10 décembre 2024 2 10 /12 /décembre /2024 16:43

N° IV | AUTOMNE 2024 | NUMÉRO SPÉCIAL 2024 | Les femmes poètes européennes par Lya Berger (1877-1941) | 1er Volet | Florilège des poèmes primés au Concours féministe de « Poèmes engagés & féministes pour le 25 novembre 2024 » 

 

 

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Silence

 

 

 

 

Poème primé de

 

Sandrine Malika Charlemagne

 

Autrice  & documentariste

 

 

Crédit photo : Hélène Schjerfbeck (1862–1946), « Silence », peinture tombée dans la domaine public.

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Ce poème évoque l"inceste dans l'enfance.

 

 

 

Quand elle pense au silence qu’elle a gardé

Ces mains sur sa peau qui n’étaient pas désirées

Ses cris coincés dans la gorge de l’innocence

Dans cette chambre où piégée s’étendait la nuit

 

Quand elle pense à ses jambes figées par la peur

Petite poupée raidie dans son lit d’enfant

Les yeux épinglés au grand trou noir de la pièce

Les lèvres scellées comme par un fil de métal

 

Quand elle pense à la geôle si dure à briser

Par ce flot de paroles si lourd à porter

Empêtrée engluée dans la boue du silence

Si petite sans parvenir à se lancer

 

 

 

Crédit photo : Johann Heinrich Füssli, « Silence », peinture tombée dans la domaine public.

 

 

Quand elle pense à la sourde culpabilité

À ce que plus tard il lui faudrait encore taire

Pour ne rien réveiller du silence oublié

Ou d’être juste la proie de la suspicion

 

Alors quand elle pense au silence de l’enfance

Elle ne voudrait jamais revivre le passé

Mais seulement cueillir la beauté du présent

Et se laisser guider par l’étoile du futur

 

© Sandrine Malika Charlemagne

 

 

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Pour citer ce poème engagé & inédit pour l'élimination des violences sexuelles 

 

Sandrine Malika Charlemagne, « Silence », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : AUTOMNE 2024 NUMÉRO SPÉCIAL | NO IV | « Les femmes poètes européennes par Lya Berger (1877-1941) », 1er Volet, mis en ligne le 10 décembre 2024. URL  :

http://www.pandesmuses.fr/noiv/smc-silence

 

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9 décembre 2024 1 09 /12 /décembre /2024 18:14

N° IV | AUTOMNE 2024 | NUMÉRO SPÉCIAL 2024 | Les femmes poètes européennes par Lya Berger (1877-1941) | 1er Volet | Florilège des poèmes primés au Concours féministe de « Poèmes engagés & féministes pour le 25 novembre 2024 » & REVUE ORIENTALES (O) | N° 4-1 | Créations poétiques

 

 

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Corps couvert & cœur à nu

 

 

 

 

 

Poème primé 2024 de

 

Lydia Kowicz Loriot

 

 

 

 

 

​​Crédit photo :  « Peinture traditionnelle d’une femme perse portant une coupe de vin, Comme dépeinte au palais de Hasht Behesht, Ispahan, Iran, XVIIe siècle », fournie par l'autrice & libre de droits.

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Elle avançait, les yeux baissés

Le regard tourné vers l’intérieur de son cœur

Elle avait là un espace de Liberté

Qui restera à jamais un endroit privé

Jadis avec ses amies, elle bavardait joyeusement

Se livrant comme seules font les filles

« Gloussant », riant pour des riens innocemment

Sans doute la suite de l’enfance, des restes d’insouciance

 

 

*Puis le rideau noir est tombé cachant la lumière

Les menaces du père, du frère se firent plus pressantes encore

Mainmise et pouvoir devinrent pesants

Non sans lutter, elle se couvrit la tête et le corps

 

 

Elle se couvrit si bien qu’elle se perdit de vue

Une tristesse profonde l’envahit et mit son cœur à nu.

Elle vit ce cœur blessé et souffrant

Palpitant dans un chiffon noir bousculé par le vent

Puis lentement devant un miroir

La silhouette noire leva le poing

Un jour viendra la Liberté, se dit-elle,

Et l’esclavage sera très loin !

 

© Lydia Kowicz Loriot

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Pour citer ce poème, féministe, engagé pour la cause des Iraniennes & inédit

 

Lydia Kowicz Loriot​, « Corps couvert et cœur à nu », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : AUTOMNE 2024 NUMÉRO SPÉCIAL | NO IV | « Les femmes poètes européennes par Lya Berger (1877-1941) », 1er Volet, & Revue Orientales, « Déesses de l'Orient », n°4, volume 1, mis en ligne le 9 décembre 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/orientalesno4/noiv/lkl-corpscouvert

 

 

 

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5 décembre 2024 4 05 /12 /décembre /2024 10:49

N° IV | AUTOMNE 2024 | NUMÉRO SPÉCIAL 2024 | Les femmes poètes européennes par Lya Berger (1877-1941) | 1er Volet | Dossier mineur | Articles & Témoignages | Poésie, Musique & Arts visuels / Poésie visuelle & Revue Orientales | O | N° 4 | Critiques poétiques & artistiques

 

 

 

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Faïrouz pour l'éternité

 

 

 

 

Chronique & portrait pictural par

 

Mustapha Saha

 

Sociologue, artiste peintre & poète

 

 

© Crédit photo : Mustapha Saha, Portrait de « Faïrouz », peinture sur toile.

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Paris. Mercredi, 20 novembre 2020. La chanteuse libanaise Faïrouz, de son vrai nom Nouhad Haddad, est née le 20 novembre 1934. Elle a quatre-vingt-dix ans aujourd’hui. Faïrouz signifie en arabe turquoise, le vert et le bleu, la terre, la mer et le ciel, la nature dans sa splendeur qu’elle louange sur un poème de Gibran Khalil Gibran,  Aâtini Al Nay Wa Ghanni. La voix de Faïrouz s’élève crescendo, s’envole, s’insuffle de lyrisme ensorceleur. « Prête-moi ta flûte et chante. La chanson de l’existence. Les larmes attachantes. Quand pointe la pénitence. Déserte les fastueux manoirs. Habite les bois sauvages. Fuis les mortels laminoirs. Pour inaccessibles rivages. Étends-toi près d’un cépage. Bois son nectar dans ta main. Déguste ton livre page par page. Sans penser au lendemain. Offre-toi vital intermède. Endors-toi sous tranquille bouleau. Oublie le mal et son remède. La destinée n’est qu’une ligne sur l’eau » (Adaptation personnelle en français). 

Faïrouz chante la Palestine génocidée, le Liban homicidé, la Terre sainte fratricidée.  Elle incarne l’âme arabe, au-delà des confessions, des générations, des frontières. Elle chante pour les peuples, non pour les dirigeants. En janvier 2023, elle assène une gifle magistrale aux  autorités saoudiennes au nom des droits humains. Elle refuse de s’associer au concert du siècle, regroupant, moyennant des valisettes de dollars, les stars arabes de la chanson, les libanaises Nancy Ajram et Elissa, les syriens Georges Wassouf et Assala Nasri, la tunisienne Latifa Afraoui, qui remplissent les théâtres et les stades à chaque prestation.  Pendant la guerre civile libanaise entre 1975 et 1990, elle reste à Beyrouth déchiré par les roquettes. Légende vivante, elle impose le respect à toutes les parties.

Au répertoire de Faïrouz, les grands poètes, Gibran Khalil Gibran (1883-1931), Ahmed Chawki (1868-1932), Saïd Akl  (1912-2014). Elle passe rarement sur scène. Son dernier concert remonte à 2011. Ses compositeurs, son époux Assy Rahbani, son beau-frère Mansour, Rahbani, son fils Ziad Rahbani dépoussièrent le folklore arabe avec des comédies musicales, des opérettes politiques, des sonorités latino-américaines, jazzy. Ils brassent allègrement mélopées traditionnelles, harmonies symphoniques, rythmes africains. S’anticipe la World Music, dès 1957, dans le légendaire concert au milieu des ruines de Baalbek, réédité, par bonheur, en 2020. En 1959, s’exacerbent les sortilèges moyen-orientaux dans Ya Maleya Ala ghossoun, sur rythmique boléro. La magie vocale de la diva s’agrémente, par la suite, d’airs de flamenco, de tango, de mambo. Les imams crient au sacrilège. L’inspiration vient peut-être du film Et Dieu créa la femme de Roger Vadim avec la danse endiablée de Brigitte Bardot. Le sex-symbol ne se montre pas. Il se vocalise. 1964, La voix de Faïrouz s’élève crescendo, s’envole, s’insuffle de lyrisme ensorceleur. Après la défaite de 1967, Chanson mythique à Jérusalem, Al Qods, La Fleur des cités. Nous reviendrons un jour, hymne de la cause palestinienne. Depuis le génocide des gazaouis et le déluge de bombes sur le territoire libanais,  les internautes inondent les réseaux sociaux de chansons de Faïrouz.

 

En juillet 1970, Faïrouz se produit à Rabat et à Casablanca. Elle crée une chanson à la gloire du peuple marocain, jamais audiovisuellement diffusée. Il serait opportun de remettre en circulation cette rareté. 

 

© Mustapha Saha

 

 

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Pour citer cet hommage illustré & inédit 

 

Mustapha Saha (texte & peinture), « Faïrouz pour l'éternité », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : AUTOMNE 2024 NUMÉRO SPÉCIAL | NO IV | « Les femmes poètes européennes par Lya Berger (1877-1941) », 1er Volet & Revue Orientales, « Conteuses orientales & orientalistes », n°3, volume 1, mis en ligne le 5 décembre 2024. URL  :

http://www.pandesmuses.fr/orientalesno4/noiv/ms-fairouz

 

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28 novembre 2024 4 28 /11 /novembre /2024 15:45

N° IV | AUTOMNE 2024 | NUMÉRO SPÉCIAL 2024 | Les femmes poètes européennes par Lya Berger (1877-1941) | 1er Volet | Critique & réception | Dossier mineur | Articles & Témoignages

 

 

 

 

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Sophie Brassart, « Geste de toile »,

 

 

Éditions du Cygne, Paris 2024, 49 pages, 12€

 

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Témoignage par

Maggy de Coster

 

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

 

© Crédit photo : Première de couverture illustrée du recueil de poèmes de Sophie Brassart, « Geste de toile », Éditions du Cygne, 2024.

 

 

Geste de toile serait–il un avatar de la Chanson de geste ou une Chanson de toile revisitée ? S’agit-il de l’esthétique des formes picturales qu’épouse la toile de la peintre qu’est Sophie Brassart de concert avec les muses ?

 

Geste de toile semble plutôt expliquer un acte de générosité en phase avec un être d’une grande sensibilité et qui se trouve bouleversé par les revers de l’existence : 

 

«  J’apportais du pain au vieux voisin

qui souriait, sans raison, le manque

d’amour est-il lumière »

 

Le sourire est sans doute salutaire en ce sens qu’il atténue le manque d’amour.

Ce recueil de poèmes est ponctué de séquences en italique comme pour dédoubler l’artiste peintre de la femme poète. 

Avec ce recueil de poèmes finement brodés au fil soyeux de son inspiration, Sophie Brassart nous offre une parole poétique à décrypter. Cela dit, elle plonge dans un macrocosme et en sort des particules de vérités qu’elle soumet à notre compréhension. C’est un parcours chargé de symboles et d’énigmes à résoudre.  

 

« J’épluche une pomme

Qu’elle fasse le lien entre toi et moi »

 

Cette pomme n’est pas celle de la discorde mais peut-être la symbolique d’un être dénudé corps et âme se languissant de l’âme sœur.

 

« Et le silence au large, 

la mort des larmes

& nos mains, nos mains n’avaient ni jour ni nuit »

 

Notons la culture du silence dans ce recueil, un silence qui peut revêtir un double sens, c’est-à-dire qu’il suscite d’une part la créativité et d’autre part la consternation.

Ce silence résonne dans le creuset de l’absence : 

 

« & cette absence claire

Comme une pièce

que je ne pourrai déplacer »

 

L’absence est ici synonyme de vide qui est l’évocation d’une perte. Et c’est dans l’absolu du silence qu’on noie sa peine.

Tout est vide en elle et autour d’elle :

 

«  Alors le vide s’enroule et s’ouvre en moi »

«  La ville où le vide/ déchire une affiche »

 

La mort n’est pas seulement l’expiration d’une âme sœur mais aussi l’expiration d’une séquence de vie amoureuse : 

 

« Parfois aimer

C’est savoir que le mur de granit

– encore pubère

remet à chaque instant ce viatique :

Linge frais clapote au vent »

 

Ne sommes-nous pas sur cette terre « des oiseaux de passage » qu’elle évoque dans le recueil:

 

« J’étais traversée par les deuils et des craintes

Ce qui ouvre la place des océans »

Même si elle ne peut «  défaire / le cours prosaïque des choses », elle reste cette créature qui porte en elle le germe de la résistance : 

 

« Je traverse les pierres »

 

Belle métaphore pour  symboliser les difficultés de l’existence, la rudesse de la vie.

 

© Maggy DE COSTER

Liens DE RÉFÉRENCE :

*http://www.editionsducygne.com/editions-du-cygne-geste-de-toile.html

**http://www.editionsducygne.com/editions-du-cygne-sophie-brassart.html

 

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Pour citer ce texte inédit 

 

Maggy De Coster, « Sophie Brassart, « Geste de toile », Éditions du Cygne, Paris 2024, 49 pages, 12€ », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : AUTOMNE 2024 NUMÉRO SPÉCIAL | NO IV | « Les femmes poètes européennes par Lya Berger (1877-1941) », 1er Voletmis en ligne le 28 novembre 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noiv/mdc-brassart-gestedetoile

 

 

 

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