22 décembre 2021 3 22 /12 /décembre /2021 18:04


Numéro Spécial | Printemps 2022 | Critique & réception ​​​​| Réflexions féministes sur l'actualité 

 

 

 

 

 

 

 

Anne-Marie Claire,

 

L'âme à l'amour tranché.

 

Dénouer le destin d'inceste,

 

paru chez l'Harmattan

 

 

 

 

 

 

 

Texte par

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

 

 

 

© Crédit photo : Première de couverture illustrée de l'œuvre, image fournie par la critique. 

 

​​​​​

 

 

Auteure du recueil poétique « Entre Méduse et Miroir » paru chez Dédicaces, Anne-Marie Claire nous signifie d'emblée que son livre est « l'enfant d'un inceste », l'auteure en accouche en le dédiant à son père. Les premières lignes de cet ouvrage font frémir : « Papa, j'attends un enfant dont il faut que j'accouche. Ce livre est mon enfant. Je t'aime. »

 

 

Dans ce livre, Victoria, une petite fille parle du plus loin de sa douleur qui saille sous chaque mot. Victoria n'est autre que le prénom de la grand-mère schizophrène de l'auteure, elle lui prête sa voix, la fait parler à travers la sienne et Anne-Marie Claire de me préciser « Toutes les voix de ce livre sont les miennes ». Et d'écrire ces mots terribles : «  Comme je l'ai toujours fait, je garde dans mon sang l'angoisse maternelle »…

 

 

 

© Crédit photo : Quatrième de couverture illustrée de l'œuvre, image fournie par la critique. 

 

 

 

Rejetée par sa famille car trop différente, « trop intelligente », elle est professeure de philosophie à Mayotte, Anne-Marie Claire analyse avec lucidité : « C'est ma famille. Une part de moi pense comme eux »

L'horreur s'ajoute à l'horreur quand l'auteure apprend que sa fille a été violée et victime d'abus sexuels !

Dès lors, elle retourne sur les chemins honnis de son enfance pour appréhender la vérité occultée par ses « fantasmes oedipiens ».

Anne-Marie Claire parle alors de « sa folie privée » et écrit « Mais je sais depuis mon jeune âge que je suis folle à lier, à l'intérieur de moi ».

 

Même si les apparences lui confèrent l'image de la respectabilité, l'auteure a fini par s'offrir « le luxe d'une vraie dépression ». La psychanalyse n'est pas la panacée car « Nul n'a accès à l'intériorité d'autrui », analyse-t-elle et de témoigner avec sa voix bouleversante de petite fille de son amour indéfectible pour le père incestueux :  « J'ai aimé Papa de toute ma pureté. Avec mon sexe aussi. Mon sexe pur de petite fille énamourée. Je l'aime encore dans mon ventre, là où l'angoisse s'est installée ». Dans le même temps, sous la plume d'Anne-Marie Claire revient cette petite musique lancinante qui ouvre sous les mots une plaie jamais refermée : « Pourquoi avez-vous mis l'enfant dans sa tombe ? »

 

Nul doute, à la lecture de ce livre, que l'inceste traverse la mémoire, l'esprit et le corps de celles ou de ceux qui en sont les victimes.

 

L'âme n'est pas épargnée, « L'âme à l'amour tranché » pour laquelle l'inceste est cette « lame » qui tranche mais qui est aussi une lame de fond qui submerge la conscience pour noyer dans le silence ce drame absolu.

Car c'est le silence qui tue et qui rend fou.

 

Que peuvent la psychanalyse et la philosophie, sinon entretenir d'éternels questionnements !

Seule l'écriture permettra de dénouer les fils dans le labyrinthe de la mémoire hanté par la figure tutélaire du père incestueux

 

L'accouchement douloureux de ce livre renvoie à celui de la mère de l'auteure dont elle dit qu'elle est « soumise au sexe fort » mais aussi au sien et à la naissance de sa fille. Les corps prennent la parole tour à tour dans ce livre lumineux où Anne-Marie Claire transcende tous les tabous de sa plume acérée qui touche le lecteur au plus vif de l'âme. Car l'auteure de nous avertir : « Je vais écrire les mots de ceux qui se taisent », bien évidemment sous les mots, ce sont les maux qui hurlent !

 

Mais l'écriture, qui ébranle les murs de la raison et de son corps à la fois physique et social, est aussi la voie (voix) de la renaissance pour la petite fille devenue adulte qui « goûte enfin la joie de vivre, mystérieuse et incompréhensible ». Et Anne-Marie Claire de conclure, apaisée : « J'écris pour effacer ».

 

 

© F. Urban-Menninger

 

 

***

 

Pour citer ce texte inédit ​​​​​​

 

Françoise Urban-Menninger, « Anne-Marie Claire, "L'âme à l'amour tranché. Dénouer le destin d'inceste", paru chez l'Harmattan », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Numéro Spécial | Printemps 2022 « L'humour au féminin » sous la direction de Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 22 décembre 2021. Url :

http://www.pandesmuses.fr/ns2022/fum-destindinceste 

 

 

 

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21 décembre 2021 2 21 /12 /décembre /2021 18:19


Numéro Spécial | Printemps 2022 | Dossier majeur | Articles & témoignages | Critique & réception

 

 

 

 

 

 

 

"Le sexe du rire",

 

 

documentaire proposé par

 

 

 

Julie Peyrard & Lise Thomas

 

 

 

 

 

 

 

 

Texte par

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

Captures d'écran par

 

Claude Menninger

 

 

 

 

 

© Crédit photo : Capture d'écran réalisée par Claude Menninger, "Marguerite de Navarre", image no 1. 

 

 

 

Ce passionnant documentaire présenté récemment sur la 5, posait la question du rire au féminin et reprenait en début d'émission le mythe de Baubo.

 

 

© Crédit photo : Capture d'écran réalisée par Claude Menninger, Baubo, image no 2. 

 

On se souvient du désespoir de Déméter lors de l'enlèvement de sa fille Perséphone, seule Baubo, une nourrice auprès de laquelle, elle se réfugie, lui redonne le sourire en soulevant sa tunique pour lui montrer sa vulve. Cette image récurrente dans bien des civilisations inspire plus tard Rodin lorsqu'il sculpte « Iris messagère des Dieux ».

 

 

© Crédit photo : Capture d'écran réalisée par Claude Menninger,  sculpture d'iris par Rodin, image no 3. 

 

 

Au Moyen Âge, le rire des femmes est associé à une image démoniaque, voire aux sorcières que l'on torture et brûle. La bouche ouverte est perçue comme un abandon du corps. Le tableau de Franz Hals en représentant une prostituée qui rit, l'enlaidit à dessein et l'apparente aux sorcières édentées... 

 

© Crédit photo : Capture d'écran réalisée par Claude Menninger, tableau de Franz Hals, image no 4, 

 

 

Des traités de bonnes manières voient le jour et sont diffusés à grande échelle pour venir s'imprimer dans l'inconscient collectif.

Dès lors le rire est placé sous surveillance par l’Église, puis il est relayé par l'art de l'ironie à la Renaissance. Marguerite de Navarre signe un recueil de nouvelles « L'Heptaméron » qui démontre que le rire peut être un contre-pouvoir. Le salon qu'elle ouvre, de même que ceux de Mesdames de Rambouillet, de Scudéry ou encore celui de Ninon de Lenclos font appel au sens de la répartie et participent d'une mixité intellectuelle où l'on croise Diderot ou La Fontaine entre autres.

 

 

© Crédit photo : Capture d'écran réalisée par Claude Menninger, "Marguerite de Navarre", image citée ci-haut. 

 

 

Cependant, le rire des femmes gêne ! Molière les caricature dans « Les Précieuses ridicules » puis les réhabilite dans son « Tartuffe »...En 1869, l'oeuvre de Carpeaux à l'Opéra Garnier fait scandale, la danse de ses neuf bacchantes riant aux éclats associe les rieuses aux femmes de petite vertu !

 

Au 19e siècle le rire des femmes devient l'un des symptômes de la folie et renvoie à l'hystérie qui témoigne d' une perte de contrôle. Plus de 200 patientes sont « soignées » par Charcot, exhibées sur une estrade, hypnotisées, photographiées…Jane Avril, une ancienne « malade », en tire un spectacle qu'elle présente dans un Caf 'Conc' !

 

© Crédit photo : Capture d'écran réalisée par Claude Menninger, une patiente de Charcot, image no 5

 

 

Quant à Yvette Guilbert, immortalisée par Lautrec avec sa robe verte et ses longs gants noirs, elle interprète sa chanson sur la femme battue et ouvre la voie aux femmes qui écrivent dès lors leurs propres textes.

Malgré cela, le rire reste encore l'apanage des hommes.

Les chansons d'après-guerre de Fernandel avec sa « Félicie » dont il se moque, la blagues salaces et machistes de Bedos « Toutes des salopes » ou de Bigard avec « Le lâcher de salopes » ne sont que des exemples de cet humour misogyne car on rit des femmes mais la femme qui rit, fait peur…

 

 

 © Crédit photo : Photographie par Claude Menninger, l'œuvre de Carpeaux..., image no 6.

 

 

 

Michèle Bernier explique que le rire est une forme de pouvoir que les femmes s'approprient. La liste des femmes humoristes s'allonge depuis Mae West, en passant par Muriel Robin, Anne-Marie Carrière, Sylvie Joly, Jacqueline Maillan, jusqu'à Karen Châtaignier ou Michèle Bernier (voir par exemple les extraits cités ci-dessous*) qui nous ravit avec son délicieux « Tango de la ménopause «  où elle chante « Mes menstrues, je ne les ai plus » ou encore son inénarrable sketch sur la mammographie.  On rit de nous-mêmes  car le rire est libérateur, il lève les tabous, invite à l'autodérision et permet de renverser les codes du masculin.

 

©F. Urban-Menninger

 

* Liens : https://m.youtube.com/watch?time_continue=103&v=u2pgMB-mJks&feature=emb_title, https://m.youtube.com/watch?v=ysxzvtLNIgo

 

À lire aussi :

 

***

 

Pour citer ce compte rendu inédit 

 

Françoise Urban-Menninger, « "Le sexe du rire", documentaire proposé par Julie Peyrard & Lise Thomas », Captures d'écran par Claude Menninger, Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Numéro Spécial | Printemps 2022 « L'humour au féminin » sous la direction de Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 21 décembre 2021. Url :

http://www.pandesmuses.fr/ns2022/fum-doclesexedurire

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Numéro Spécial 2022 Féminismes
19 décembre 2021 7 19 /12 /décembre /2021 16:06

 

Numéro Spécial | Printemps 2022 | Dossier mineur | Florilège | Muses au masculin 

 

 

 

 

 

 

Âme d’élite,

 

 

 

plein d’héroïsmeee

 

 

 

 

 

 

Camille Aubaude

 

Site & blog officiels :

www.lamaisondespages.com/

https://camilleaubaude.wordpress.com/

 

 

 

© Crédit photo : Camillæ, "Signature", image fournie par l'autrice. 

 

 

Ce poème sur le perroquet vert, dans un siècle où la Raison des Lumières a fait de la poésie un désert.

 

 

 

 

 

Âme d’élite, plein d’héroïsme

esprit fort élégant qui déclame

les mots de l’Invisible, Ver-Vert*

est l’universel élan qui désire

sauver le monde vert et bleu.     

 

 

 

Mais ce tour messianique

cette revanche sur l’ineffable ennui 

a les traits de l’orgueil qui conduit

à la chute : Ver-Vert noir et bleu

âme puissante qui s’égosille !  

 

 

 

Le doux penser est voluptueux.

Hélas, brailler-jaser-bavarder

en loges de nasillants primates

tisse un linceul : l’esprit de caste.

 

 

 

Âme illuminée de charmes

Ver-Vert ! force du Grand Univers

pavoise et bascule dans le Vide

quand reparaît l’Aube aux yeux pers.

 

© C. Aubaude

 

 



 

* En écho au Ver-Vert de Gresset, poète jésuite :

 

 

Crédit photo :  Portait de Jean-Baptiste Louis Gresset (1709-1777), image fournie par l'autrice. 

 

***

 

Pour citer ce poème 

 

Camille Aubaude (texte & photographies), « Âme d’élite, plein d'héroïsme », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Numéro Spécial | Printemps 2022 « L'humour au féminin » sous la direction de Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 19 décembre 2021. Url :

http://www.pandesmuses.fr/ns2022/ca-amedelite

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Numéro Spécial 2022 Humour
18 décembre 2021 6 18 /12 /décembre /2021 17:44

 

N° 10 | Célébrations | Diversité & société inclusive

 

 

 

 

 

 

 

​​​​L’insondable

 

 

 

 

 

 

 

Armelle Dupiat-Aellen

 

Auteur-poète

Déléguée-chroniqueuse à la Communication de Poètes sans Frontières & l’Étrave.

 

 

 

 

​​​​​​Crédit photo : Monet, "woman", painting, Commons, domaine public. 

 

 

Calem a la particularité de torturer son entourage de sa suspicion muette. Il se croit, toute puissance, masque flanqué de sa retenue de langage. 

Alvina, elle, brille de mélusine. Blablateuse invétérée, elle enseigne l’oralité à l’école des pertinences. Pourvoyeuse du verbe haut,  elle frémit au contact de ses idéaux. 

Calem nourrit sa grandeur alors qu’Alvina tournicote sans anicroche.

Un après-midi, Alvina attablée à siroter un thé dans son salon préféré, fut accostée par Calem, fort de son irrévérence.

Bien plus tard, lorsqu’elle le quitta, prétexte d’une urgence, elle s’engouffra dans la voiture de son amie venue à sa rescousse. Message écrit à la dérobée sur son portable. 

Elles restèrent longtemps silencieuses à écouter sur radio opéra, la Flûte enchantée. Une torpille de plomb s’était abattue sur les épaules d’Alvina par un homme faux-sourire, outrecuidance du désir.

Le temps passa, Alvina enjouée, continua son art majeur : distiller les mantras du bonheur. 

Calem sombre, se battait contre des lupins financiers et ses briques d’ambition. 

Lors de son intrusion auprès d’Alvina, il lui avait extorqué avec finesse, croyait-il, son adresse.  Les nuits de Calem étaient mazoutées de lave de volcan. 

Un soir, la pluie giflait les fenêtres de la cuisine d’Alvina lorsqu’une ombre passa. Un tambourinement se fit entendre à la porte. Alvina hésita. 

Calem trempé, fit force de lui sourire, pressé d’entrer, il ne remarqua pas  la minuscule boîte sur la gauche du perron.  

Le lendemain à l’aube, l’odeur du chocolat à la cardamone flottait dans la maison. La musique de la Flûte enchantée pourfendait l’air. 

Tout sourire, Alvina reposa sa tasse. Elle se dirigea vers le perron, récupéra la boîte en ébène. Elle répandit son contenu dans la trappe des eaux usagées du jardin. 

De retour dans la cuisine, elle délogea de dessous l’évier son cahier de foi. Elle y inscrivit une lettre X supplémentaire, pareille à un point de croix.

La veille, un son sibyllin, impétrant d’éclats de verre avait pulvérisé le ciel d’une poudre de lumière. 

Alvina sur le pas de la porte, avait remis le diable dans sa boite.  

 

 

© Droits d’auteur protégés Armelle D. Aellen​​​​​​. 

 

***

 

 

Pour citer ce texte inédit

 

Armelle D. Aellen, « L’insondable », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° 10 | Automne 2021 « Célébrations »mis en ligne le 18 décembre 2021. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no10/ada-insondable

 

 

 

 

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