27 octobre 2022 4 27 /10 /octobre /2022 11:12

N°12 | Poémusique des femmes & genre | Entretiens poétiques, artistiques & féministes & REVUE ORIENTALES (O) | N° 2-1 | Dossier


 

 

 

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Mona AZZAM :

 

de l’Orient à l’Occident, force ou errance ?

 

 

 

 

 

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Propos recueillis en octobre 2022 par

 

Hanen Marouani

 

 

Entrevue avec & poème de

 

Mona Azzam

 

Site officiel : https://monaazzam.jimdofree.com

 

 

 

 

© Crédit photo :  Portrait photographique de Mona Azzam.

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Fiche d'information :

 

 

 

Profession : Professeur (lettres modernes)

Site Internet, Blog, liens sites de ventes :

https://www.vibration-editions.com/product-page/le-sablier-des-mots-mona-azzam

https://monaazzam.jimdofree.com

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Biographie :

 

Née en Côte d’Ivoire, enfance en Afrique, enseignante à Beyrouth (Liban), actuellement enseignante à Montpellier.

 

 

Bibliographie :  

 

Auteur de :

 

Trilogie des fables de La Fontaine (fables choisies et commentées) aux

Éditions Cariscript, Paris (février 1994)

Nerval dans le sillage de Dante (Cariscript, Paris) ;

Sur l’oreiller du sable (Roman), (L’Harmattan, janvier 2017)

Dans le Silence des Mots Chuchotés (il est cri…), recueil de Nouvelles aux Éditions de la Trace (novembre 2018)

Nous nous sommes tant aimés (Roman), Éditions la Trace (octobre 2019)

Le Sablier des mots (Recueil poétique), Vibration Éditions (février 2020)

Ulysse a dit… (Roman), Éditions la Trace (août 2020) ; prix des Médiathèques de Bussy-St-George

La Plume des pages (Recueil poétique) BOD, octobre 2021

Amine (Roman), Éditions La Trace (janvier 2022)

Nomades (Roman), Vibration Éditions (mars 2022)

 

Contributions et articles :

 

Des jasmins en bord de mer, Poésie méditerranéenne ; Anthologie ; juin 2021 (Association Poétique Luna Rossa)

À quels feux s’invitent vos rêves (Anthologie) ; Éditions le Coudrier (Belgique, mai 2021)

Hadji (Texte), Revue coeur de plume( Québec, août  2021)

Nadia Tuéni, une figure inclassable ; Revue Orientales (avril 2021)

Anthologie poétique, Association Poaimer (Paris, septembre 2021)

Qu’est-ce que l’Afrique ? Ouvrage collectif, sous la direction d’Eugène Ebodé,

(coll. Sembura ; Editions La croisée des chemins, Maroc, septembre 2021)

Maman Recto-Verso, ouvrage collectif au profit de la Fondation des Femmes, sous la direction de Julie Gayet, David Foenkinos et Franck Ayroles (Éd. E. Leclerc, décembre 2021)

 

Nouveauté 2022 :

 

Amine (Roman), Éditions La Trace (13 Janvier 2022)

Nomades (Roman), Vibration Éditions (1er Mars 2022)

 

À paraître :

 

Rien, Ubik-Art

 

​​​​​​© Crédit photo :  Première de couverture illustrée de l'œuvre Le sablier des mots, 2022.

Entretien

 

 


 

Hanen Marouani —  Qu’est-ce qui vous a plu dans ce rôle d’écrivaine et de voyageuse en même temps ?


 

Mona Azzam Voyager et écrire sont deux activités complémentaires. Les lieux, les cultures, l’humain demeurent ma source d’inspiration. L’écriture est aussi un voyage, solitaire au départ. Un voyage vers des univers inconnus où, par le biais des mots, s’érige un pont entre le scribe et le lecteur. La transmission peut dès lors opérer. Et de cette rencontre prend naissance un partage inouï. Indicible parfois.


 

H.M — Vous êtes vous-même née loin de votre pays natal dans une famille immigrée. Ça été facile de trouver votre chemin parmi beaucoup d’autres ?


 

M.A — Comme tous les enfants d’expatriés, j’ai une facilité d’adaptation qui peut parfois surprendre les personnes qui n’ont pas un tel vécu. Les chemins que j’ai empruntés, que j’emprunte encore, ne sont jamais tracés à l’avance. Et c’est ce qui est fabuleux. Parce qu’en réalité, et je me permets de plagier Nicolas Bouvier, ce sont les chemins qui nous font.


 

H.M —  C’est très beau comme référence. Vos parents et votre entourage, ont-ils été un feu vert vers la poésie et l’art ? 


 

M.A —  Très certainement. Déjà, le fait de voir le jour sur le sol africain, au cœur même du berceau de l’humanité, c’est à mes parents que je le dois. Grâce à eux, je suis tombée dans une calebasse magique emplie de mots magiques, dès ma naissance. Des mots aux contours autres, aux senteurs autres, aux musiques autres.


 

(H.M) – Devant cette magie de reconnaissance et de présence dans la mémoire, vous vous souvenez encore de certains livres ou de recueils de poésie que vous ont influencés ?


 

M.A — Comment les oublier ? Ils ne m’ont jamais quittée. Ils constituent ma boussole.

Noces d’Albert Camus, Le Petit Prince de Saint-Exupéry, Les Fleurs du Mal de Baudelaire,

La Vita Nuova de Dante, Les Textes Blonds de Nadia Tuéni et enfin, les Œuvres poétiques d’Arthur Rimbaud.


 

H.M — Au Moyen Orient, en Europe, en Afrique ou en Amérique, vous avez eu l’occasion de fréquenter des ateliers d’écriture ? Si oui, quelle importance a-t-elle eue ?


 

M.A — Non. Je n’en ai pas eu l’occasion. D’autant plus que j’ai une aisance à écrire...


 

H.M — Qu’est ce qui coinçait encore Mona Azzam pour arriver à ce qu’elle désire vraiment et depuis longtemps ?


 

M.A Il me tardait de parachever une œuvre qui m’a demandé dix années de travail. Un roman sur Albert Camus. C’est chose faite. Il verra bientôt le jour, à l’horizon 2023, année où l’on célèbrera les 110 ans de sa naissance.


 

H.M — Le mal du pays ?! ça s’est apaisé par la suite ou cela sert encore de et comme source d’inspiration ?

 

M.A — Pour répondre franchement, je ne m’étais jamais posé la question avant de lire la vôtre. Pour la simple et bonne raison que je ne me sens d’aucun pays en particulier. Je suis de partout et de nulle part. Ma véritable patrie, ce sont les mots. Et l’humain est ma principale source d’inspiration.

 

 

 

H.M — Quel est le moment où vous vous êtes dit que ça allait marcher mieux avec l’écriture ?


 

M.A Lorsque mon deuxième écrit, Dans le Silence des Mots Chuchotés (Éditions La Trace), un recueil de nouvelles en prose poétique a été publié et est allé à la rencontre de ses lectrices et lecteurs.



 

 

H.M — Quelles représentations de la femme vous ont touchée le plus dans la poésie et dans les beaux-arts de nos jours ?


 

M.A — J’aime beaucoup Camille Claudel qui a su trouver sa place dans un univers exclusivement féminin. Quant aux représentations de la femme dans la poésie, je suis admirative des poèmes de Baudelaire qui en font un être à part.


 

 

 

H.M — Pour vous, les femmes du même domaine sont-elles de rudes concurrentes ou une famille alternative ?


 

M.A — Je ne vois aucune concurrence dans ce domaine particulier qu’est l’écriture. Chacune a sa plume. Chacune a son univers qui lui est propre. Créer demeure un acte personnel. Et chaque création est une œuvre unique qui ne saurait être en concurrence avec une autre.

En revanche, cet univers est en soi une famille. Ce qui nous lie, c’est la passion des mots et de l’écriture. J’ai la chance de faire partie d’une « famille », née grâce à une femme exceptionnelle, Sandrine Mehrez- Kukurudz, la famille de Rencontre des Auteurs francophones qui rassemble, depuis New York, des écrivains du monde entier, autour d’un même amour, l’écriture et la langue française.

 

 


 

H.M — Quelles œuvres conseillez-vous beaucoup de gens autour vous ?

 

M.A — Je conseille à la fois des lectures qui ont été un véritable coup de cœur que mes propres ouvrages. Marguerite Duras, la plupart du temps.


 

 

H.M — Pour vous, qu’est-il important de transmettre aux futures générations dans votre domaine par la sensibilité et par la poésie engagée ?

 

M.A — Il nous incombe aujourd’hui et plus que jamais de transmettre aux futures générations des messages à portée humaniste. Prendre la plume est un engagement en soi. La poésie, à mon sens, plus que les autres genres, parce qu’elle touche à la sensibilité, porte nos messages vers autrui. Cet autrui pour lequel tout écrit s’engage.


 

 

H.M — Que pouvez-vous nous proposer comme poésie à la fin de notre échange ?


 

M.A — Un poème inédit. Né en temps de confinement.

 

Si j’étais un poème, je rêverais pour l’hiver

Afin que du wagon fusent de roses vers.

Si j’étais une musique, je me ferais Mozart

Pour diffuser des notes aériennes de départ.

Si j’étais une contrée, je me nommerais Afrique

Pour battre le tam-tam par-delà les criques

Si j’étais une couleur, je me teindrais en bleu

Couleur de l’océan et des infinis lieux.

Si j’étais un parfum, j’embaumerais de jasmin

Toutes les allées profondes des antiques chemins.

Si j’étais un animal, je renaîtrais éléphant

Pour garder en mémoire mes rêves d’enfant.

Si j’étais un objet, je serais une plume

Naviguant sur les flots de mon encre d’écume.

Si j’étais un poète, je voudrais être Rimbaud

Sur ses semelles de vents, recueillir les mots.

 

© Mona Azzam

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Pour citer ces entrevue, photographies & poème inédit​​​​​​s

 

 

​Hanen Marouani, « Mona AZZAM : De l’Orient à l’Occident, force ou errance ? », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre » & Revue Orientales, « Les voyageuses & leurs voyages réels & fictifs », n°2, volume 1, mis en ligne le 27 octobre 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/orientales/no2/no12/hmarouani-monaazzamdelorientaloccident

 

 

 

 

Mise en page par Aude


 

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25 octobre 2022 2 25 /10 /octobre /2022 17:35

N°12 | Poémusique des femmes & genre | Revue Poépolitique | Querelles des littératrices...

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Mathilde Panot n'aurait-elle pas dû tenir sa langue ?

 

 

 

 

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Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

 

 

 

 

Crédit photo : "Mathilde Panot dans son bureau", Commons.

 

 

 

 

Autant j'avais défendu Mathilde Panot traitée de « poissonnière » à l'Assemblée nationale, autant je dénonce l'ineptie de sa dernière déclaration que je cite : « La France n'est ni une langue. Ni une religion. Ni une couleur de peau. La France c'est la devise : Liberté, Égalité, Fraternité ».

Je retiendrai dans cette assertion que la France n'est pas une langue…

Mais qu'est-ce que la France sinon une langue et l'on songe à la belle définition d'Albert Camus dans ses Carnets : « J'ai une patrie, la langue française » !

Quelle est donc la patrie de Mathilde Panot, d'où parle-t-elle, comment et en quelle langue pense-t-elle ? Elle fait fi de la langue française et de la poésie et semble totalement ignorer ce que représente la francophonie qui tisse des liens entre les humains en transcendant les couleurs de peau ! Apprécions les propos de Gilles Vigneault à ce sujet : « La francophonie, c'est un vaste pays, sans frontières. C'est celui de la langue française. C'est le pays de l'intérieur. C'est le pays invisible, spirituel, mental, moral qui est en chacun de vous ».

 

 

Mathilde Panot n'aurait-elle pas dû tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de s'exprimer ou plus simplement tenir sa langue au lieu de l'avoir bien pendue ?

 

Pour clore ce billet d'humeur, voici encore un extrait d'une interview de Fabrice Luchini donnée en 2015 au Figaro : « Celle langue française qui nous fonde et nous soude. Les politiques devraient en priorité réfléchir à cette  force-là ».

Voilà de quoi délier une nouvelle fois  la langue de notre linguiste autoproclamée !


 

© Françoise Urban-Menninger

 

Réflexion d'une partie de la rédaction

 

Nous rappelons à Mme Panot le traité de verdun de 843 qui divise l'empire de Charlemagne, en trois parties et deux langues. Ainsi, apparaît la "Francie occidentale" les premières frontières de la France où l'on parlait en langue officielle le vieux haut français (ancêtre du français contemporain).

 

 

***

 

Pour citer ce billet inédit

 

Françoise Urban-Menninger, « Mathilde Panot n'aurait-elle pas dû tenir sa langue ? », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 25 octobre 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no12/fum-panot-langue

 

 

 

 

Mise en page par David

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Numéro 12 Muses et féminins en poésie
25 octobre 2022 2 25 /10 /octobre /2022 14:47

N°12 | Poémusique des femmes & genre | Critique & réception | Revue culturelle des Amériques

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Nathalie Maranelli

 

L’enfant de Rio

 

Roman, Éditions Lazare et Capucine, 2021, 21€

 

 

 

 

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Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

 

 

©​​​​​​ Crédit photo : Première de couverture illustrée de L’enfant de Rio, roman de Nathalie Maranelli, Éditions Lazare et Capucine.

 

 

 

 

Malandro (malandrin en français), l’enfant de Rio est ce garçon des rues qui survit en fouillant dans les poubelles et qui est prêt à tout pour sortir de l’ornière.  D’ailleurs il a eu la vie sauve par la grâce de Luis qui l’a recueilli dans une poubelle à la naissance. Malheureusement ce dernier sera tué à cause de son homosexualité. Il va manquer à jamais à son protégé mais son ombre planera toujours sur lui. Il est à l’image des 3, 2 millions d’enfants brésiliens livrés à eux-mêmes, s’adonnant au vol à l’arraché, sniffant de la colle, leur drogue de survie.

 

Vif et débrouillard, Malandro est tantôt cireur de chaussures, tantôt vendeur de journaux à la criée. Ayant la rue pour résidence permanente et un carton sur le bitume pour matelas, il n’est guère à l’abri des agressions perpétrées par des bandes rivales. Et pour se défendre, il a un couteau bien effilé, baptisé Eustache qui l’accompagne partout comme un cicérone. Il sait aussi que sa vie ne vaut rien : même les policiers tirent sans sommation  sur les déshérités du sort, quelquefois abandonnés sur un banc public par un parent sans perspective sociale et économique.

Ces enfants des rues sont socialement stigmatisés jusqu’à se faire appeler communément « malandrins » et leurs futurs rejetons connaîtront le même sort qu’eux comme si c’était inscrit dans leur ADN.

 

 

©​​​​​​ Crédit photo : La romancière brésilienne Nathalie Maranelli.

 

 

Partout où il va, il ressent la présence de Luis. Aussi convient-il que tous les petits bonheurs qu’il a connus est le fait de ce guide spirituel qui veille sur lui de là-haut, se représentant sous la forme d’une mouette. Citons par exemple : le chanteur Gilberto Gil qui l’a reçu chez lui avec humanité, chose impensable  pour un Malandro,  va-nu-pieds en manque d’affection ;  Gustave le vendeur de glace qui lui donne  de  temps en temps une glace même périmée ; Maria la cuisinière qui lui donne de quoi se sustenter. 

 

Les jeunes filles mineures sont à leur tour la proie des proxénètes qui les enlèvent pour les livrer à la prostitution. Il a un but c’est d’aller sauver Flor sa compagne d’infortune, disparue du radar, supposée victime d’enlèvement car ce phénomène est légion au Brésil.  

Grâce aux personnes généreuses que le destin a mises sur son chemin il a pu croire en son potentiel. Il veut reprendre le chemin de l’école et plus tard construire sa vie avec Flor quoi qu’il advienne.   

Dans ce roman Nathalie Maranelli fait également état de l’incompétence des services sociaux, de la gabegie administrative et de la corruption institutionnalisée au Brésil. 

 

 

© Maggy DE COSTER

 

 

***

 

Pour citer ce texte inédit 

 

Maggy De Coster, « Nathalie Maranelli, L’enfant de Rio, Roman, Éditions Lazare et Capucine, 2021, 21€ », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques N°12 | AUTOMNE 2022 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 25 octobre 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no12/mdc-maranelli-lenfantderio

 

 

 

 

Mise en page par David

 

 

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