8 août 2021 7 08 /08 /août /2021 16:36

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Lettre n°16 | À nos ivresses & aux Bacchantes | Poésie des ancêtres | Poétextes thématiques

 

 

 

 

 ​​​​

 

 

Poèmes de faim de vie (extraits)

 

 

&

 

 

Douze chants hérétiques,

 

chant second

 

 

 

 

Thibault Jacquot-Paratte

 

 

Crédit photo : Photographie d'une actrice en "Bacchante Profil de femme avec couronne. Commons.

 

 

 

 

Poèmes de faim de vie (extraits)

 

 

 

Brume citadine mêlée de l'écume de mon souffle

aux boulevards continus où ma vision s'engouffre 

labyrinthe de destinées où l'issu est passage

et profiter de ses errants sans l'devenir j'envisage

et soufflant dans le froid qui s'acharne bruine et pluie

l'orage bientôt en neige ; faire suivi

de ses mots, de ses sacres

de ses moissons de prières

des lueurs de longues nuits

du désespoir le massacre

de vins chauds, d'ambrées bières

engouffre-le chéri,

le passage des fêtes 

et encore faire suivi

continu du pavé c'est tout droit

éternelle marche aveuglée la vaguelette de buée 

le temps qu'il faudra pour ne pa(nne)s essoufflé

qui s'engouffre dans les recoins de creux et de grottes 

creusées où construites en parois nos maisons

et la neige en orage s'évanouissent flocons 

inonde-nous courant, de lieux

chez eux, nuages plancton et flocons, chez eux

ressenti que nous-mêmes l'on retombe en gouttelettes

heurtant à l'air la plage s'érode

s'emporte.

 

*

 

Santé à tous et vous-mêmes,

ceux pour qui vous buvez.

À qui les pas mènent titubants

sombres dans l'obscurité

à la coque fragile coquille

d'œuf en crâne

folie à la routine voit au voyage

l'organisme fonctionner tout seul ;

les courants bougent et décident

les vagues rongent les côtes

les mains palpent les seins de l'amour malhabile

sautent de nos bras et hors de nous les vins

années qui ne nous tiennent plus debout

marionnette de circonstance, 

mais les rois en habits robustes

de qui l'on peint portraits et gravent bustes

savent se défendre mieux que quiconque

et mirent sans zieuter et trinquant

aspirent confiance pour dérouter

et dans les voiles prédire les vents

et craquent coquilles faisons brouiller

sur une assiette voulez-vous votre petit déjeuner?

Il est aussi disponible dans la poêle, dans une feuille

dans du papier journal.

 

*

 

Quand c'qui a eu des beaux massacres

tout le monde a bien mangé

tu t'assois dans ton fauteuil

un cigare à fumer.

Des bains de sang qui coulent à flots

qui forment rivières dans l'caniveau

qu'on draine par aqueduc avec l'eau de nos toilettes

avec quoi on arrose nos plantes.

 

*

 

Image rendue d'une huile parfumée

qui ne reste seule au mur accrochée

qui m'entoure de ses traces, ses mouvements si charmants

elle existe et donc fou elle me rend

la réalité si belle de faveur des lumières

dans la cour de sa f'nêtre je chante air sur air

et en air flotte l'appel tiède de sa chair

aux joues rosées, à la fine figure

toutefois indicible dans son cadre quand est vue

et tableau restera, peinture d'idéaux

qui enjoue autant qu'interne est torture

une autre dose de telle dope; l'on court dans la rue

recherchant une idée vive et douce peau.

 

*

 

La seule drogue qui puisse une emprise sur moi

je ne peux chasser ta présence de mon envie

Quelle est la meilleure façon d'incendier?

Par des mots ou par des gestes ?

D'un aveu ou d'un baiser?

Je n'ai jamais tant voulu tant essayer

la défonce à ne plus voir rien d'autre

mes veines n'ont jamais tant appelé

que mon cœur batte !

Aucune piqûre ne frétille, plus

fumée n'a d'odeur telle

portant à perdre tout sens

et déraison,

à réfléchir d'une autre façon

à qu'est c'qu'a quelle importance.

 

*

 

pourquoi je me drogue alors que je suis

induit en erreur

la paranoïa la plus sincère guide mes actes.

Je remets en cause ce dont je croirais n'être jamais capable 

et pour une raison ou une autre j'aimerais me faire mal.

Je bois, je me drogue

il est tard et je suis fatigué, mais je continue

me force à danser, essaie de m'approcher

de ce qui me fait étrangement du bien

induit en erreur alors que je sais

ce dont je ne serais jamais capable remis en doute.

 

*

 

se connaître soi-même

et masque, ce que l'on ne veut montrer aux autres

les défauts qui nous tourmentent

qui nous transforment en un si faible pour cent de notre capable être.

Je ne boirai pas, je ne prendrai pas de drogue

je refuse de perdre contrôle 

et risquer d'extérioriser mes démons...

À moins que ces vices ne soient la solution ?

 

   

douze chants hérétiques, chant II

 

On buvait des bières en écoutant d'la country

le Québec c'est du beau pays, même s'ils sont arrogant des fois

par endroit y'avait des restes de neige

les premières, les dernières,

il faut faire de la route pour que tout d'un coup

les contrées aient l'air aussi désertes qu'on les voudrait

il sont arrogants des fois ; c'est parce qu'ils s'aiment beaucoup aussi

mais au Québec tout se fait tranquillement, pas vite

la terre a une révolution plus lente

toutes les Maries de l'église catholique

Montréal c'est pas trop mal

mais l'Amérique

c'est pas un continent de villes

décalages

rêves d'où l'on ne se réveil pas

lents

passants

impressionnés par la forme

impressionnés par le désir de l'être

allant du centre-ville au plein air

pour une poignée de billets

ne daignerait pas

pionniers,

aller au lieu de naissance

d'aspirations dépassées

éclatera un jour

bientôt ? Lointain ?

J'espère pour bientôt

la désillusion

mais je suis optimiste

 

fusillé

j'ai ri un grand coup

je suis allé voir ailleurs, et j'y étais

j'ai parcouru le Québec par tous les bouts

toutes les boutes

sauf Anticosti

Ant-

-i-

-(que)-

-(c)-

-(h)osti(e)

qui fut presque vendu aux nazis en 1937

et qui fut vendu au pétrole en 2014.

Tout ça pour un misérable 60% de profits.

À ce prix là,

pas besoin de condoms ! 

C'était un soir au Québec que je m'étais fait traiter de radin car je ne donnais pas l'argent que je n'avais     pas moi-même !

Quelque part, le Québec me rappelle beaucoup l'Afrique.

Comment généraliser un si grand continent !

Tant-pis, je m'y lance – 

c'est vrais qu'en générale partout dans le sud,

les gens vivent plus les uns sur les autres.

Il fait chaud

on est dehors,

on se rencontre dehors

on passe nos journées ensemble

on voit tout ce qu'on fait

on va se voir

globalement, y'a moins d'espace personnel

on s'attend toujours à avoir des points communs 

on se veut des points communs

on en trouve

on en crée 

on en cherche

on en demande !

On s'attend à aimer les même choses

vouloir les même choses ;

le Québec, pour moi, est trop conformiste

je n'déteste pas la mode, mais je n'suis pas commerciale 

La mode au grand M

la mode dans les arts

les coutures vivantes, formes, broderies...

c'est joli, c'est tout.

Au Québec le regard se projette sur notre apparence pour en déterminer le groupe sociale

« T'es tu un... »,

et on tend facilement la main

Dans Mandabi d'Ousman Sembéné

où les gens cherchent leur partie, cherchent à recevoir

où l'on se concerne de ce que pensent les autres

*

 

Santé à tous et vous-mêmes,

ceux pour qui vous buvez.

À qui les pas mènent titubants

sombres dans l'obscurité

à la coque fragile coquille

d'œuf en crâne

folie à la routine voit au voyage

l'organisme fonctionner tout seul;

les courants bougent et décident

les vagues rongent les côtes

les mains palpent les seins de l'amour malhabile

sautent de nos bras et hors de nous les vins

années qui ne nous tiennent plus debout

marionnette de circonstance, 

mais les rois en habits robustes

de qui l'on peint portraits et gravent bustes

savent se défendre mieux que quiconque

et mirent sans zieuter et trinquant

aspirent confiance pour dérouter

et dans les voiles prédire les vents

et craquent coquilles faisons brouiller

sur une assiette voulez-vous votre petit déjeuner?

Il est aussi disponible dans la poêle, dans une feuille

dans du papier journal.

 

*

 

Quand c'qui a eu des beaux massacres

tout le monde a bien mangé

tu t'assois dans ton fauteuil

un cigare à fumer.

Des bains de sang qui coulent à flots

qui forment rivières dans l'caniveau

qu'on draine par aqueduc avec l'eau de nos toilettes

avec quoi on arrose nos plantes.

 

*

 

Image rendue d'une huile parfumée

qui ne reste seule au mur accrochée

qui m'entoure de ses traces, ses mouvements si charmants

elle existe et donc fou elle me rend

la réalité si belle de faveur des lumières

dans la cour de sa f'nêtre je chante air sur air

et en air flotte l'appel tiède de sa chair

aux joues rosées, à la fine figure

toutefois indicible dans son cadre quand est vue

et tableau restera, peinture d'idéaux

qui enjoue autant qu'interne est torture

une autre dose de telle dope; l'on court dans la rue

recherchant une idée vive et douce peau.

 

*

 

La seule drogue qui puisse une emprise sur moi

je ne peux chasser ta présence de mon envie

Quelle est la meilleure façon d'incendier?

Par des mots ou par des gestes?

D'un aveu ou d'un baiser?

Je n'ai jamais tant voulu tant essayer

la défonce à ne plus voir rien d'autre

mes veines n'ont jamais tant appelé

que mon cœur batte!

Aucune piqûre ne frétille, plus

fumée n'a d'odeur telle

portant à perdre tout sens

et déraison,

à réfléchir d'une autre façon

à qu'est c'qu'a quelle importance.

 

*

 

pourquoi je me drogue alors que je suis

induit en erreur

la paranoïa la plus sincère guide mes actes.

Je remets en cause ce dont je croirais n'être jamais capable 

et pour une raison ou une autre j'aimerais me faire mal.

Je bois, je me drogue

il est tard et je suis fatigué, mais je continue

me force à danser, essaie de m'approcher

de ce qui me fait étrangement du bien

induit en erreur alors que je sais

ce dont je ne serais jamais capable remis en doute.

 

*

 

se connaître soi-même

et masque, ce que l'on ne veut montrer aux autres

les défauts qui nous tourmentent

qui nous transforment en un si faible pour cent de notre capable être.

Je ne boirai pas, je ne prendrai pas de drogue

je refuse de perdre contrôle 

et risquer d'extérioriser mes démons...

À moins que ces vices ne soient la solution?

 

 

Douze chants hérétiques, chant second

 

 

 

On buvait des bières en écoutant d'la country

le Québec c'est du beau pays, même s'ils sont arrogant des fois

par endroit y'avait des restes de neige

les premières, les dernières,

il faut faire de la route pour que tout d'un coup

les contrées aient l'air aussi désertes qu'on les voudrait

il sont arrogants des fois ; c'est parce qu'ils s'aiment beaucoup aussi

mais au Québec tout se fait tranquillement, pas vite

la terre a une révolution plus lente

toutes les Maries de l'église catholique

Montréal c'est pas trop mal

mais l'Amérique

c'est pas un continent de villes

décalages

rêves d'où l'on ne se réveil pas

lents

passants

impressionnés par la forme

impressionnés par le désir de l'être

allant du centre-ville au plein air

pour une poignée de billets

ne daignerait pas

pionniers,

aller au lieu de naissance

d'aspirations dépassées

éclatera un jour

bientôt ? Lointain ?

J'espère pour bientôt

la désillusion

mais je suis optimiste

 

fusillé

j'ai ri un grand coup

je suis allé voir ailleurs, et j'y étais

j'ai parcouru le Québec par tous les bouts

toutes les boutes

sauf Anticosti

Ant-

-i-

-(que)-

-(c)-

-(h)osti(e)

qui fut presque vendu aux nazis en 1937

et qui fut vendu au pétrole en 2014.

Tout ça pour un misérable 60% de profits.

À ce prix là,

pas besoin de condoms ! 

C'était un soir au Québec que je m'étais fait traiter de radin car je ne donnais pas l'argent que je n'avais     pas moi-même !

Quelque part, le Québec me rappelle beaucoup l'Afrique.

Comment généraliser un si grand continent !

Tant-pis, je m'y lance – 

c'est vrais qu'en générale partout dans le sud,

les gens vivent plus les uns sur les autres.

Il fait chaud

on est dehors,

on se rencontre dehors

on passe nos journées ensemble

on voit tout ce qu'on fait

on va se voir

globalement, y'a moins d'espace personnel

on s'attend toujours à avoir des points communs 

on se veut des points communs

on en trouve

on en crée 

on en cherche

on en demande !

On s'attend à aimer les même choses

vouloir les même choses ;

le Québec, pour moi, est trop conformiste

je n'déteste pas la mode, mais je n'suis pas commerciale 

La mode au grand M

la mode dans les arts

les coutures vivantes, formes, broderies...

c'est joli, c'est tout.

Au Québec le regard se projette sur notre apparence pour en déterminer le groupe sociale

« T'es tu un... »,

et on tend facilement la main

Dans Mandabi d'Ousman Sembéné

où les gens cherchent leur partie, cherchent à recevoir

où l'on se concerne de ce que pensent les autres

 

Sembéné, il s'en préoccupait aussi

ça le préoccupait

en fumant sa pipe

l'individualisme, on le lie souvent à l'égocentrisme,

à la méchanceté, au manque de sympathie,

en bref, au capitalisme.

Mais les risques liés au manque de soi-même

de différences,

Pff ! Je souhaiterais qu'on en parle plus

comme je souhaiterais que tout le monde discute

ensemble

on a construit des tours

des barrages

des civilisations

on a rempli des musées

(que l'on visitera plus en criant « last call »)

mais quelqu'un les a conçu !

Moi personnellement, je ne mélangerai pas Égo et identité

Idée

entité.

 

J'ai parcouru le Québec de plein de façons

en pouce, à pieds, en voyages payés,

mais comme toujours pour voir l'Amérique du nord,

faut y aller en voiture

mais comme peuvent en témoigner bien des gens

au Québec de nos jours, on trouve parmi les meilleures bières au monde

entre l'Éphémère, la Maudite, l'Eau Bénite

Trois Pistoles, à Chambly

celles de la Nouvelle-France

comme la Claire Fontaine

et pourtant on y trouve tout de même de la Bush, de la Cinquante et de la Blue Label

va savoir !

De toutes façons, je préfère le cidre.

 

 

***

 

Pour citer ces extraits 

 

Thibault Jacquot-Paratte, « Poèmes de faim de vie (extraits) » & « Douze chants hérétiques, chant second », poèmes inédits, Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°16, mis en ligne le 8 août 2021. Url : 

http://www.pandesmuses.fr/lettreno16/tjp-faimdevie

 

 

 

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5 août 2021 4 05 /08 /août /2021 13:57

 

Lettre n°16 | À nos ivresses & aux Bacchantes | Philosophies & sagesses en poésie 

 

 

 

 

 

La toile d'araignée

 

 

 

 

 

 

Ahcène Mariche

 

 

 

Crédit photo : Pluie sur une toile d'araignée Commons, domaine public. 

​​​

 

 

Devant une toile d’araignée

À méditer et à l’observer

Je me suis laissé

À elle bien tendue,

Je m’imagine suspendu,

M’en libérer est peine perdue.

 

 

Ce que mes yeux voient

Éveille mon émoi

Et me pousse à réfléchir.

Profondément angoissé

Occupé par ma pensée

Comment m’en sortir ?

 

 

Une mouche vient tournoyer

Autour de la toile, tout près

De l’araignée aux aguets.

Fatiguée, elle s’y est posée

Aussitôt elle est happée

En une minute sucée

 

 

Que de mouches ont ainsi péri

Et moi je réfléchis

Au pourquoi de ceci.

Enfin je comprends

Que l’araignée les attend

Pour en vivre s’entend

 

 

Arrive un grand taon

Tout en bourdonnant

Fort et bien portant

La toile est secouée

D’un seul coup transpercée

L’hyménoptère est passé

 

 

La toile n’est que silhouette

Elle ne gêne ni n’inquiète

Il le fait de belle lurette

C’est pour cela qu’il s’en passe

Car le plus fort passe

Et le plus faible trépasse

 

 

Ainsi sont les lois

Telles des toiles je les vois

Le faible s’y débat

C’est un perdu combat

Le plus fort ne s’y fait pas

Il n’en fait pas cas

 

 

À une toile d’araignée

Je compare les lois

Elle prend la mouche facilement

Mais pas le bourdon

Par sa force, il la perfore

À ce propos nous sommes d’accord

 

 

Les lois profitent tout le temps

À ceux qui sont nantis

Ceux qui les subissent souvent

Sont les plus démunis

Médite ! Toi le sage, toi le savant

Pour qui sont-elles tissées ?

 

 

***

 

Pour citer ce poème

 

Ahcène Mariche, « La toile d'araignée », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°16, mis en ligne le 5 août 2021. Url :

http://www.pandesmuses.fr/lettreno16/am-latoiledaraignee

 

 

 

 

 

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4 août 2021 3 04 /08 /août /2021 14:00

 

Lettre n°16 | À nos ivresses & aux Bacchantes | S'indigner, soutenir, lettres ouvertes, hommages

 

 

 

 

 

 

Hommage pictural à

 

 

Louis Armstrong (1901-1971)

 

​​​​​​

 

 

 

 

 

 

 

Mustapha Saha

 

Sociologue, poète, artiste

Exposition photographique par

Élisabeth et Mustapha Saha

 

 

 

 

© Crédit photo : Mustapha Saha, "Louis Armstrong (1901-1971)", Peinture sur toile, dimensions 100 x 81 cm.

 

 

 

Ce tableau rend hommage à Louis Armstrong dans le cent-vingtième anniversaire de sa naissance et le cinquantenaire de sa mort.

Le jazzman Armstrong est né le 4 août 1901 à La Nouvelle-Orléans (en Louisiane) et décédé à New York le 6 juillet 1971. Ce chanteur, improvisateur et musicien "afro-américain" de renom a transformé la musique folklorique afro-américaine (de blues et gospel) en jazz.

 

***

 

Pour citer cet hommage

 

Mustapha Saha, « Hommage pictural à Louis Armstrong (1901-1971) », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°16, mis en ligne le 4 août 2021. Url  :

http://www.pandesmuses.fr/lettreno16/ms-louisarmstrong

 

 

 

Mise en page par Aude Simon

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans La Lettre de la revue LPpdm
3 août 2021 2 03 /08 /août /2021 09:12

 

Lettre n°16 | À nos ivresses & aux Bacchantes | Poétextes thématiques

 

 

 

 

 

 

 

Mon addiction

 

 

 

 

 

 

Evelyne Charasse

 

 

 

Crédit photo : Rose", Beauté de Versailles, image Commons. 

 

 

Mon addiction

C'est 

Toi

Toi

Qui ne le sais

Pas 

 

***

 

Pour citer ce poème d'amour 

 

Evelyne Charasse, « Mon addiction »​​​​​, poème inédit, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°16, mis en ligne le 3 août 2021. Url :

http://www.pandesmuses.fr/lettreno16/ec-monaddiction

 

 

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans La Lettre de la revue LPpdm Amour en poésie

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