19 août 2020 3 19 /08 /août /2020 09:43

Megalesia 2020 | Équinoxe | Poèmes, textes & chansons

 

 

 

Notes éparses sur ma mystique

 

 

 

Véronique Caye

 

 

© Horizon par Véronique Caye

 

 

Pour Barbara

 

 

 

L’odeur de l’herbe coupée

Le soleil à l’horizon

L’infini du paysage

Le lieu unique

La discrétion

La contemplation

 

Puis l’errance

Les territoires inconnus

Paris – ma ville – mon amour

Et Tokyo, Yokohama, Le Caire, Casablanca, Vittoriosa, Rome, Alger, Melbourne …

 

J’ai vu les héritages

Les passions fulgurantes 

Les rires étouffés

Les ruines

Les illusions

Les dogmes

Les frontières

L’effroi

La joie

 

Et partout, dans ces géographies habitées

Le désir

 

Souffle de l’humanité

Matière insaisissable

Intersection de l’homme et de la femme

Telle l’anguille qui se faufile

Le désir est mystère

 

Quel est ton secret, désir ? 

Quelle est ta mystique

 

J’enquête

Je lis les poétesses 

Et les poètes

Adonis

Ibn Arabi

Thérèse d’Avila

Georges Bataille

Paul Claudel

Dante

Lal Ded

Jean de la croix

Emily Dickinson

Marguerite Duras

Gérard de Nerval

Paul Eluard

André Gide

Hallâj

Friedrich Hölderlin

Pétrarque

William Shakespeare

Sei Shonagon

Spinoza

Lao Tseu

Hildegarde von Bingen

Salomon

Virginia Woolf

Simone Weil

Aby Warburg

Marguerite Yourcenar …

 

Je cherche la clé 

Je trébuche

Je m’épuise

Je recommence

J’oublie

Les normes

Les politiques

Les certitudes

Les conventions

Je m’évade de moi-même

Je m’affranchis

Je regarde

Je contemple

Je découvre

Et je comprends :

 

Le mystère est son proche chemin

Son unique but

 

Il est horizon des horizons

Il invente

Il métamorphose

Il accueille

Il rend intense le moindre instant

Il établit sa règle

Il est souffle

Mouvement

Mystique

Amour

Joie

Désir

 

Il est poesia

 

 

***

 

Pour citer ce poème

Véronique Caye, « Notes éparses sur ma mystique », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Megalesia 2020|IV-ÉQUINOXE sous la direction de Barbara Polla, mis en ligne le 19 août 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/megalesia20/equinoxe/veroniquecaye-mystique

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Équinoxe Megalesia
18 août 2020 2 18 /08 /août /2020 16:47

Megalesia 2020 | Poésie philanthropique | Faits divers & catastrophes en poésie | soutenir, s'indigner, lettres ouvertes, hommages, etc. 

 

 

 

 

Beyrouth en détresse

 

 

 

 

Barbara Polla

Site où elle publie régulièrement :

https://sarasvati.fr/

ou

https //womentoday.fr/

 

Blog officiel : 

https://barbarapolla.wordpress.com/

 

Site officiel de la Galerie :

https://analixforever.com

 

Texte reproduit avec l'aimable autorisation de l'autrice/auteure

 

 

 

© Dessin de Nabil Nahas

 

 

J’écrivais hier ici, à propos de risques et d’incertitudes : Le Liban souffre. Je venais de lire dans l’Orient le Jour la terrible lettre de Médéa Azzouri, lettre ouverte adressée aux dirigeants libanais, pleine de haine pour le « système » et pleine de désespoir amoureux pour le pays lui même. Et quelques heures plus tard, la double explosion à Beyrouth, qui fait une centaine de morts, des milliers de blessés, des dégâts dont je n’ai pas idée, et une pollution toxique qui semble brûler les poumons de ceux qui la respirent.

 

Parmi mes amies les plus chères, mes amis les plus chers, les artistes dont je suis le plus proche, il y a beaucoup de libanais. Ils m’ont invitée et fait connaître et aimer le Liban, Beyrouth et la montagne. Ce pays dont les montagnes surplombent la mer, dont les forêts offrent de l’ombre au soleil, un pays aussi généreux dans sa nature que ses habitants, un pays qui a surmonté la guerre, qui aujourd’hui semble plongé dans une triple misère : politique, financière et, à nouveau, traumatique.

 

À mes amis libanais, de cœur, à vous magnifiques artistes de ce pays en souffrance, à vous tous que j’aime, j’aurais presqu’envie de dire, aujourd’hui, je suis Beyrouth. Mais je suis au loin, protégée… alors je rêve que le Liban, une fois encore, grâce à vous tous, trouve la force et les moyens de recréer une démocratie pacifique, protectrice et respectueuse de chacun.

 

 

En hommage, ce cèdre doré, torturé, magnifique, que j’ai photographié dans l’atelier libanais de Nabil Nahas il y a quelques années…

 

 

***

 

Pour citer ce témoignage

 

Barbara Polla« Beyrouth en détresse », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiquesMegalesia 2020, mis en ligne le 18 août 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/megalesia20/bp-beyrouth

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Megalesia
14 août 2020 5 14 /08 /août /2020 16:50

Megalesia 2020 | Poésie philanthropique | Faits divers & catastrophes en poésie | soutenir, s'indigner, lettres ouvertes, hommages, etc. 

 

 

 

 

Nous n’avons à opposer à la mort et à la

 

destruction que cette pulsion de vie, si forte,

 

qui nous maintient

 

 

 

 

Barbara Polla

Site officiel :

https://sarasvati.fr/

Blog officiel : 

https://barbarapolla.wordpress.com/

 

Texte reproduit avec l'aimable autorisation de l'autrice/auteure

 

 

© Dessin de Hala Ezzedine

 

 

Ce sont Joana Hadjithomas et Khalil Joreige qui parlent, en 2012, avec Quentin Mével, à propos de leur film Je veux voir

 

Profondément émue par ce qui arrive au Liban et, entre autres, à Joana Hadjithomas, Khalil Joreige et leurs enfants (qui ont vu comme tant d’autres libanais leur appartement détruit, mais aussi leur atelier et leurs œuvres irrécupérables, qui ont vécu, surtout, l’angoisse d’avoir perdu Joana, par miracle saine et sauve) je me suis replongée dans la lecture du Cinéma de Joana Hadjithomas et Khalil Joreige, de Quentin Mével, et plus spécifiquement dans le chapitre consacré à Je veux voir, espérant y trouver, peut-être, quelques pistes de survie, à l’épouvante, à la mort (je viens d’apprendre le décès, parmi tant d’autres, d’un proche collaborateur de Saleh Barakat, qui était comme un frère pour Abdul Rahman Katanani) et à la destruction.

 

Les mots ci-dessous sont des extraits de ce livre, des paroles de Joana et Khalil, qui résonnent étrangement aux lendemains de la destruction de Beyrouth, suite à ce qui m’apparaît aujourd’hui comme un vaste homicide par négligence. 

 

Joana Hadjithomas et Khalil Joreige se reprojettent en 2006 : « La guerre éclate, une guerre d’une rare violence. Le pays est bombardé de façon incroyable. Des endroits sont rasés, totalement détruits. Nous étions à vif.

On est allés sur les lieux : hallucinés devant le degré de destruction. Fallait-il filmer ou pas ? Que pouvions nous faire ? Comment témoigner ? »

 

Le film cherche cela aussi : regagner du terrain, là où la violence a tout détruit. Quand le poids du réel est trop important, la fiction peut-elle réapparaître à nouveau ? Voilà le type de question qui nous occupait. La question pour nous était : que peut-on montrer ? Nous étions sur une brèche, celle de la catastrophe. Nous avions besoin d’Histoire. »

 

Le besoin de dire, d’échanger des images sur les réseaux sociaux, de se parler, de témoigner, répond à cette nécessité de dire l’horreur du monde, chacun à notre manière, pour la rendre à tout le moins compréhensible, dicible, regardable. Moi qui propose en ce moment même dans ma galerie Analix Forever une exposition sur la guerre en Syrie, dans l’idée, dans l’espoir ultramince de pouvoir donner cette guerre à penser au monde et de contribuer ainsi à sa fin, je suis particulièrement sensibilisée par les artistes de cette exposition à la nécessité du témoignage. Et comme le dit Frédéric Detue dans Fiction vs témoignage (Acta Fabula, 2012, 14, 5) : « Loin de s’opposer au témoignage, la fiction peut le relayer ; la fiction étant le mode du récit qui convient le mieux à l’expression de la hantise. »

 

Pour l’instant, nous sommes tous hantés.



 


 

Le dessin ci-dessus, qui me semble refléter cette hantise, est de Hala Ezzedine, une artiste de Beyrouth, qui devait venir en résidence à Analix Forever. Bientôt, je l’espère, ce sera possible.

 

***

 

Pour citer ce témoignage

 

Barbara Polla« "Nous n’avons à opposer à la mort et à la destruction que cette pulsion de vie, si forte, qui nous maintient" », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiquesMegalesia 2020, mis en ligne le 14 août 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/megalesia20/bp-pulsiondevie

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Megalesia
8 août 2020 6 08 /08 /août /2020 15:26

Megalesia 2020 | Philosophies & sagesses en poésie | III​​​​​​- Les figures des philosophes chez les écrivaines en Sciences humaines & sociales | Articles et témoignages

 

 

 

 

Pas dans le cul aujourd’hui

 

 

 

 

Barbara Polla

Site officiel :

https://sarasvati.fr/

Blog officiel : 

https://barbarapolla.wordpress.com/

 

Texte reproduit avec l'aimable autorisation de l'autrice/auteure

 

 

 

© Crédit photo :  Barbara Polla, "L'œuvre de Jana Černá​​​​​​, Pas dans le cul aujourd’hui", image artistique reproduite avec l'aimable autorisation de l'autrice/auteure.

 

 

 

Je suis d’abord tombée amoureuse de ce titre – même si Pas dans le cul aujourd’hui était initialement le titre ou le premier vers d’un bref poème de Jana Černá et non de la longue lettre publiée sous ce titre par la Contre Allée – oui amoureuse du titre de ce petit livre orange que j’avais entre les mains…

 

 

Pas dans le cul aujourd’hui   
j’ai mal   
 

et puis j’aimerais d’abord discuter un peu avec toi   
car j’ai de l’estime pour ton intellect   
 

On peut supposer   
que ce soit suffisant   
pour baiser en direction de la stratosphère

 

 

Et puis je suis tombée amoureuse de Jana Černá elle-même pour sa manière farouche de défendre sa liberté et ses désirs de femme, et de lier,  comme l’écrit Anna Rizzello dans la préface de Pas dans le cul aujourd’hui, poésie et philosophie, vie et littérature, sexe et art : pur délice pour moi qui écrivis il y a longtemps déjà que les deux activités les plus érotiques sont la promenade dans les sous-bois feuillus de fougères – et l’échange de pensées. Jana Černá d’ailleurs écrit également dans sa lettre « J’adore nos promenades plus que tout autre chose… ».
 

Mon amour pour ce texte, et mon admiration, m’a fait le proposer parmi ma « Bibliothèque idéale » à la Fondation Thalie, aux côtés de quatre autres ouvrages, Extrême, esthétiques de la limite dépassée de Paul Ardenne, Petit éloge du désir de Belinda Cannone, Je meurs comme un pays de Dimitris Dimitriadis et J’aime à toi de Luce Irigaray, en mars 2020. Il y manque bien sûr Pavese et Coetzee et Alda Merini et tant d’autres… Mais quoiqu’il en soit, suite à ma présentation de Pas dans le cul aujourd’hui, une jeune poétesse, Nathalie Vanderlinden, nous a proposé, à Haleh Chinikar, une autre poétesse, et à moi même, d’en faire une lecture à trois, virtuellement publique. Ce qui fut fait, non sans une préparation intense à trois. Un très beau partage.   
 

Mais en travaillant mot à mot cette lettre de Jana Černá à Egon Bondy, me voici devenue critique à son égard, notamment d’un point de vue féministe. Dans la première partie, dédiée aux liens entre poésie et philosophie, Jana Černá ne parle que de l’homme, des travaux de l’homme, et lui suggère parfois, lui intime souvent, telle ou telle manière de procéder pour progresser dans ses travaux. Mais nous n’apprenons rien sur la manière personnelle de Jana Černá de travailler, comment elle-même conjugue sa pensée et sa poésie, son travail de journaliste et son travail littéraire. Dans mon monde idéal, une relation intellectuelle et érotique avec un homme ne peut pas se contenter de l’admiration portée au travail de l’homme, non, les travaux de la femme sont tout aussi importants, il faut les deux pour nourrir l’échange… Une recherche sur Google joignant les deux noms, celui de Jana Černá et celui d’Egon Bondy, n’offre d’ailleurs aucune mention qui soit liée primairement à Egon Bondy, Comme si l’homme avait complètement ignoré Jana Černá dans son œuvre. Féministe que je suis, je ne puis que regretter que ce « cœur de poétesse maudite » n’ait pas davantage veillé à sa propre identité : elle est d’abord celle que l’on présente encore en disant d’elle qu’elle était la fille de Milena Jesenská (il faut dire qu’elle a aussi écrit la Vie de Milena) puis celle qui a écrit une merveilleuse lettre d’amour à …   

De plus, la partie puissamment érotique de sa lettre, magnifique, évoquant les lettres de James Joyce à Nora Barnacle, commence par « Pourquoi n’es-tu pas là ? » -- pour que je puisse vivre tous mes désirs érotiques avec toi. Et ce « Pourquoi n’es-tu pas là » rythme le texte, pourquoi je ne peux pas, pourquoi je ne peux pas, pourquoi je ne peux pas… On comprend vaguement qu’Egon Bondy est ailleurs, en famille, que sais-je, cela n’a pas grande importance (à la fin de sa lettre Jana Černá écrit « Espérons pouvoir être bientôt ensemble, parce que le fait que tu végètes sous le toit conjugal ne sert vraiment à rien qu’à chatouiller ton sens des responsabilités – »). Mais si la liberté d’âme et d’esprit de Jana Černá – absolument formidable pour son époque – était comme je l’aurais souhaitée, elle aurait peut-être écrit, ce qui nous eût laissé un sentiment de délices plus fort, un sentiment de complétude sans trace de frustration ou de contrainte – même si ces dernières peuvent stimuler la folie amoureuse et sont indubitablement efficaces en termes littéraire – oui, elle aurait écrit : « comme j’aime baiser avec toi… », avec tous les détails subséquents que je vous laisserai découvrir dans son livre – plutôt que « Pourquoi est-ce que je ne peux pas baiser avec toi ? »

 

Vers la fin du livre cependant, on entrevoit la pensée de Jana Černá, notamment lorsqu’elle parle de la grâce et de l’espoir, en distinguant la grâce de la foi. La grâce existe, dit-elle. Ah comme j’aimerais en savoir davantage, sur la grâce version Jana Černá. Comme j’aurais aimé lire ses mémoires, elle qui écrit encore « Si je ne voulais pas écrire entre autres pour subvenir à mes besoins, je me mettrais à rédiger ces mémoires… ».
 

Ce qui nous ramène une fois encore à l’injonction de Virginia Woolf, dont nous attendons toujours qu’elle se réalise : que le monde offre à toutes les poétesses « Une chambre à soi » – mais pas seulement. Avec la clé de la chambre, une somme d’argent, modeste, qui nous permette de vivre pour l’écriture, sans avoir à vivre de l’écriture.

 

 

***

 

Pour citer cet article féministe et poétique

 

Barbara Polla« Pas dans le cul aujourd’hui », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiquesMegalesia 2020| III​​​​​​- Les figures des philosophes chez les écrivaines en Sciences humaines & sociales, mis en ligne le 8 août 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/megalesia20/pasdansleculaujourdhui

 

 

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