17 mars 2020 2 17 /03 /mars /2020 11:35

Lettre n°14 | Être féministe | Faits divers & catastrophes | Poésie de circonstance

 

 

 

​Henri plaie...

 

& Et si...

 

 

 

Didier Colpin

 

 

Crédit photo : "Coronavirus", commons, domaine public.

 

Henri plaie...

 

 

 

 

Quel farceur que cet Henri

 

C’est d’un seul œil qu’il sommeille

 

Toujours il réenchérit

 

Il nous épate on bégaye…

 

 

 

On est convaincu qu’il dort

 

Mais bondissant tel un diable

 

Il joue au puissant cador

 

Cela devient incroyable…

 

 

 

À sortir de son chapeau

 

Les mêmes blagues douteuses

 

Qu’il gardait comme en dépôt

 

Ne nous semblent pas juteuses…

 

 

 

Dans sa malice il est lourd

 

C’est bêtement qu’il insiste

 

Un peu noir est son humour

 

C’est un piètre fantaisiste…

 

 

 

Pas de renouvellement

 

Là c’est une épidémie

 

Qu’il nous sert banalement

 

D’une grande bonhomie…

 

 

 

Mais on avait oublié

 

Grande est alors la surprise

 

Il est tout émoustillé

 

Notre émotion le grise…

 

 

 

De tels maux semblaient passés

 

Finie est cette infortune

 

Le progrès _ jamais assez _

 

Nous a conduits sur la lune…

 

 

 

Et voilà que tout d’un coup

 

Hier nous donne une claque

 

En replay dans un ‘coucou’

 

Soudainement il nous traque…

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=UXSOlX7-Xsc

 

Et si...

 

 

 

Un colosse aux pieds d’argile

 

À qui tout semblait facile

 

Va peut-être vaciller

 

Décompte dégoupillé ?

 

 

 

Partout le même problème

 

Attaque notre système

 

C’est lui le boss le patron

 

Depuis rien ne tourne rond…

 

 

 

C’est le petit grain de sable

 

Quasiment insaisissable

 

Qui réussit à gripper

 

Qui réussit à crisper…

 

 

 

En défrayant la chronique

 

D’une allure cyclonique

 

Court va le covid-19

 

Quelque part fort comme un bœuf…

 

 

 

La machine performante

 

Se trouve dans la tourmente

 

Vigoureux plein de tonus

 

Est ce tout nouveau virus…

 

 

 

Et la machine orgueilleuse

 

Doit donc se mettre en veilleuse

 

Quel sera son avenir

 

Puissions-nous tous en sortir…

 

 

 

 

 

 

Titanic insubmersible

 

À l’arrogance ostensible

 

Un abyssal fond marin

 

Fait un étrange parrain…

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=_-m4bwuMgvo

https://www.youtube.com/watch?v=EcOZmtbLRP0

***

 

Pour citer ces poèmes

​​​​​Didier Colpin, « Henri plaie... » & « Et si... »Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°14|Être féministe, mis en ligne le 17 mars 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/lettreno14/plaie

 

 

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Dernière mise à jour : 24 mars 2020

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans La Lettre de la revue LPpdm
16 mars 2020 1 16 /03 /mars /2020 14:39

Lettre n°14 | Être féministe | Faits divers & Catastrophes | Poésie de circonstance

 

 

 

Covid19

 

 

 

Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

Crédit photo : "COVID-19/coronavirus", commons, domaine public.

 

Pâques avance à petits pas et le véloce Covid19 

Se propage en faisant des ravages 

Coiffant ainsi les cellules humaines

D’une couronne d’épines virales

Pas besoin de drone pour attaquer ses cibles

Ni de satellite pour faire le tour du monde

En moins de quatre-vingts jours

Il a battu le record de vitesse du siècle

Ah ! si Jules Verne savait !

 

Agent génocidaire

Au confinement tu réduis tes victimes

Attaquées par milliers  

Tu ne connais point de parti pris

Pour les faibles et les puissants 

Avec la même virulence tu sévis

Les rassemblant sur le même versant   

Au casse-tête chinois tu soumets les chercheurs

À nos gouvernants tu donnes du fil à retordre 

Ni vaccin ni médicament pour te conjurer 

Covid19, toi, l’infiniment petit, vide-toi 

Séance tenante de notre univers infiniment grand !

 

MDC

13-03-2020

***

 

Pour citer ce poème

​​​​​Maggy de Coster, « Covid19 », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°14|Être féministe, mis en ligne le 16 mars 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/lettreno14/covid19

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans La Lettre de la revue LPpdm Megalesia
16 mars 2020 1 16 /03 /mars /2020 11:55

Lettre n°14 | Être féministe | Articles & témoignages

 

 

 

 

 

 

Comprendre « La douleur »

 

chez Baudelaire

 

 

 

 

Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

Crédit photo : Première de couverture de la troisième édition de 1869. 

 

Des Fleurs du Mal de Baudelaire, recueil paru le 28 juin 1857, nous avons fait le choix d’extraire deux sonnets que nous avons décortiqués pour comprendre les caractéristiques de la Douleur  chez le poète.  

 

 

 

Recueillement

 

Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille.

Tu réclamais le Soir ; il descend ; le voici :

Une atmosphère obscure enveloppe la ville,

Aux uns portant la paix, aux autres le souci.

 

Pendant que des mortels la multitude vile,

Sous le fouet du Plaisir, ce bourreau sans merci,

Va cueillir des remords dans la fête servile,

Ma Douleur, donne-moi la main; viens par ici, Loin d'eux.

 

Vois se pencher les défuntes Années,

Sur les balcons du ciel, en robes surannées ;

Surgir du fond des eaux le Regret souriant ;

 

Le Soleil moribond s'endormir sous une arche,

Et, comme un long linceul traînant à l'Orient,

Entends, ma chère, entends la douce Nuit qui marche.

 

 

Le mal comme la Douleur recèle le beau, une beauté sous-jacente qu’il convient de faire ressortir. En défiant les conventions Baudelaire instaure sa propre vision des choses. Il nous donne une autre lecture du mal, le mal peut être source de Plaisir, de jouissance. Le beau n’est pas toujours beau et le mal n’est pas toujours mal.   

La douleur est personnifiée, il  lui parle comme à une personne, il lui adresse une supplique.

L’emploi de l’impératif est une prière par le tutoiement il établit une relation de proximité, en lui et la douleur qu’il traite comme son égale.

Le Soir est comme un cadeau idéal pour cette Douleur qui l’accapare, s’installe dans son être en lui procurant un plaisir masochiste. Ce soir qui embrasse la ville lieu de Plaisir est pour lui un  rendez-vous avec la douleur. La nuit est propice à la Douleur, elle la nourrit. À ce compte il lui réclame un peu de répit.

Le Plaisir a aussi son revers car il est peut être aussi source de remords en étant lourde de conséquences en ce sens qu’il en découle postérieurement des ennuis, des mauvais souvenirs. Il peut donner lieu  à une sorte de dépendance récurrente. 

Le plaisir peut être également dans la Douleur comme dans  le cas du masochisme. C’est dans la douceur et le calme de la Nuit qu’il savoure le plaisir que lui procure la Douleur. Il s’y habitue et l’attend comme un bien-aimé attend sa promise, le soir venu. 

Il cultive le paradoxe chez lui en ce sens que le Regret n’est pas seulement bouleversant mais peut avoir également un caractère plaisant en soulevant des émotions fortes, des éclats de rires tantôt joyeux tantôt nerveux !

Le soleil est comme une personne lasse de vivre qui attend avec une longue patience sa dernière heure. Il invite la Douleur à l’écoute, à se mettre à son niveau. Il semble être envahi par le Regret de n’avoir pas assez  profité de la vie. Écrit en majuscule, le mot se veut envahissant dans il occupe une place importante dans la vie. Il culmine à un point tel qu’il le ronge comme un ver  ronge un cadavre. Le mal comme la douleur recèle le beau, une beauté sous-jacente qu’il convient de faire ressortir. Il défie les conventions et instaure sa propre vision des choses. Aussi le mal peut être source de Plaisir

**

 

Alchimie de la douleur

 

L'un t'éclaire avec son ardeur,
L'autre en toi met son deuil, Nature !
Ce qui dit à l'un : Sépulture !
Dit à l'autre : Vie et splendeur !

Hermès inconnu qui m'assistes
Et qui toujours m'intimidas,
Tu me rends l'égal de Midas,
Le plus triste des alchimistes ;

Par toi je change l'or en fer
Et le paradis en enfer ;
Dans le suaire des nuages

 

Je découvre un cadavre cher,
Et sur les célestes rivages
Je bâtis de grands sarcophages. 

 

 

Au sens littéraire du terme, l’alchimie désigne la « Transformation de la réalité banale en une fiction poétique, miraculeuse » Baudelaire se sent investi d’une force que lui communique la Douleur  comme si elle était son double. Une dualité qui le rend productif en ce sens qu’elle lui sert de muse. 

L’or c’est l’évocation de la préciosité, de la richesse mais le fer évoque la dureté au sens propre comme au sens figuré,  « dur comme fer » ; pour combattre on croise les fers donc Baudelaire est sans doute investi d’un courage de fer pour affronter sa Douleur. Les heures d’accalmie se révèlent pour lui le paradis  mais l’enfer n’est jamais trop loin. Cet enfer est caractérisé par la souffrance qui s’installe et se veut plus durable que les plages de sérénité.

 

« Hermès inconnu qui m'assistes
Et qui toujours m'intimidas,
Tu me rends l'égal de Midas,
Le plus triste des alchimistes ; »


Cette Douleur joue aussi à l’ambigüité en ce sens qu’elle le dévore et en même temps elle est  son inspiratrice car il lui permet de se transcender par la poésie. Il navigue entre heur et malheur entre Hermès le dieu de la chance qui guide les morts et Midas le riche qui finit par se suicider. 

 

« Par toi je change l’or en fer

Et le paradis en enfer ;
Dans le suaire des nuages »

 

Il aimerait tant parvenir à cette transmutation jubilatoire pour vivre dans la splendeur du jour mais la Douleur l’intimide, elle prend le dessus en lui offrant des visions sépulcrales. Aussi passe-t-il de l’extase à la tristesse :

 

« Je découvre un cadavre cher, »

 

Les cadavres ne sont pas banals car ils lui sont si chers qu’il lui faut  de grandes étendues comme de « célestes rivages » pour leur ériger  des sarcophages à l’instar  des rois Égyptiens. Quelle  expression de magnanimité, d’élévation, de sublimité que celle qu’inspire  la Douleur ! 

Selon Gaston Bachelard « La langue de l'alchimie est une langue de la rêverie, la langue maternelle de la rêverie cosmique. » Baudelaire  rejoint bien cette assertion quand il écrit :

 

« Et sur les célestes rivages
Je bâtis de grands sarcophages » 

 

 

La Sépulture symbolise l’enfermement donc l’enfermement dans la Douleur qui est une prison à vie.

 

 

***

 

Pour citer ce texte

 

​​​​​Maggy de Coster, «  Comprendre « La douleur » chez Baudelaire », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°14|Être féministe, mis en ligne le 16 mars 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/lettreno14/douleurchezbaudelaire

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans La Lettre de la revue LPpdm
8 mars 2020 7 08 /03 /mars /2020 15:19

Lettre n°14|Être féministe| Critique & réception

 

 

Ivanka Paul

 

Goodby Tito, Mémoires d’une jeune provinciale aux idées arriérées et à rééduquer de manière douce dans la Yougoslavie de Josip Broz

 

éd. Createspace, 2018, 94 p., 15€

 

 

Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

© Crédit photo : Première de couverture du livre. 

 

D’emblée Ivanka Paul dresse un tableau historique du régime de Tito en toute simplicité mais de façon vivante et anecdotique. Elle brosse le portrait physique et moral du Maréchal dans sa complexité. Puis elle décrit géographiquement la Croatie en signalant les grands faits marquants de son pays et de Komin, son village natal. 

 

Avec beaucoup de tendresse, elle évoque la mémoire de son père, ce héros légendaire qui comptait tant pour elle. Et aussi de la femme attentionnée que fut sa mère envers la fratrie, dévouée envers son mari sans oublier qu’elle  lui « faisait apprendre des histoires et des poèmes ». Une large place est également faite aux femmes dans  la résistance contre les nazis. Elle nous communique ses impressions de jeune fille curieuse qui entrait en immersion,  l’espace d’un mois, à l’insu même de ses parents, dans les activités organisées par le régime communiste à l’adresse de la jeunesse que les dirigeants enjôlaient en les gavant de récompenses : diplômes et médailles qu’elle avait pris le soin de déchirer ou de lancer dans les champs en fin de compte. Aussi avance-t-elle  avec ironie : « Au passage du train les vaches s’arrêtaient de brouter en voyant ce monstre étrange qui sifflait, ronflait  et qui fumait. » 

Ainsi  elle a fini par  tourner le dos à cette  société archaïque, où « les voitures d’ailleurs peu nombreuses, circulaient sans signalisation » où la pénurie était telle que les parapluies n’existaient pas pour s’abriter en cas de pluie donc tout jurait avec l’Europe Occidentale. 

Dans l’ex-Yougoslavie le destin des jeunes filles était scellé mais elle, bonne oratrice et amatrice du théâtre affectionnant les auteurs français et de surcroît faisant partie de la première promotion des bacheliers en 1958, avec l’aval de son père, catholique et royaliste, elle se refusa d’être missionnée pour aller soigner les Lépreux en Afrique mais préféra faire des démarches pour venir à Paris, dans le but de parfaire ses études, où elle réside depuis 1965.

***

 

Pour citer ce texte

​​​​​Maggy de Coster, « Ivanka Paul, Goodby Tito, Mémoires d’une jeune provinciale aux idées arriérées et à rééduquer de manière douce dans la Yougoslavie de Josip Broz, éd. Createspace, 2018, 94 p., 15€ », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°14|Être féministe, mis en ligne le 8 mars 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/lettreno14/goodbytito

 

 

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