruit décomposé sur la grille des ondes

Le soleil condensé dans chaque particule

 

Un moustique énervé me choisit pour victime

Injecta son poison dans ma chair innocente

Et fit de mon voyage une dérive intime

Et revoilà la Parque et sa serpe indécente

 

 

À quoi me servaient donc les atouts de ma mise

Mes secrets d’alchimiste et mon art au cordeau

N’aurais-je pas troqué si magie fut permise

Toutes mes lumières pour une gorgée d’eau

 

Mon corps déshydraté comme antique momie

Chétif et rétréci comme peau de chagrin

Couvert de poussière comme un texte endormi

N'avait pour suaire qu’un cuir de pérégrin

 

Des génies chroniqueurs surgis du fond des âges

Creusaient leur alphabet dans ma pauvre ossature

Des tourbillons de sable érodaient mon visage

Je n’étais qu’une empreinte un reste d’écriture

 

Mon âme décrochée de sa gaine fragile

Voltigeait sans contrainte et sans coupable pensée

Entre dune mouvante et cuvette d’argile

Et puisait son nectar dans des fleurs impalpables

 

Elle était tout à tour silex et calamite

Essence d'églantine et parfum de santal

Bâton de voyageur et chandelle d'ermite

Grammaire énigmatique et prosodie vitale

 

Elle était musique portée par les orages

Mémoire tellurique et céleste oxymore

Couronne azurine d’un fabuleux mirage

Et rouge griffure dans le livre des morts

 

 

 

Le septième palier fut nuit de guérison

Je me levai matin comme un coureur ailé

Des bulbes d’émeraude émaillaient l’horizon

La Cité des lettres m’ouvrait son propylée

 

© MS

Lettre n°13 | Textes poétiques

 

***

 

Pour citer ce texte


Mustapha Saha, « L'Arpenteur d'infini », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° 8 Supplément sur « la maladie et la vieillesse en poésie » sous la direction de Françoise Urban-Menninger & Lettre n°13, mis en ligne le 18 février 2018. Url : http://www.pandesmuses.fr/2018/2/arpenteur

 

 

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Lien vers le N° 8 à venir

Rédaction de la revue LPpdm - dans Numéro 8 La Lettre de la revue LPpdm
20 février 2018 2 20 /02 /février /2018 11:45

 

N°9 | Dossier majeur | Articles & Témoignages

 

 

 

 

 

L’art au féminin à ST’ART 2017

 

 

 

 

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

Photographies par

 

Claude Menninger

 

 

 

© Crédit photo : Claude Menninger, image n°1.

 

 

Le salon d’art contemporain vient de s’achever en cette fin de novembre à Strasbourg et l’on peut dès lors constater que seulement un tiers des galeristes étaient des femmes et qu’un quart des artistes présenté(e)s étaient des femmes !

 

Ces chiffres ne peuvent que nous interroger sur cette fameuse parité qui n’en porte que le nom ! Et de songer à l’Américaine Linda Nochlin, la pionnière de l’art pensé au féminin, décédée en octobre dernier, qui a bousculé l’histoire de l’art avec son ouvrage « Why Have There Been No Great Women Artists ? » (Pourquoi n’y a-t-il pas de grandes artistes femmes ?). Pendant un demi-siècle, Linda Nochlin s’est penchée sur cette problématique après avoir rédigé une thèse sous la direction de Robert Goldwater qui n’était autre que l’époux de la plasticienne Louise Bourgeois !

 

C’est dans cet esprit que j’ai laissé mon imaginaire vagabonder tout au long des allées de ce salon et que j’ai noté de manière subjective quelques uns de mes coups de cœur.

 

© Crédit photo : Claude Menninger, image n°2.

 

 

« Quand viendront les jours indomptables », une œuvre de Florence Dussuyer exposée à la galerie « Au-delà des apparences », plongeait le spectateur dans ce que l’artiste nomme « un flottement indécis » où le corps transcendé devient pure poésie.

Marta Lafuente chez Anquin’s Gallery nous offrait l’élégance et la grâce aérienne de ses danseuses tandis que Monica Castanys nous donnait à voir sur ses toiles des femmes peintes dans leur quotidien, l’une lisant sur son sofa, une autre attablée à la terrasse d’un café, une peinture subtile qui fait songer à celle des impressionnistes français.

À la galerie Forni, Jeanne-Isabelle Cornière exposait sa série de résines « Au fil de l’eau », notamment un buste de nageuse coiffée d’un bonnet de bain serti de lunettes de natation renvoyant ainsi l’image d’une femme belle, altière, sportive, bien dans sa peau ! Franco-italienne, la sculptrice également peintre, photographe, aquarelliste a eu une enfance bercée par la musique d’un père compositeur. Elle vit et travaille actuellement à Florence où elle explore les thèmes de l’enfance, du temps qui passe, des souvenirs…

 

© Crédit photo : Claude Menninger, image n°3.

 

 

La galerie Bertrand Gillig présentait quelques œuvres de Stéphanie-Lucie Mathern tirées de la série « Une femme sous influence » où l’on découvrait sa peinture dont l’artiste dit elle-même « Mon style c’est l’opinel » et d’écrire « Il faut aller à l’essentiel [...], le geste est de l’ordre de l’évidence... ». Qu’ajouter à ces déclarations sinon que la peinture de l’artiste nous interpelle par la puissance singulière qu’elle génère.

À la galerie Mathieu, la photographe Jacqueline Salmon suspendait le temps avec ses merveilleuses images de miroirs vénitiens sans tain qui ne reflètent plus que les bribes de palais d’un passé révolu mais dont les réminiscences affleurent toujours à l’instar d’un poème sur les bords de notre conscience collective.

Luisa Abert offrait l’écrin d’ambiances sereines et lumineuses, un fauteuil éclairé par la lumière douce d’une lampe nous attendait dans la toile d’un entre-deux apaisé, une belle manière de nous inviter à passer d’un intérieur à notre vie intérieure...

 

© Crédit photo : Claude Menninger, image n°4.

 

 

 

À la galerie Calderone, Françoise de Felize nous incitait à appréhender avec son archange ou le soleil du soir son univers éminemment féminin d’une splendeur onirique à couper le souffle.

La jeune artiste Camille Fischer se voyait remettre le prix Théophile Schuler pour ses créations originales où elle mêle différentes techniques. Des photographies anciennes, des collages, entre autres de papiers colorés ou de papier aluminium, des fleurs artificielles composent ses tableaux sortis tout droit des contes de fées. Le regard est immergé dans une œuvre foisonnante où l’inconscient de tout un chacun renoue avec l’esprit d’un passé lointain mais pourtant familier. Les années 20, le monde de la danse, celui de la mode où Camille Fischer a travaillé des matières comme le galuchat, génèrent tout à la fois un esprit de fête, de nostalgie mais toujours celui d’une poésie tangible, belle, intemporelle.

 

© Crédit photo : Claude Menninger, image n°5.

 

On retiendra encore les œuvres extraordinaires d’Alicia Paz à la galerie Dukan, une artiste multiculturelle née au Mexique, vivant et travaillant à Londres. Elle a vécu toute son enfance entourée de femmes et c’est peut-être là la source d’inspiration de ses œuvres dans lesquelles l’image féminine est omniprésente.

Entre peinture et sculpture, l’artiste proposait des toiles immenses qui ressemblaient à des bas-reliefs. Le corps dansant d’une femme composé d’un assemblage de mosaïques dont les carrés n’étaient pas sans rappeler le bleu des faïences de Delft faisait référence à l’histoire des femmes, à leurs passions, leurs souffrances, leur quotidien au fil du temps... Une magnifique ode à la féminité qui offre une visibilité lumineuse à toutes celles qui sont encore dans l’ombre !

 

 

Lettre n°13 | Bémols artistiques

 

 

 

***

 

Pour citer ce texte


Françoise Urban-Menninger, « L’art au féminin à ST’ART 2017 », photographies par Claude Menninger, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° 9 | 2ème  Fin d'Été volet sur les « Femmes, Poésie & Peinture » sous la direction de Maggy de Coster & Lettre n°13, mis en ligne le 18 février 2018. Url : http://www.pandesmuses.fr/2018/2/art-au-feminin

 

 

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Lien vers le N°9 à venir

Dernière mise à jour : 20 février 2018 à 11 h 56 m

Rédaction de la revue LPpdm - dans Numéro 9 La Lettre de la revue LPpdm

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