11 mai 2020 1 11 /05 /mai /2020 15:47

Megalesia 2020 | Handicaps & diversité inclusive

 

 

David est ton nom

 

&

 

Le cri silencieux

 

 

 

 

Claudia Piccinno

 

 

David est ton nom

 

(poème dédié à un enfant autiste)

Où est arrêté ton regard, David ?

Tu trébuches en détail pour ne pas voir le tout.

Il n’est pas facile de déchiffrer la boussole de sens

dans ce chaos de stimulus sociaux.

Et comment je soutiendrai la récompense

de cette biologie gênante ?

Respectez la connexion défaillante

entre tes capacités sensorielles

c’est un effort immense pour nous, ainsi appelé normal.

Couvrir par les gestes l’attention partagée,

s’efforcer à expliquer une demande,

ce sont des buts clairs dans ma tête.

David est ton nom,

pour moi tu n’es pas un diagnostic

ni variante ni défaut de l’architecture génétique,

attente sans surveillance,

intervention précoce ou tardive,

plasticité cérébrale compromise,

trouble du spectre.

David est ton nom

l’enfant qui aime le détail…

Je vais me voiler de ton regard,

Je vais écouter ta stéréotypie confuse,

Je descendrai pour chercher l’objet qui t’attire

Je vais raccourcir la distance

qui te tient relégué dans une chambre.

 

 

 

Le cri silencieux


 

Brûle ce mal

atavique, immérité,

pleure l’âme de

mère dans le cri silencieux,

la patience faiblit,

sa force s’élève

des cendres.

Nous sommes ensemble

encore une fois,

chose donnée à coup sûr

pour le plus,

pas pour nous

qu'après la nuit

nous avons rêvé de la lumière.

Et nous sommes ici

dans le cône d’ombre

de mes peurs,

dans le sillage lumineux

d’une nouvelle aurore…

nous attendons

que le jour s’exprime.

 

 

 

​​​​​***

 

Pour citer ces poèmes


Claudia Piccinno , « David est ton nom »« Le cri silencieux », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Megalesia 2020, mis en ligne le 11 mai 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/megalesia20/piccinno-poemes

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Megalesia
11 mai 2020 1 11 /05 /mai /2020 14:31

 

REVUE MDV | N°1 | Célébration | Anthologie 

 

 

 

 

Prosopopée

 

Les Confidences de

 

Marceline Desbordes-Valmore​​​​​​

 

 

 

Maggy de Coster

​​​​Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

Crédit photo : "Marceline Desbordes-Valmore", domaine public.

 

 

MDC : Mais à quoi pensez-vous Marceline Desbordes-Valmore? 

 

MDV : À ce « Jeune homme irrité ». « Regarde-le » !

Il est abandonné par « La jeune châtelaine » à « La couronne effeuillée ». « L’amour » est pour lui « Le bouquet sur la croix ».

« Le Luxembourg » fut le lieu de leur « Dernière entrevue ». Hélas !

 

MDC : À vous lire, on sent que vous êtes profondément marquée par le sort.

 

MDV : « La voix d’un ami » apporte la consolation à « La mère qui pleure » sa petite « Inès » en cet « Hiver » où « J’avais froid ». Pas « Un cri » ne sortait de ma gorge mais une petite voix singulière résonnait en moi : « Pourquoi » ?

Dans ma cuisine  « L’horloge arrêtée » marqua  un «  Point d’adieu » en ce   « Moment » funeste de sa « Veillée » où «  Les cloches  du soir » brisent  « L’espoir » et célèbrent où  « L’innocence » terrassée ».

J’avais remué ciel et terre pour épargner du trépas « La fleur d’enfance » mais « Trop tard » !

 

MDC : Vous auriez vécu à Rouen, me semble-t-il ? 

 

MDV : « Quand le fil de ma vie » s’est rompu « À Rouen, rue Ancrière », « Crois-moi », ma chère, je cuvais ma « Solitude » dans la « La maison de ma mère ».

On s’est rencontrés un « Soir d’été » dans « Une ruelle de Flandre » « Toi qui m’as tout repris », « Toi », « Le ver luisant », « Ne fuis pas encore » ? Je t’accorde « Le pardon », je suis « L’âme errante », « Le soir » où « L’enfant au miroir » écoute en silence chanter « Le rossignol aveugle » alors que « Les cloches et les larmes » achevèrent « Le rêve d’une femme » cherchant « L’oreiller d’un enfant » comme « Refuge ».

Je suis « Le papillon malade » dans « Le nid solitaire ». Je caresse au quotidien « Le souvenir » de « L’entrevue au ruisseau » avec « Le premier amour » de ma vie dont j’ai gardé « Le portrait » dans un médaillon. J’ai composé une « Prière pour lui » trop tôt parti. « Son image » hante en permanence mon esprit. Et c’était bien en pensant à lui que j’ai écrit « Les roses de Saadi ».

 

MDC : On dirait aussi que vous êtes une éternelle amoureuse en quête incessante du grand amour. 

 

MDV : Moi, « La sincère », » « La fidèle » « La rose flamande » qui annonce « Le beau jour » et égaye « Le coucher du petit garçon », « À l’amour » de mon bien-aimé, je croyais si fort que je lui construisais dans mes rêves « Un arc de triomphe » pour fêter « Son retour » mais hélas ce n’était que peine perdue. « Un billet de femme » ou « Une lettre de femme » sans destinataire fixe est « l’Aveu d’une femme » qui moisit dans la « Tristesse ».

Moi, « La sincère », » « La fidèle » « La rose flamande » qui annonce « Le beau jour » et égaye « Le coucher du petit garçon », « À l’amour » de mon bien-aimé, je croyais si fort que je lui construisais dans mes rêves « Un arc de triomphe » pour fêter « Son retour » mais hélas ce n’était que peine perdue. 

« Le réveil » fut brutal ce matin après un long cauchemar ! Mon cœur sursautait dans ma poitrine. « S’il l’avait su », là où il est !

« Je l’ai promis » je n’irai plus jamais avec un autre sur les sentiers où nous avons cheminé ensemble mais « Sans l’oublier », je continuerai ma route autrement.  Eh oui, « Tu n’auras pas semé » des graines pour rien.

« La Cigale » et « Le grillon » se sont tour à tour posés ce matin sur « L’églantine » qui borde mon jardin, ils inauguraient « La lune des fleurs » et « Le rendez-vous avec « L’imprudence » m’a valu une piqûre d’épine en taillant la plante sans porter de gants. 

 (Elle part dans un monologue)

 

MDV : « Plus de chants » ! « Regret » ! « Renoncement » ! « Simple histoire » ! « Je ne sais plus, je ne veux plus » boire la coupe de « l’impossible » jusqu’à la lie.

« Avant toi », je me confiais « À ma sœur Cécile », mon double et « Aux trois aimés ».  

« La ronce » plantée dans mes pieds, c’est toi, toi qui  me martelais sans cesse : « Malheur à moi », t’en souviens-tu ? « Les éclairs » jaillissaient de tes yeux courroucés. 

Oh ! ma « Croyance » ! « Dors-tu ? »  « Dors bien ! »

« Le dernier rendez-vous » avec « L’ami d’enfance » eut lieu devant « l’Église d’Arona » où  nous avions déposé chacun « Les roses » que nous avions apportées en remerciement de nos vœux  respectifs exaucés. « Allez- en paix » ! nous disait, un prêtre en tenue de ville en partant. 

Ah ! « L’amour » ! « Amour, divin rôdeur » nourrissant « Le secret » de   « L’attente » !

(Après un instant de silence, elle me lance) : 

 

MDV : « La fleur d’eau » ne croît qu’à la lumière du jour !  Je veux me retirer « Un moment » dans « Ma chambre » et je te reviendrai tout de suite.

(Je l’entends soliloquer)

 

MDV : Ô « Fierté, pardonne-moi ! »  « Ame et jeunesse », « Qu’en avez-vous fait (les séparés) ? « Un jour d’Orient » J’ai vu « L’esclave et l’oiseau », « Les deux amitiés » fuir « Loin du monde ».

Qu’en est-il de «  La jeune fille et le ramier » ? Les avais-je vu en rêve ou s’agit-il de vagues réminiscences ? « Au livre de Leopardi » je rendrai gloire. Ainsi je serai sur la route de l’Infini.1

 

 

 

NDLR : Ce texte est réalisé à partir des titres des poèmes de Marceline Desbordes-Valmore.

 

Note

1. L’Infini est le titre d’un poème célèbre de Giacomo Leopardi.

 

 

Pour citer ce texte

Maggy de Coster, « Prosopopée. Les Confidences de Marceline Desbordes-Valmore »Marceline Desbordes-Valmore|Revue annuelle, internationale, multilingue & poéféministe« Célébration », n°1, mis en ligne le 11 mai 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/periodiques/mdv/no1/prosopopee

 

 

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REVUE MDV - dans REVUE MDV
10 mai 2020 7 10 /05 /mai /2020 15:43

Megalesia 2020 | Artistic, poetic and feminist interviews / Megalesia 2020 | Entretiens artistiques, poétiques & féministes

 

 

Interview with

 

Claudia Piccinno

 

 

 

Tatjana Debeljački

 

​​​​​​​© Crédit photo : "Claudia Piccinno", image fournie par Tatjana Debeljački.

 

 

Tatjana Debeljački – Generally speaking, what advice would you give us about author’s temptation ? Please provide an example of “what not to do ?”

 

Claudia Piccinno I think an author should not  write without a research work, he should not  follow a literary trend, but his heart and mind, last but not least he should not use socials as a dustbin.

 

TD – Balance of scenery of desire and ambition, beauty “secret” of success ? 

 

CP  Success ? I believe success is easy when you do what you like, so if you follow your dreams, soon or later you’ll succeed, but this does not mean you’ll become more rich or powerful, success is a self development, according to our desires.

 

TD – Creation aims to leave a mark, the mark of faith in people and humanity, and this faith does not leave you ? 

 

CP  A true artist always believes humanity has a second chance to realize herself in a better way, if mind and religion are not enough to survive, we have to look for Art. This faith in Art as an escape device for humanity helps me to trust again after each disappointment, so my research of beauty is my faith.

 

TD – Do you express ease of writing, the dominance of passion and culmination ?

 

CP  No true poet can write a poem without passion or culmination. We can write some reflections, a description, a shopping list, but not a poem. I need to be angry, or sad, or disappointed, or surprised to write a good poem.

 

TD – On the wings of the intimate, radiant empires remain in the curiosity of an author ? 

 

CP  Yes, I agree with you, my curiosity is first of all about my soul, nevertheless we should  look around too. We should listen the needs of marginality and we have the moral duty to give them a voice.

 

TD – Do you feel that your writing process is continually evolving, or have you found a way for your memory to always readily work for you ? 

 

CP  Writing style changes according to our life and to our readings, so fortunately, it is always in progress, anyway my usual technique is: observing, feeling, taking notes.

 

TD – All poets were a little scared with insomnia in them ? 

 

CP  I’m not. Indeed as the Italian poet Alda Merini wrote:” Poets usually work at night”, so do I.

When I can’t sleep, I get up, I make my relaxing herbal tea and I sit to my desk with a copybook.

 

TD – Who is Claudia Piccinno, in a civilization and also in the artistic sense of consciousness and conscience ? 

 

CP  I’m first of all a teacher, I try to live according my conscience in each step of my daily routine, at school with my pupils, at home with my family. Not always I have consciousness of my mistakes, but when I realize I was wrong, I try to apologise.

 

TD – What inspires you most when writing ? 

 

CP  Life is our teacher; migrants troubles, handicap diseases, cancer, environment pollution and similar topics are in my lyrics.

 

TD – Have you ever been tempted to return and change your potential ? 

 

CP Sometimes I think that too sensitiveness is a kind of curse, because every feeling is amplified, but in the same time it is the real source of my talent. An italian proverb recites: those born round, can not die square.

 

TD – Do you enjoy with all senses with experience and passions of the gift ? 

 

CP  Yes of course, I live my gift with the same intensity, in best time as in worst time.

 

TD – What can we expect from you in the near future on the creative agenda ?

 

CP – My poetry book Hypothetical landing has just been translated into French, Macedonian, and Serbian language; it will be published into Arabic language in the Emirates, and in German and Spanish language too. But a great cooperation makes me happier: Albanian poet Agron Shele and I are next to launch an Italian book together. Title is Rime Sparse : il suono di due voci poetiche del Mediterraneo. 

I really believe that true Art makes people as brothers and sisters, no envy is possible when you trust your talent.

 

Portrait de Claudia Piccinno par Tatjana Debeljački :

 

Le regard de Claudia Piccinno est ample et circulaire. Elle se soucie du sort des moins fortunés, des réfugiés de guerres, des immigrants, des malades et des gens sans défense, malheureux et souffrants. 

Sa compassion, grande et enveloppante, ne vient pas seulement du cœur mais aussi de la raison. 

Avec sa plume délicate et maniée habilement, l’auteure s’exprime avec beaucoup d’humanité sur les maux de la société. Ses mots parviennent à nous toucher, grâce à sa narration toujours parfaite et modulée, loin des tons de rhétorique.

 

​​​​​***

 

To quote this  poetic interview/ Pour citer cet entretien poétique


Tatjana Debeljački, « Interview with Claudia Piccinno », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Megalesia 2020, mis en ligne le 10 mai 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/megalesia20/claudiapiccinno

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Megalesia
9 mai 2020 6 09 /05 /mai /2020 13:31

Megalesia 2020 | Chroniques de la pandémie de COVID-19 | Articles & témoignages 

 

 

 

À jamais confinés

 

Là-haut !* 

 

 

 

Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

​​​​​​​​​​Crédit photo : "Ciel bleu parsemé de quelques nuages blancs", domaine public, image de Wikimedia.

 

 

Gagnés par le Covid-19, ils étaient isolés dans les chambres d’hôpitaux, luttant pour leur survie, affalés sur le ventre ou sur le dos des jours durant, ils furent plongés dans un coma artificiel pour supporter l’épreuve de l’intubation sans espoir de retour à l’état de veille pour décrire à leurs proches leurs instants oniriques. Aucune visite ne leur était admise dans le couloir de l’incertitude dans lequel leur état les avait soumis.

La malchance finit par prendre le dessus. Projetés dans la zone de turbulence cytokinique, leurs corps cédèrent au passage du déluge qui remplira le Styx vers lequel ils allaient naviguer seuls sans avoir eu l’heur de dire au-revoir à leurs êtres chers sur terre confinés dans la tristesse et la difficulté d’un deuil. Tandis qu’eux, tout là-haut, ils resteront à jamais confinés. 

Nous les déconfinés en devenir, jurons de ne pas les enterrer dans l’impasse de l’oubli.

 

MDC

07-05-2020


 

*Version "neutre" selon les règles grammaticales en vigueur.

 

Version féminisée du texte

 

À jamais confinées

Là-haut

 

 

 

Gagnées par le Covid-19, elles étaient isolées dans les chambres d’hôpitaux, luttant pour leur survie, affalées sur le ventre ou sur le dos des jours durant, elles furent plongées dans un coma artificiel pour supporter l’épreuve de l’intubation sans espoir de retour à l’état de veille pour décrire à leurs proches leurs instants oniriques. Aucune visite ne leur était admise dans le couloir de l’incertitude dans lequel leur état les avait soumis.

La malchance finit par prendre le dessus. Projetées dans la zone de turbulence cytokinique, leurs corps cédèrent au passage du déluge qui remplira le Styx vers lequel elles allaient naviguer seules sans avoir eu l’heur de dire au-revoir à leurs êtres chers sur terre confinés dans la tristesse et la difficulté d’un deuil. Tandis qu’elles, tout là-haut, elles resteront à jamais confinées. 

Nous les déconfinées en devenir, jurons de ne pas les enterrer dans l’impasse de l’oubli.

 

MDC

07-05-2020

 

***

 

Pour citer ce témoignage

 

Maggy de Coster, « À jamais confinés Là-haut ! », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiquesMegalesia 2020|V - Chroniques de la pandémie de COVID-19mis en ligne le 9 mai 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/megalesia20/la-haut

 

 

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