30 avril 2024 2 30 /04 /avril /2024 13:54

N° I | HIVER-PRINTEMPS 2024 | Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes / 1er Volet | Dossier mineur | Florilège | Poésie érotique 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Poème de printemps

 

 

 

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​​​​

Nicole Barrière

 

Poète, essayiste, traductrice & directrice de la collection

« Accent tonique » aux éditions l’Harmattan

 

 

 

Crédit photo : Louise Ward  (1849–1930 alias Louise Dubréau : son pseudonyme), « Printemps », peinture de 1882, domaine public. Capture d'écran de la photographie libre de droits du site Commons.

 

 

 

 

VIVRE au bout de tes pas

Dans ton regard d’avril

tout près de la lumière

Là-bas.

 

Flux de fleurs dans la main

Entre les lignes de l’avenir

Caresse l’instant d’équilibre dans nos histoires

 

Hors l’amour

Perchées sur les sentiments

Des créatures à tire-d’aile viennent frôler le présent.

 

L’imparfait accroche un proverbe fatigué

Où martèlent des tambours nègres

chasse gardée des cultures !

on ne se rencontre pas

La liturgie spontanée des doigts

Les Parques filent l’instant des regards

 

Une éternité passe en nuages rétrécis

Le présent de l’amour file, 

 avec ses anciens mots de  soleil

  

Étoile indienne de la tribu

le cuivre rare des mains simples

cantiques solaires de l’espoir

Vérités, bouches, larmes, faims

Hors saison des hontes

Autant de ruées

dans la vigueur des résistances

 

Toujours à la face des bourreaux

Surgit le pays

Au cœur des mots des chants mémorables

Bâtir avec la patience et l'humilité de la feuille

le temps d'un bond

Où l’amour féconde mille visages

 

Sur mes lèvres, le plus noir sommeil

ton souffle

ta voix d'aurore touche la femme 

Au creux de tes paumes

ma terreur écolière

ses joies, ses silences d'aube.

 

Puis je brûle les herbes malades de l'errance

j’arrache les pierres fiévreuses

dans mes champs de caillasses

je sème les graines solaires

au cœur de l'été je fauche

le sillon 

nos aventures torrides et tendres

le sexe hanté de la même jouissance de naître 

 

Je brûle les étapes

j’incendie les comètes

Je hurle aux instants de semence

La joie vaste des aubes solaires 

Danse !

 

 

 

***

 

 

Pour citer ce poème printanier & inédit 

 

Nicole Barrière, « Poème de printemps », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques :  HIVER-PRINTEMPS 2024 | NO I « Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes », 1er Volet, mis en ligne le 30 avril 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noi/nicolebarriere-printemps

 

 

 

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18 avril 2024 4 18 /04 /avril /2024 15:32

N° I | HIVER-PRINTEMPS 2024 | Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes / 1er Volet | Dossier mineur | Florilège | Astres & animaux 

 

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Perdue dans la brume

 

 

 

 

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Louise Hudon

 

 

 

​​​​​Crédit photo : Nuages, capture d'écran de la photographie libre de droits du site Commons.

 

 

 

 

Voilà que la maladie m’a surprise

Et que de mon corps, je perds la maîtrise.

Certains médicaments pour m’en sortir…

Conséquences : organisme à affaiblir.

 

 

Mes projets en cours me causent problèmes.

Avec ma fièvre, je suis assez blême.

Absence de ceux qui pourraient m’aider.

Dois-je annuler ou alors procéder?

 

 

Trop perdue dans une brume sans fin.

Épuisement, je n’ai vraiment pas faim.

Angoisses et panique pour le futur.

Je cherche refuge dans la nature.

 

 

Stress psychologique d’où l’anxiété.

Dernièrement, trop de contrariétés,

Battante comme je suis, pour surmonter,

Tout accomplir avec ma volonté.

 

 

Si mon cerveau se transforme en nuages,

Mon extérieur perd beaucoup son plumage.

En effet, la maladie me vieillie.

Un repos après m’être recueillie.

 

 

© Louise Hudon, 10 avril 2024.


 

 

***

 

 

Pour citer ce poème inédit

 

Louise Hudon, « Perdue dans la brume », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques :  HIVER-PRINTEMPS 2024 | NO I « Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes », 1er Volet, mis en ligne le 18 avril 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/megalesia24/hudon-perduedanslabrume

 

 

 

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16 avril 2024 2 16 /04 /avril /2024 17:08

N° I | HIVER-PRINTEMPS 2024 | Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes / 1er Volet | Dossier mineur | Florilège / Poésie des aïeules | Biopoépolitique | Poésie & philosophie & REVUE ORIENTALES (O​​) | N° 3 | Créations poétiques​​​​​

 

 

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La traite des noirs

 

 

 

 

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Marie-Laure [Gronardty-]Grouard

Poème choisi, transcrit, accompagné d’une brève présentation & d'une photographie de la poète par

Dina Sahyouni 

 

 

​​​​​© Crédit photo : Image de la lithographie signée Auguste Bry du portrait pictural de la poète Marie-Laure. Cette photographie a été prise par DS. en mars 2023 du recueil intitulé Essais en prose et poésies [par Marie-Laure] ; recueillis, publiés et précédés d'une notice biographique par M. Théodore de BANVILLE, Suivis de lettres...Version de l'image no 1.

 

 

Dite Marie-Laure, est une femme de lettres du XIXsiècle. Méconnue et peu étudiée, elle a laissé toutefois des écrits qui méritent notre attention au moins pour ce style affirmé et original qui les caractérise. Née Marie-Laure Gronardty-Grouard à Paris en 1822 (le 15 janvier), elle compose ses poèmes et proses sous son prénom composé Marie-Laure et décède bien jeune à Familly en 1843, emportée le 8 juillet par la tuberculose. On a d'elle : Les Églantines, W. Coquebert, 1843 et GROUARD, Marie-Laure (dite Marie-Laure), Essais en prose et poésies [Marie-Laure] ; recueillis, publiés et précédés d'une notice biographique par M. Théodore de BANVILLE, Suivis de lettres par MM. Chateaubriand, Jules Janin, Sainte-Beuve et mesdames Desbordes-Valmore, Amable-Tastu, Paris, Jules LABITTE, MDCCCXLIV/1844.

© DS., juin 2023.

 

 

La traite des noirs

 

 

Oh ! pourquoi vendaient-ils leurs frères ?

Pourquoi sur eux tant de mépris ?

Pourquoi tant de plaintes amères ?

Comme l'habit du Christ pourquoi les mettre à prix ?


 

La mort les épargnera-t-elle,

Ceux-là qui mettent l'homme au rang des animaux ?

Sera-t-elle donc moins cruelle ?

Et pourront-ils penser, sentir dans leurs tombeaux ?

Mais seront-ils donc plus qu'un reste de poussière

Par quelques siècles épargné ?

Pourront-ils retarder la mort, l'heure dernière ?

Oh ! non : quand Dieu le veut, bientôt ils ont régné ;

Bientôt ils ont suivi le destin qu'il faut suivre ;

Les enchaîneurs de liberté

Peuvent faire mourir, mais non se faire vivre

Par-delà le temps limité.


 

Rampez-vous toujours courbés au joug infâme ?

Hommes... ramperez-vous dans la fange traînés ?

Près d'eux resterez-vous plus lâches que la femme,

Ou pareils aux chevaux à leur char enchaînés ?

Pour entasser de l'or dans leurs mains déjà pleines,

Dites, ramperez-vous devant des étrangers ?

Non ; pour votre pays sillonnez seuls les plaines,

Votre brûlant pays aux forêts d'orangers,

Et ne vous courbez pas sous leur vil esclavage ;

Hommes, comme eux levez vos fronts,

Et que sur votre ardent rivage,

De ces tyrans maudits, rejetant les affronts,

Ensemble vous disiez : Vengeance aux vendeurs d'hommes !

Qu'ils soient attachés au malheur !

Qu'ils soient vendus aussi, qu'ils soient ce que nous sommes !

Qu'à leur tour ils disent : Horreur !

Mieux vaudrait errer sans patrie

Que d'être sous leur joug avec l'âme flétrie !


 

Pour étancher ta soif, pour apaiser ta faim,

Viens dans notre pays, viens, nos coups sont pleines,

Viens, esclave, avec nous partager notre pain ;

Pour le trouver ici tes mains seront sans chaînes...

De l'homme libre, ami, prends la noble beauté ;

Que ton âme bientôt heureuse,

De l'outrageant passé devenant oublieuse,

Sente en elle une voix qui dise : Liberté !


 

Mais pourquoi vendaient-ils leurs frères ?

Pourquoi sur eux tant de mépris ?

Pourquoi tant de plaintes amères ?

Comme l'habit du Christ pourquoi les mettre à prix ?*

 

 

* Orbec, Décembre 1839, III, pp. 387-390.

 

© Crédit photo : Image de la lithographie signée Auguste Bry du portrait pictural de la poète Marie-Laure. Cette photographie a été prise par DS. en mars 2023 du recueil intitulé Essais en prose et poésies [par Marie-Laure] ; recueillis, publiés et précédés d'une notice biographique par M. Théodore de BANVILLE, Suivis de lettres...Version de l'image no 2.

 

 

Le texte versifié ci-dessus est un poème humaniste et engagé politiquement pour l'abolition de l'esclavage. Il provient de l'ouvrage tombé dans le domaine public de GROUARD, Marie-Laure (dite Marie-Laure), Essais en prose et poésies [Marie-Laure] ; recueillis, publiés et précédés d'une notice biographique par M. Théodore de BANVILLE, Suivis de lettres par MM. Chateaubriand, Jules Janin, Sainte-Beuve et mesdames Desbordes-Valmore, Amable-Tastu (Paris, Jules LABITTE, MDCCCXLIV/1844, « III », pp. 387-390). La jeune et talentueuse poète Marie-Laure était atteinte de tuberculeuse, sa disparition prématurée a mis fin à sa capacité poétique de marquer son siècle par sa poésie très dense et partiellement gnomique. Ce poème intitulé « La traite des noirs » donne à voir une réflexion humaniste, philosophique, éthique, biopolitique et gnomique en forme de versification sur des problématiques comme l'esclavage, l'inégalité entre les humains, l'exploitation capitaliste des humains par les humains et le racisme. La poésie permet à la jeune poète de s'indigner, de se révolter et d'affirmer son refus total de l'exploitation servile d'un l'humain par son semblable en se basant sur la différence physique ou ethnique des personnes pour justifier l'existence des races humaines inégales, l'esclavage et le racisme. Elle défait dans ce beau poème les motifs superficiels qui racisent des humains au profit des dogmes de la pseudo-science racisalisante et raciste de son époque comme celle des siècles passés... Elle s'oppose au crime abject de la marchandisation des êtres humains et à leurs servitudes et asservissements. Son universalisme égalitaire transparaît sans concession. Cette poète abolitionniste et attachée à la pensée des Lumières fait plaisir à lire. Lisons, oui lisons ce poème et ses autres poèmes et écrits qui témoignent d'une grande âme au service de l'universalité des êtres humains et de leur égalité partout dans le monde.

 

© DS., juin 2023.

 

 

_________

 

 

Pour citer ce poème abolitionniste, gnomique & bipoépolitique de l'aïeule

 

Marie-Laure Grouard, « La traite des noirs », poème choisi, transcrit, accompagné d’une brève présentation & d'une photographie de l’autrice par Dina Sahyouni de GROUARD, [dite] Marie-Laure, Essais en prose et poésies [Marie-Laure] ; recueillis, publiés et précédés d'une notice biographique par M. Théodore de BANVILLE, Suivis de lettres... (1844), Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques :  HIVER-PRINTEMPS 2024 | NO I« Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes », 1er Volet & Revue Orientales, « Conteuses orientales & orientalistes », n°3, volume 1 mis en ligne le 16 avril 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/orientalesno3/megalesia24/ds-ml-traite

 

 

 

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26 mars 2024 2 26 /03 /mars /2024 16:00

N° I | HIVER-PRINTEMPS 2024 | Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes / 1er Volet | Muses au Masculin | Revue culturelle d'Europe​​​​​​​

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Vernissage de l’exposition photographique :

 

« Sur les traces de mon père »

 

à la Mairie du 8e arrondissement de Paris

 

 

 

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Reportage photographique

 

Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

 

 

© Crédit photo : Deux images de l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8e arrondissement de Paris.

 

 

 

La France n’a jamais cessé de fasciner et de séduire ses visiteurs de tous horizons. Cela dit, en été 1958, un jeune Suédois prénommé Erling Fransson est parti de Suède en voiture pour découvrir la France. Aussi a-t-il immortalisé des rues emblématiques de la Capitale comme Saint-Germain-des- Prés, Rue de L’Université, Le Quai d’Orsay, L’Avenue Charles de Gaulle entre autres par la magie de son objectif photographique. Cinquante ans plus tard, son fils Erik Wickström est revenu sur ses traces pour lui témoigner sa gratitude, en faisant le même geste. Une façon de rendre hommage à ce père qui lui a transmis un héritage inestimable : ses valeurs altruistes.

 

© Crédit photo : Une image du carton d'invitation du vernissage de l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8e arrondissement de Paris.

 

 

Cette exposition met en miroir les photographies du père, Erling Fransson et du fils, Erik Wickström sur les mêmes lieux à cinquante ans d’intervalle.  Erling Fransson portait un regard sensible sur la vie parisienne avec des personnages en situation. Le temps a passé et les lieux ont évolué.  « Ô temps suspend ton vol… ! »

 

© Crédits photos : Images de l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8e arrondissement de Paris.

 

 

En bas chaque photo on peut lire les savoureux textes poétiques du poète Christian Morel de Sarcus en guise de commentaires.

L’exposition dure du 5 au 16 mars 2024.

 

© Crédit photo : Images de l’intérieur de la Mairie du 8e arrondissement de Paris, la deuxième photographie montre une statue des trois Grâces.

 


Suite du reportage photographique 

 

 

© Crédit photo : Une Photographie par Ingrid Hoffmann, « Christian Morel de Sarcus » de l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8e arrondissement de Paris.

 © Crédit photo : Le père & le fils dans l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8e arrondissement de Paris.

© Crédit photo : Un des poèmes commentant la photographie dans l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8e arrondissement de Paris.

© Crédit photo : Présentation biographique des trois personnalités exposées dans l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8e arrondissement de Paris.

© Crédit photo : Itinéraire parisien du père et du fils, image de l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8e arrondissement de Paris.

 

© Crédits photos : Des images prises lors du vernissage de l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8e arrondissement de Paris.Photo avec les deux hommes, de gauche à droite:  Erick Wickström et Christian Morel de Sarcus

 

 © Crédits photos : De gauche à droite : Erick Wickström et Christian Morel de Sarcus dans l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8e arrondissement de Paris.

 

 

© Maggy DE COSTER, mars 2024.

 

***

 

 

Pour citer ce reportage photographique inédit

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Maggy De Coster (texte & reportage photographique), « Vernissage de l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8arrondissement de Paris », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° I | HIVER-PRINTEMPS 2024 | « Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes », 1er Volet, mis en ligne le 26 mars 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noi/mdc-vernissage

 

 

 

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